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Lady Killer tome 2 sur 2
EAN : 9782344022955
128 pages
Glénat Comics (10/01/2018)
3.77/5   24 notes
Résumé :
La famille Schuller a déménagé du côté de Cocoa Beach, en Floride, et continue de mener son petit train de vie. Josie, elle, jongle toujours entre les réunions Tupperware, les devoirs des enfants et quelques contrats. Jusqu'au jour où une ancienne connaissance qu'elle aurait préféré oublier refait son apparition. Son petit quotidien risque de rapidement devenir moins tranquille...
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Ce tome fait suite à Lady Killer, tome 1 : À couteaux tirés de Joëlle Jones et Jamie S. Rich, qu'il vaut mieux avoir lu avant pour comprendre les événements passés auxquels les personnages font référence. Il contient les 5 épisodes de la minisérie, initialement parus en 2016/2017, écrits, dessinés et encrés par Joëlle Jones, avec une mise en couleurs réalisées par Michelle Madsen. le tome se termine avec 6 pages d'études graphiques effectuées par Joëlle Jones.

Josie (pour Joséphine) Schuller effectue une présentation de récipients en plastique (de type Tupperware) dans la résidence d'une riche femme et de sa soeur, à plusieurs de leurs amies. Après le départ des invités, elle range ses affaires et remet un peu d'ordre, se faisant rappeler à l'ordre par la propriétaire sur le fait qu'elle doit laisser un cadeau. La propriétaire se dirige à l'étage pour aller aux toilettes. Josei Schuller la suit quelques minutes plus tard, entre dans les toilettes et l'assassine froidement en abattant un marteau de charpentier à plusieurs reprises sur son crâne. Elle s'occupe ensuite de sa soeur restée en bas, accomplissant ainsi le contrat passé sur leurs têtes par leur neveu pour hériter. Il lui reste encore à faire disparaître les corps, ce qui s'avère particulièrement fastidieux. Elle finit par trouver un couteau électrique pour les découper, et emmener ensuite les morceaux dans les boîtes Tupperware.

Une fois sa besogne terminée, et après avoir fait un peu de toilette pour effacer les tâches de sang, Josie rentre dans son foyer à Cocoa Beach en Floride, où l'attend son mari en train de préparer le barbecue, ses 2 filles Jane & Jessica, et sa belle-mère, toujours aussi revêche et renfrognée. Ils reçoivent George Robidoux (le patron de Gene Schuller) et sa femme Ruth. George a une bonne descente et raconte des blagues aussi grasses que phallocrates. Une fois les invités repartis, Josie Schuller trouve une excuse pour s'absenter et aller en fait accomplir un nouveau contrat. le travail d'élimination du cadavre s'avère encore une fois très fastidieux. En prime, elle se fait surprendre par Irving Reinhardt alors qu'elle patauge dans l'eau boueuse pour essayer de faire disparaître le cadavre. Quelques jours plus tard, elle est contactée par une organisation rassemblant des assassins professionnels pour en faire partie, moyennant une cotisation substantielle.

Cette histoire se déroule après le tome 1 dont l'action se situait en 1962. le lecteur peut donc estimer que cette nouvelle histoire se déroule également au début des années 1960. Joëlle Jones s'en donne à coeur joie avec la reconstitution historique. D'entrée de jeu le lecteur se trouve nez à nez avec une pratique bien installée dans les années 1960 : la démonstration-vente à domicile des produits Tupperware. Les hôtesses (hébergeant la démonstration) recevaient des cadeaux liés au montant des ventes effectuées pendant la séance par la présentatrice de la marque. L'artiste met en scène cette démonstration vente, avec une forme de sarcasme, les invités et les hôtesses étant peu attentives aux efforts de Josie Schuller, et peu amènes dans leurs échanges. Jones représente avec un grand détail la décoration intérieure des pièces de la maison d'accueil, ameublement et décoration. Tout du long de ces 5 épisodes, le lecteur apprécie le soin apporté à cette reconstruction de l'époque : modèles de robe, modèles de voiture, coupes de cheveux, accessoires de cuisine ou de pique-nique, mobilier de bureau, pratiques sociales comme le bingo, etc. Tout est mis en oeuvre pour s'approcher au mieux de l'authenticité, l'artiste ayant certainement travaillé à partir de références photographiques d'époque. S'il dispose de cette culture, le lecteur peut facilement reconnaître un modèle ou un autre d'accessoire, comme le couteau électrique.

