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sur 557 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
A l'idée de recevoir l'assassin qui rêvait d'une place au paradis via les opérations masse critique, organisées par Babelio (que je remercie ici vivement, ainsi que les Presses de la Cité, pour leur partenariat et l'envoi de cette nouveauté si prometteuse), je me délectais déjà de cette belle parenthèse d'humour que serait ce livre dans la grisaille actuelle !

Je ne vous dirais pas si Dédé le Meurtrier a réussi à se réserver un cocon douillet à la droite du Seigneur (ou la gauche, je ne sais plus trop et les marques sur le dessus de mes mains se sont effacées...), mais une chose est malheureusement sûre, c'est qu'il n'a pas réussi à se faire une place dans mon coeur de lectrice, ou en tout cas, pas celle que je lui aurais souhaitée.

Je n'ai vraiment pas accroché et ai peiné pour le finir, car, oui, malgré tout, je suis allée jusqu'au bout de ses aventures et cela pour deux raisons : d'une et la plus légitime, c'est que je m'y suis engagée et que je ne prends pas à la légère cette mission qui nous est confiée et compte bien rester à la gauche du très haut dans l'univers Babelio (ou la droite, je vous redirais ça dès que j'aurai enfilé mes Kickers, là, c'est encore un peu tôt pour les avoir aux pieds) ; et de deux, parce que je ne sais pas fausser compagnie à un livre, même s'il ne me plaît pas ! Car derrière, il y a un auteur et des heures et des heures passées à écrire, lire, raturer, ré-écrire, relire, rayer et motsdire... Enfin, bref, je fais partie de celles et ceux, qui ne savent pas encore bien user de la première liberté du lecteur, celle d'abandonner ! Je vous jure que je me soigne, telle que vous me voyez là, j'ai réussi à en lâcher un avant la fin, il y a pas moins de 18 mois ! Un exploit !!

Bon, trêve de baratin, car je sens que je vais en gonfler plus d'un en faisant semblant d'être drôle, tout en sachant que je ne le suis pas, et c'est pas le but, n'est-ce pas ?

Mon avis, donc et ma triste conclusion : Les aventures de Dédé le Meurtrier sont quelque peu tirées par les cheveux, ce n'est pas une question de vraisemblance, on s'en moque là, mais les ficelles sont lourdes ; on a l'impression que l'auteur rame un peu pour nous apporter sur un plateau une situation burlesque, qui en ce qui me concerne, n'est pas arrivée à me faire rire, ni vraiment sourire.

Je n'ai pas su m'approprier les personnages, à part peut être celui du pasteur défroquée, qui cite à tout va des passages bibliques, avec une aversion profonde pour notre très cher Noé... Les chapitres sont courts, donnant à la lecture un rythme, qui pourra s'avérer soutenu pour ceux qui seront pris par l'histoire de ces trois compères, rois de l'arnaque en recherche active de couronnes sonnantes et trébuchantes pour leur plus grand bonheur, mais pas que !
Il y a plus fort que donner, c'est recevoir...

Alors, comme toujours quand cela m'arrive de « passer à côté » d'une lecture, je repense à tous ces livres que j'encense, prête et qui me reviennent avec un "bof ! » lapidaire pour mon petit coeur littéraire qui en prend un coup, et je relativise en bénissant le Créateur (à gauche et à droite) de ne pas nous avoir tous fait sur le même moule. Car, disons le franchement, quelle tristesse ce serait : plus de débats possibles, plus d'échanges, plus de nuits blanches à essayer de défendre ses petits rectangles de papier froissé érigés en trésors sur l'autel de nos coups de coeur !

Alors je me dis que ce livre en ravira d'autres et que c'est tant mieux pour lui...
Lien : http://page39.eklablog.com/l..
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Ouf ! Enfin fini ! Je suis finalement parvenue au terme de ce calvaire littéraire. J'avoue ne pas comprendre l'engouement quasi général pour le roman de Jonas Jonasson. Mais comme le dit le dicton (cliché), les goûts et les couleurs...

Je suis très friande d'humour absurde et décalé. C'est ce qui m'avait incitée à accepter cette masse critique privilégiée. J'ai bien été déçue. La 4ème de couverture de cet "assassin qui rêvait d'une place au paradis" promet un roman déjanté. Je l'ai trouvé, au contraire, très sage et pas irrévérencieux pour un sou.

