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Critique de okka


Joëlle Jones et Jamie S. Rich ont eu la super idée de faire Lady Killer.

Nous sommes en 1962 aux États-Unis d'Amérique, Josie Schuller est une belle femme svelte et musclée qui évolue dans ce monde vintage par ces couleurs, vêtements, voitures, maisons que je n'ai pas connu mais qu'ici cela nous fait être pleinement dedans.

Josie est mariée à Gene, ils ont des jumelles comme enfants, ainsi que sous leur toit la mère de Gene qui parle l'allemand et un chien.
Josie n'est pas de celles qui se complaît ou accepte par non-choix ce monde où les hommes vont travailler dehors et les femmes dedans en restant au domicile pour les enfants et les tâches ménagères. Elle a une double vie : être une assassine sur commande et sa famille n'y voit que du feu.
Par contre nous en serons peu sur les cibles qu'on lui donne, mais on en voit beaucoup sur ses sanglants assassinats dans des tenues très pin-up.

Un soir après un contrat ayant lieu dans le club Kitty Kat alias un « bar de pervers » car les serveuses sont en maillot de bain, Peck celui qui lui remet les contrats, l'informe que leur boss veut voir Josie. de ce futur rendez-vous avec son patron, Josie aura parfaitement saisi les propos misogynes et remplis de jalousies qu'il a pour elle, mais la mission qu'il lui donne sera la dernière.

Graphiquement c'est une pépite, sans compter tous les petits détails quand on y prête plus amplement attention, et ce que j'ai adoré a été la scène où il y a une coupe verticale d'une maison à étages et on y voit chacun vaguer à ses occupations.
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