La reconstitution historique réalisée par Joëlle Jones ne se limite pas à la dimension graphique. Elle met également en oeuvre des pratiques sociales de l'époque, que ce soit la conduite en état d'ébriété avéré (George Robidoux après le repas chez les Schuller), la misogynie ouverte, les femmes cantonnées à des position subalternes dans le monde du travail, ou comme objet de plaisir pour les mâles. C'est apparent dans les privautés que se permettent George Robidoux ou le marchand de voitures, dans la manière dont ils envisagent Josie comme un objet à leur disposition sur lequel ils peuvent se livrer à des attouchements sans consentement préalable. le lecteur se retrouve également à chercher des jouets pour Noël avec Josie dans un magasin qui ne porte pas encore les marques de la consommation industrielle à outrance. Il regarde avec admiration l'uniforme des hôtesses de l'air, ou encore les loges d'une effeuilleuse. Comme dans le tome précédent, Joëlle Jones joue avec la séduction physique de Josie Schuller. Cette femme dispose d'un corps bien proportionné et s'habille avec élégance, mais la dessinatrice ne la transforme pas en objet sexuel pour titiller ses lecteurs mâles. Son maillot de bain n'a rien de scandaleux. La seule scène un peu déshabillée se déroule dans les loges de l'effeuilleuse et ce n'est pas Josie Schuller qui est dénudée.

En entamant l'ouvrage, le lecteur se laisse bien volontiers prendre au jeu de la séduction : Josie est mignonne à craquer dans sa robe un peu serrée, et dans ses gestes aimables et avenante, respectant les bonnes manières, et soumises aux caprices de l'hôtesse. Mais dès la cinquième page, Joëlle Jones rappelle qu'elle n'est pas là pour faire dans la dentelle. le lecteur découvre un dessin sur une demi-page dans laquelle l'hôtesse (un peu plus de 60 ans) est assise sur les toilettes, le collant et la culotte baissés, en train de lire un magazine. Josie Schuller lui fracasse le crâne avec un marteau de charpentier, et elle doit s'y reprendre à plusieurs reprises pour que l'hôtesse rende son dernier soupir. C'est un meurtre salissant et laborieux. le pire est à venir avec l'élimination des cadavres qui occupe 3 pages et qui est tout aussi salissante. L'auteure fait bien comprendre au lecteur que le métier d'assassin n'a rien de glamour ou de reluisant. Il faut se salir les mains, mettre la main à la pâte, c'est physique et les victimes ne se laissent pas faire. Ce boulot n'est pas une sinécure et il faut y mettre du coeur à l'ouvrage.

Sous des dehors agréables à l'oeil, Joëlle Jones décrit le savoir-faire de Josie Schuller dans ce qu'il a de plus concret et laborieux. Elle n'aborde pas la question morale des actes du Josie, mais elle montre la facette pragmatique de son métier, avec les moments physiques qui n'ont rien de gracieux, avec les risques encourus du fait des réactions des victimes. Elle développe également la manière dont le système essaye de profiter des bénéfices engendrés par cette activité professionnelle : Irving Reinhardt qui souhaite devenir son associé, une forme de syndicat qui lui promet l'accès à de meilleurs contrats si elle y adhère et cotise. Il y a là un commentaire cynique sur le capitalisme qui s'accommode de toutes les entreprises commerciales du moment qu'elles génèrent des bénéfices, et son absence de moralité.

Joëlle Jones n'en reste pas là dans son histoire. Josie Schuller mène à bien plusieurs contrats, toujours avec le même professionnalisme, la même implication physique, la même conscience professionnelle, et les mêmes phases salissantes, en particulier pour faire disparaître les cadavres. En cours de route, apparaît une intrigue liée directement à sa profession et qui connaît sa résolution dans le présent tome. L'histoire ne se limite donc pas à une succession de contrats à exécuter. le lecteur en apprend un peu plus sur madame Schuller Mère, la mère de Gene, en particulier ses activités pendant la seconde guerre mondiale. Elle dépasse donc le simple dispositif comique, pour devenir un personnage à part entière. de manière incidente au travers de son histoire, la scénariste creuse un peu la question de savoir quelles peuvent être les motivations d'un individu pour mener une carrière d'assassin (c'est l'occasion de découvrir la mère de Josie), et les conséquences sur la vie d'un tel individu. Jones n'aborde pas cette question de front pour Josie. Elle le fait par le biais d'un autre personnage, jouant sur le contraste avec la propre démarche de Josie. Par contre, elle montre les conséquences directes du métier de Josie sur sa vie personnelle, comme il en va aussi pour des métiers plus normaux. Il apparaît alors un portrait en creux de Josie. Les personnages de Gene Schuller et de ses 2 filles Jane & Jessica ne sont guère développés, mais cela apparaît cohérent avec le fait que leur mère Josie ne partage rien de sa vie professionnelle, affrontant chaque difficulté par elle-même, pour pouvoir bénéficier d'une famille normale, pour une vie en société ordinaire, comme les autres.