L'intrigue est (mal) cousue de fil blanc et n'a suscité que quelques très rares sourires polis. le reste du temps, je me suis ennuyée au plus haut point. le récit est creux, vide, juste prétexte à enquiller des scènes burlesques qui tombent à plat. Quant aux personnages, ils sont totalement inconsistants. Je n'ai strictement rien ressenti pour eux, si ce n'est peut-être l'envie de les tuer histoire d'abréger mes souffrances. le style est à l'avenant, plat, sans saveur. C'est écrit avec les genoux.

Si je suis allée au bout du roman, c'est uniquement par respect pour Babelio et les éditions Presses de la cité qui m'ont permis de le recevoir gracieusement. Je les remercie pour m'avoir permis de satisfaire ma curiosité. Je sais maintenant que les romans sensément rigolos à titre à rallonge type "le vieux qui avait avalé un fakir gros comme une armoire ikea" ne sont pas faits pour moi.

Challenge Multi-Défis 2016 - 11 (un livre d'un pays nordique)
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Ayant lu et vraiment apprécié "Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire", je m'attendais à beaucoup mieux de Jonas Jonasson, d'autant plus qu'il prend son temps pour écrire (le précédent date d'il y a 3 ans, on ne peut pas lui reprocher d'écrire pour vendre).
L'idée dé départ est sympa et peut prêter à de beaux dialogues et des situations fantasques, mais le tout est insipide. Les dialogues sont poussifs, j'ai trouvé un côté scolaire à la rencontre des personnages pour les mettre en lien.
Les rebondissements et je jeu de la réalité historique (même arrangée) associée à sa fiction étaient travaillés et absurde à souhait dans sa première oeuvre.
Comme la plupart de ceux qui n'ont pas aimé, la lecture a été difficile et lue en diagonale sur la fin, surtout que Proust m'attendait juste à côté (oui, j'avoue la comparaison n'est pas égale !)
Merci tout de même à Babélio et la Maison de la Presse d'avoir joué le jeu de la masse critique.
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J'ai commencé ce roman avec un petit a priori positif.
Il y a eu beaucoup de billets enthousiastes sur le vieux… et du coup, je m'attendais à un texte qui allait bien me faire rire.
Pas de chance !
Est-ce le boulot qui s'accumulait ?
Est-ce le temps gris qui revenait ?
Est-ce mon bébé tout malade ?
Est-ce les valises à préparer ?
Est-ce le stress de fin d'année ?
Ou bien est-ce le texte qui est très ennuyeux ?
Est-ce le style de l'auteur qui est indigent ?
Est-ce l'histoire qui se répète beaucoup trop ?
Est-ce les péripéties multiples qui m'ont semblé trop idiotes ?

Nul ne pourrait le dire j'imagine.
Peut-être un peu tout ça.
Pourtant, je me suis forcée.
Je l'ai écouté en mettant ma fille dans son bain, en tricotant, en rangeant, en faisant les valises, en rédigeant des billets de blog, en faisant les courses, en allant chez le médecin, en allant aux urgences, en faisant la vaisselle…

