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La roue du temps - Intégrale tome 14 sur 14
EAN : 9791028112462
840 pages
Bragelonne (02/11/2022)
4.51/5   61 notes
Résumé :
La Roue du Temps tourne et les Âges naissent et meurent, laissant dans leur sillage des souvenirs destinés à devenir des légendes.

Au champ de Merrilor, les dirigeants de toutes les nations sont réunis pour soutenir Rand al'Thor ou, au contraire, l'empêcher de briser les sceaux de la prison du Ténébreux. La Chaire d'Amyrlin, Egwene, pense que c'est pure folie. D'autres y voient le dernier espoir de l'humanité.

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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Voici venue l'heure pour moi de quitter une saga qui me suit depuis plus de 20 ans. Commencée en poche en 1997, je termine donc en 2020 la lecture de cette série phare de la Fantasy et ce dernier tome a su quasiment répondre à toutes mes attentes avec un souffle épique au long terme comme j'en ai rarement lu ! C'est donc sans regret que je referme cette page de ma vie de lectrice.

Sur plus de 1000 pages, Brandon Sanderson qui a pris la relève de Robert Jordan, se livre à un exercice qui n'a rien de simple : conclure une énorme saga de 14 tomes avec une foultitude de personnages, de relations, de trames scénaristiques, et avec en prime une gageure immense : faire réellement vivre les grands absents de la série, les Réprouvés et leur chef le Ténébreux. Cela n'avait rien de simple. Je me demandais même avec une certaine appréhension si cela allait être possible. La réponse fut : Oui ! Et avec un certain panache en plus !

Ce tome fut une vraie épopée pour moi. Je l'ai lu en apnée car Sanderson avec la plume vive, dynamique et immersive qui le caractérise nous a réellement plongés pendant plus de 1000 pages en pleine guerre apocalyptique. le grand final est là et comme dans les Deux Tours de Tolkien, le combat final est rude. L'astuce de Sanderson pour que le lecture supporte cette immersion quand même très intense dans un univers 100% guerrier et militaire, c'est de parsemer sa narration de petits moments qui semblent anecdotiques mais qui sont autant de moments pour dire au revoir aux personnages en les voyant agir avec courage et détermination. Ainsi, on n'est pas lassé, on n'est pas lésé et tout ce qu'on pouvait espérer et même plus arrive.

L'histoire reprend d'abord là où on l'a laissée avec les différents camps et personnages sur le pied de guerre mais pas encore prêts à s'unir pour combattre leur ennemi commun. Toute la première partie est donc plus politique puisqu'il s'agit de les convaincre de former une alliance. Avec les changements de points de vue fréquents, on se retrouve avec quelque chose d'assez dynamique à lire et en plus, ça a toujours été le fort de la saga de mettre en scène différents camps s'opposant sur la scène diplomatique, donc je me suis régalée ici.

Ensuite, on rentre dans le vif du sujet avec une suite de batailles, affrontements et échauffourées un peu partout dans lesquels les nombreux personnages que l'on a rencontrés au fil de la saga trouvent leur juste place, parfois de manière assez inattendue mais toujours avec une belle logique, l'auteur ne boudant pas son plaisir de mettre en avant des figures féminines fortes, ce fut un plaisir pour moi aussi ! Ainsi pendant les trois quarts de cet ultime volume, j'ai voltigé d'une scène à l'autre, d'un personnage à l'autre, toujours avec passion, effroi et sueur. Car les combats qui se livrent sont rudes et Sanderson, avec son talent habituel, les rend très vivants ! On est vraiment plongé en plein coeur de cette ultime guerre, cette ultime bataille entre les forces dites du bien et du mal, même si c'est plus complexe que cela. Plus complexe parce que des alliances se font entre ennemis d'autrefois et que les ennemis du jour que l'on découvre sont pour certains plus retords voire différent de ce que l'on croyait et l'auteur manie tout ça avec maestria. Je pense notamment à un chapitre au coeur du tome qui s'étale sur plus de 200 pages pour nous raconter et faire faire vibrer autour de cette dernière bataille.