Joëlle Jones donne une suite à la première minisérie consacrée à Josie, Schuller, une femme assassin, une épouse modèle dans une cellule familiale normale dans les années 1960 aux États-Unis. le lecteur retrouve tout le charme des dessins, la minutie de la reconstitution historique, l'entrain de Josie Schuller. Il est bien vite rappelé à la réalité du métier d'assassin, à la nécessité de s'impliquer pour faire tourner sa petite entreprise, et aux risques de récupération, voire de phagocytage par des intérêts particuliers ou par des entreprises plus grosses. Joëlle Jones combine avec dextérité les contrats successifs, les difficultés professionnelles très particulières, les risques de s'associer, et l'évolution de la situation personnelle de Josie, avec touches d'humour aussi noir que politiquement incorrect.
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Un comics avec une femme bien propre sur elle, aux allures de femmes au foyer américaines des années 50, payée pour assassiner des gens ? Je signe !

Dans ce second volume, nous retrouvons Josie en Floride suite à un déménagement avec son mari et ses enfants, ainsi que sa belle-mère - désormais au courant de sa double vie. Seulement, au cours du grand nettoyage suite à un meurtre, Josie est surprise par une vieille connaissance, Irving Reinhardt... qui va lui proposer de s'associer ! Mais la belle-mère de Josie, qui connaît cet homme, voit cela d'un très mauvais oeil...

En débutant l'histoire, j'avais oublié le fait que la belle-mère était désormais au courant du fait que sa belle-fille tue des gens. Cela va évidemment prendre une grande importance dans l'histoire, puisque Josie n'est plus tout à fait seule... et ne travaille désormais plus seule !

Même si j'ai apprécié les nouveaux éléments de l'intrigue, j'ai trouvé que celle-ci était beaucoup plus sanglante et moins complexe. Malgré ce petit bémol, j'aime bien cette série qui met en scène une mère au foyer qui tue des gens ! J'espère que le tome 3 sera publié un jour, il semble ne pas exister pour le moment...
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À la fin du tome 1 Madame Shuller, la belle maman de Josephine alias Josie avait découvert ce que sa belle-fille était capable de faire, elle voulait la mettre aussi en garde sur un homme très dangereux qu'elle avait connu durant la 2nd guerre mondiale du nom de Reinhardt.

Dans ce tome 2, belle-maman tient tête à Josie car elle n'a pas oublié ce que Josie a fait précédemment. Puis elle est en panique-colère quand elle aperçoit un ami de Josie qui n'est autre que Reinhardt sous leur toit, mais il faut garder les bonnes apparences quand Gene est là. Parallèlement le patron d'Eugene : George Robidoux, à l'humour gras et sans-gêne, va mettre Gene dans une mauvaise situation qui va fragiliser leur vie de famille.

Entre conflits d'intérêts avec qui doit travailler ou pas Josie, nous y découvrirons son passé ainsi que celui de sa belle-maman. Mais le passé finit toujours par nous rattraper car il fait partie de chacun.

Les dessins sont toujours excellents dans les différentes poses et styles que prennent les personnages rappelant les anciennes pubs. Sans oublier le côté pin-up de la femme assassin ou hélas des femmes assassinées le tout en bas nylon porte-jarretelle. Mais ce que j'ai adoré comme dans le précédent tome est ici, la coupe horizontale de leur maison.
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On avait laissé Josie à l'exposition universelle où elle avait plus ou moins réussie à mettre fin à ses liens avec son fournisseur de contrats... de manière expéditive ! Et nous retrouvons la famille Schuller (belle-mère comprise) en Floride où Josie s'est installée en tant qu'indépendante et ce n'est clairement pas facile de tout gérer seule... Après tout un assassinat réussi c'est du boulot ! Mais la vie de Josie va rencontrer un nouveau tournant quand une vieille connaissance va pointé le bout de son chapeau élimé dans son petit coin de Floride... ce qui va signer la fin de la tranquillité et le début des complications...Comme je vous le disais, le tome 1 de Lady Killer m'avait bien plu, pour moi l'histoire avait un beau potentiel même si le tome 1 nous laissait un peu sur notre faim. On arrivait au dernières pages en se disant que c'était une bonne mise en bouche. Et bien avec ce tome 2, Joëlle Jones & Michelle Madsen nous prouve que Lady Killer est un titre à suivre de très près.
Dans ce tome 2, l'histoire s'accélère et les fils d'intrigues entraperçus dans le tome 1 y sont développées avec brio, et cela donne un tome avec un rythme fou ! On y découvre le passé de Mme Schuller, belle-mère de Josie, qui a déjà croisé le chemin d'Irving dans l'Allemagne de la seconde Guerre Mondiale. Et puis le travail en indépendante devient plus délicat que prévu lorsque de vieilles relations retrouvent Josie qui va devoir gérer ses assassinats et sa famille avec une limite entre les deux qui va devenir de plus en plus mince...