Le roman commence en plaçant le contexte avec l'histoire de Per Persson.
C'est un peu laborieux, et ce sera surtout répété très très très souvent pendant la première partie du texte !
Et il en sera ainsi de même pour tous les personnages.
L'histoire de Dédé le meurtrier est répétée au moins 3 fois, et décliné au moins autant de fois.
Comme celle du pasteur.
Le roman se veut drôle et un peu foutraque.
Mouais, certes, mais bon, parfois (souvent), c'est franchement n'importe quoi.
J'ai souris deux ou trois fois et puis voilà.
L'histoire ne m'a pas trop intéressée, les circonvolutions de l'intrigue sont interminables, les retournements de situation trop brutaux et parfois idiots et si on résume le récit, il ne reste pas grand chose.
Ce n'est clairement pas un roman pour moi.
Lien : http://lirerelire.blogspot.f..
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je suis d'accord : calvaire littéraire
le mot littéraire n'étant pas adapté
quelques pages et j'ai fui l'assassin et son paradis
c'était l'enfer ...
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Depuis plusieurs années, à chacun de mes passages en librairie je vois une couverture qui m'accroche l'oeil presque à chaque fois. On y voit un vieillard en costume d'éléphant rose. Ce livre s'appelle « Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire » et est écrit par Jonas Jonasson.
Ce n'est pas vraiment le genre de livre que je lis habituellement mais je dois avouer que plusieurs fois j'ai failli l'acheter pour moi puis surtout pour ma compagne .
Alors quand j'ai vu sur Babelio qu'il y avait une Masse Critique de ce même auteur, je n'ai pas hésité et par chance j'ai été sélectionné (merci d'ailleurs à Babelio et aux Presses de la Cité).
A peine rentré de vacances, je trouve le livre dans ma boîte aux lettres. Je le commence le soir même avant de m'endormir. Je lis une trentaine de pages à peine et mes yeux me piquent. Je dois encore être fatigué du voyage. Je ferme le livre et recommence le lendemain soir... C'est exactement la même chose. Je dois me rendre à l'évidence, le livre est plutôt soporifique.
Malgré l'intrigue qui sur le papier paraît amusante, le livre n'a aucun relief. le style est plat et les rebondissements ne donnent pas forcément envie de lire un chapitre de plus comme le « page turner » que j'espérais en ouvrant ce roman.
Du coup, j'abandonne mon projet de le lire en soirée et là, ça marche beaucoup mieux.
Les pages s'enchaînent très vite (d'ailleurs le livre aurait pu être 2 fois moins épais, je n'avais pas vu une police d'écriture aussi grosse depuis que j'ai arrêté la Bibliothèque Rose) et je rentre dans cette absurde histoire de petits malfaiteurs qui profitent de la crédulité d'un ancien meurtrier appelé Dédé.
Les personnages sont très sympathiques mais le tout manque de relief et certains chapitres sont vraiment poussifs et semblent là pour épaissir le roman.
Je m'attendais à un polar drôle et finalement l'intrigue est épaisse comme un papier à cigarettes (je me suis même dit à plusieurs reprises que j'aurais pu écrire le scénario avec des amis autour d'un verre en fin de soirée) et je n'ai esquissé que quelques sourires durant ma lecture.
Finalement, les passages les plus intéressants sont ceux où Jonas Jonasson critique les travers de son pays que ce soit sur le plan religieux ou administratif. Certains sont plutôt réussis et m'ont appris des choses intéressantes sur la Suède (il faut que les vérifie quand même).
Au final, j'ai été déçu par ce roman dont j'attendais beaucoup plus sur le plan littéraire et comique.
Concernant le « vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire », je demanderai certainement qu'on me le prête en échange de celui-là. Je connais des personnes à qui ça plaira, je ne fais certainement pas partie du public cible.
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Un grand merci a Babelio et aux presses de la cité
Bien...bien ...bien par où vais-je commencer ?!!! En fait, il faut dire avant tout que cette lecture ne fait pas du tout partie de mes genres habituels, mais je suis aussi pour le changement de temps en temps, et comme j'avais une grosse envie de me divertir, j'ai sauté sur l'occasion quand Babelio me l'a proposé. D'un autre côté, ma moitié ayant lu le premier, l'histoire du petit vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, et n'en ayant eu que de bons échos ! je partais assez rassurée vers une aventure dont je n'avais aucune idée, ni du style, ni du genre d'histoire !
Mais je n'ai pas été surprise de me retrouver au milieu de trois personnages assez loufoques, voire barrés par moment. Mais ces trois "trinités" inconsistantes ont un charme que je n'ai pas bien compris, tout comme je n'ai pas compris cet engouement pour ce livre, le style est très pauvre, des phrases courtes sans aucune recherche, pas de description, je ne peux pas parler de vulgarité mais c'est très ras les pâquerettes parfois, trop décalé et presque absurde...
Une intrigue qui a peiné à me faire sourire ! On assiste à une succession de scènes qui relatent les aventures de Dédé le meurtrier sauvé par Jésus, une rédemption incroyable et qui arrive comme un cheveu sur la soupe ! Imaginez ensuite une femme pasteur "défroquée" et un pauvre gars réceptionniste qui profitent du revirement de situation, et de la reconversion soudaine de Dédé pour s'en mettre plein les poches ... pas très moral cette histoire ... 
S'il y a une certaine logique au fil du récit, mais l'auteur semble se laisser conduire par ses personnages et leur envie, ne gérant plus rien du tout ! le rendu est assez décevant ! On se perd dans les vies de chacun ... un ennui certain, j'ai peiné pour finir .... 
Une farce déjantée, pleine de crimes et de tortures qui connait quand même quelques beaux moments sur la réalité de l'âme humaine, car derrière la facilité du récit, on peut trouver matière à réflexion sur le brassage d'argent et la religion  ! Je préfère la suède à la sauce thriller, on trouvera ici un humour caustique qui ne me convient pas ! Mais surtout, si vous êtes tentés par cette lecture, essayez-là, l'humour est une chose personnelle et qui s'apprécie différemment selon les individus !  Bonne découverte !

Lien : http://fanfanlatulipe85.blog..
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Jonas Jonasson a connu le succès avec « le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire ». « L'assassin qui rêvait d'une place au paradis » est son troisième roman. L'histoire mêle Dédé le Meurtrier, récemment sorti de prison, à Per Persson, réceptionniste dans " une maison de passe", et Johanna Kjellander, une femme pasteur défroqué. Brute à l'esprit étroit, Dédé le Meurtrier est pris en charge par ses comparses qui le manoeuvrent pour s'enrichir. Les trois parties résument les étapes du livre : « une entreprise pas comme les autres », « une deuxième entreprise pas comme les autres », « une troisième…. ».
La première met en valeur les « compétences physiques » de Dédé dans les règlements de compte monnayés par des truands. Mais Johanna multiplie les références bibliques et tout est remis en cause quand Dédé découvre le message chrétien. Il refuse la violence pour se tourner vers les bonnes actions et les dons aux plus démunis. Son interprétation des textes bibliques est personnelle…. Ses deux comparses échafaudent un deuxième plan qui exploite la générosité des fidèles. le prédicateur Dédé attire de nombreux pratiquants qui sont attirés par cet ex-taulard à la conversion exemplaire…L'écoute des sermons est largement facilitée par la distribution …sans limite… de vin. le filon financier est mis à mal par le sacristain et les truands qui ont payé Dédé le Meurtrier pour quelques « services » sans avoir obtenu satisfaction. Les péripéties se succèdent et Dédé se retrouve en prison. Per et Johanna conçoivent un troisième plan. A la sortie de prison de Dédé, ils décident d'exploiter l'outil informatique. Dédé, déguisé en père noël, pratique la charité en apportant cadeau et réconfort financier aux plus démunis…avec l'argent des dons.
Le scénario du roman repose sur la rencontre improbable entre des personnages invraisemblables. La succession rapide des chapitres permet de rythmer le récit. Mais comme dans un film « comique » aux effets faciles et attendus, le lecteur voit des scènes d'action sans crédibilité. Vaste blague, fantaisie sans prétention (… à mon avis qui reste prudent), le roman sombre dans une lecture pesante. Jonas Jonasson se moque (gentiment) de certains comportements de ses concitoyens, quelques traits permettent au lecteur d'esquisser un sourire… Vous aurez compris que je n'ai guère été conquis par ce roman.
Je remercie Babélio pour cette masse critique spéciale ainsi que les éditions Les Presses de la Cité pour la découverte d'un style littéraire qui cherche à distraire sans prétention …

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1 fois ça va, 2 fois bonjour les dégâts, 3 fois c'est saoulant ... un gars qui avait trouvé une idée géniale et qui maintenant la décline sous toutes les formes et les couleurs, bref le marketing typique américain pour faire du business et qui use jusqu'à la corde.
Quelques bon dialogues, quelles que bonne paroles, quels que bons personnages, mais que c'est pénible.
Il faut savoir s'arrêter à temps ce qui n'est pas le cas de ce romancier
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Autant le dire tout de suite, cette écoute avait très peu de chance de me plaire. Je suis très difficile en matière de littérature humoristique et j'avais abandonné du même auteur "Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire", lassée du côté répétitif des "loufoqueries". Je dois dire par ailleurs que je n'aime pas les auteurs qui exploitent inlassablement le même filon, ce qui est franchement le cas ici.
Sans grande surprise, j'ai donc abandonné très vite cet ouvrage, incapable de m'y intéresser. Après avoir écouté trois fois la première plage, sans parvenir à empêcher mon esprit de vagabonder, j'ai déclaré forfait. de toute évidence, Jonas Jonasson n'est pas un auteur pour moi.
Je précise que le lecteur, Fédéor Atikine, n'y est pour rien. J'avais beaucoup aimé son interprétation d'autres livres audio (le vieux qui lisait des romans d'amour, le quatrième mur...).
Lien : http://www.sylire.com/2016/0..
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