Un ton toujours aussi irrévérencieux et une bonne dose d'anti-conformisme qui tranche avec cette Amérique des années 50 qui semblent si proprette et finalement pleine de faux-semblants. Cette liberté que semble avoir Josie, on lui envie tout en pensant qu'elle doit être bien pesante. Ce tome part d'une vie où tout est bien rangé et compartimenté pour finir par une explosion généralisée au sens propre comme au figuré !En bref, un tome qui dépote et qui lance vraiment la série avec un rythme soutenu et une histoire qui s'étoffe. Les dessins sont toujours aussi beaux et colorés ce qui colle très bien avec l'ambiance année 50 et qui fait toujours un super contraste avec la vie d'assassin professionnel de Josie. C'est clairement une série à suivre et qui nous réserve encore de belles surprises !

Lien : http://chutmamanlit.blogspot..
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Toujours aussi cynique, sanglant et drôle, ce second tome m'a davantage conquise que le premier (qu'il est conseillé d'avoir lu pour la continuité du récit)
Les mâles sont toujours aussi misogynes, les femmes toujours autant reléguées aux fourneaux ou vues comme des objets sexuels mais Josie est toujours aussi badass (et tueuse à gage)
Les petits détails d'époque sont délicieux motifs de papier peint, Tupperware, couteau électrique, modèles de voiture ou encore coupes de vêtements.
J'ai adoré en découvrir un peu plus sur les mères de notre couple hors norme. Maman Schuller dans l'Allemagne nazie et maman Josie dans l'Amérique profonde.
A réserver à ceux qui ne redoutent pas l'excès de sang le dimanche midi, lors de la présentation du gigot haricot sur la table familiale...
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critiques presse (1)
BDGest
17 janvier 2018
Faisant fi de nombre d'inhibitions et témoignant d’une certaine propension à la surenchère, Lady Killer ne pose-t-il finalement pas la question existentielle qui mine - une partie - de la gent féminine : est-il possible d’être une tueuse compulsive et une femme équilibrée ?
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
- … Eh ben t'es moins que rien. Comme moi. Oh, allez, tout n'est pas si noir.
- Ah non ?
- Mais non. Et tant que tout le monde pense qu'on n'est rien... ça signifie qu'ils sauront jamais qu'on fond de nous, on est quelque chose.
- Et on est quoi ?
- Des survivantes.
- Des "survivantes" ?
- C'est ça. Et si jamais tu dois faire face à quelque chose d'horrible, souviens-toi que je t'ai appris à survivre dans ce monde de brutes.
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- Mais pourquoi, M'man ?
- Tu veux savoir pourquoi ? Parce que j'suis née sans rien, et ça veut dire que toi aussi, et vu qu't'as eu la malchance d'être une fille... Eh ben t'es moins que rien. Comme moi.
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Il y a sept règles à respecter quand on travaille en indépendant.
Un : la persévérance est la clé de tout. (...)
Deux : apprendre de ses erreurs. (...)
Trois : créer son entreprise est une suite de petites étapes. (...)
Quatre : toujours être préparé.
Cinq : avoir de bons outils. (...)
Six : ne pas avoir peur de se salir les mains.
Et enfin...
Sept : se fier à son instinct.
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Pourquoi ne pas abandonner votre...illusion banlieusarde...et ne plus jamais avoir à faire semblant ou à excuser ce que vous êtes vraiment ?
Un assassin, Josie.
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Je suis vraiment désolée de tout ce qui est arrivé, Maman Schuller. Je...
Assez. Fais ce que toi devoir faire...et que ça finir.
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