Mais cet ultime volume n'est pas qu'un long combat sur le plan militaire, même si c'est ce qui est peut-être le plus visible. Derrière tout cela, c'est avant tout une très belle aventure humaine. On retrouve chaque personnage (encore en vie) que l'on a croisé et chacun s'accomplit dans ces potentiels derniers instants de l'humanité telle qu'on la connait. Ainsi, j'ai vécu de grands moments avec chacun d'eux. Sans spoiler, j'ai trouvé le rôle de Perrin majeur ici, j'ai adoré la destinée d'Egwene et des frères Damodred, Siuan et Bryne resteront toujours dans mon coeur, Lan m'a fait vibrer comme jamais avec Tam, le père de Rand, et que dire de Mat, personnage central qui a tellement grandi. J'ai seulement été déçue, une fois de plus malheureusement, par les femmes de la vie de Rand, que je trouve décidément trop enfermée dans ce rôle et qui n'ont pas brillé comme d'autres à mes yeux. Je ne cite ici que les principaux mais beaucoup beaucoup de personnages secondaires voire tertiaires ont eu leur moment de grâce à l'image du jeune Olver et c'est magistral quand on connait la complexité de l'univers.

La magie est également belle et bien au rendez-vous tout comme l'habileté militaire. Les passes d'armes ont lieu aussi bien sur le champ de bataille qu'en coulisses. le royaume des rêves est à nouveau essentiel. Les Aes Sedai ainsi que les Seanchans ont des rôles clés, tout comme Mat et ses souvenirs de stratèges. Rand, lui, livre son ultime combat contre le Ténébreux avec les surprises que ce genre de moment réserve toujours. C'est peut-être tout de même l'élément qui m'a le moins séduite ici, car il était un peu hors du cadre par rapport au reste et moins épique. A l'inverse, j'ai été plus que séduite par les interventions enfin notables des Réprouvés, qui ont su jouer le rôle que j'attendais d'eux dans cet ultime moment. Ce n'est pas trop tôt.

Avec son souffle épique, son immersion totale dans les combats, ses moments beaux et tragiques, cet ultime volume de la saga a vraiment apporté une belle conclusion à cette fresque entamée il y a plus de 20 ans pour moi. Les auteurs ne nous ont rien épargné. Ils ont su montrer la noirceur de la guerre, les sacrifices qu'elle occasionne, la dureté de remporter une victoire finale avec toutes les défaites qui ont ponctué le chemin, mais ce ne sont pas des moments vains quand c'est pour un meilleur futur. Je regretterai sûrement longtemps la disparition de certains que j'aurais peut-être échangé avec d'autres mais tout a du sens ici, ils n'ont pas été choisi au hasard. La marque d'une grande saga est de rester dans les mémoires, celle-ci le restera pour moi.
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Que peut on dire après avoir refermé un tel mastodonte de la fantasy ?

Je ne parle pas seulement de la taille du livre en lui-même, même si elle est conséquente, mais de la série en son entier.
Car oui la roue du temps c'est bien treize tome de même dimension. Treize tome pour nous construire un ‘vrai' monde, complexe, riches, foisonnant, une véritable tapisserie que tisse la roue sous nos yeux. Treize tome pour nous préparer ce quatorzième.

Car ce tome, c'est bien sûr la conclusion – on le savait- mais c'est pas une conclusion parcellaire. C'est la prise en main de tout les fils si nombreux que l'auteur avait semé, et tout ou presque y trouve sa petite conclusion.

Alors déjà petit point, si l'auteur avait jusque là épargné tout les personnages tant soit peu importants, ici il faudra vous attendre à ce que certains n'aillent pas jusqu'à la fin. C'est dur cruel, douloureux, mais nécessaire.


Ensuite… je vous conseille de prévoir une journée complètement libre pour le lire, avec aucun impondérable risquant de se pointer.

Car si avant la page 600 il est dur de devoir s'arrêter, cela devient tout à fait impossible à partir de celle-ci, car commence le chapitre intitulé « The Last Battle » qui fait environ deux cent pages à lui tout seul… et est un seul souffle d'action… ou d'actions. On saute de personnage en personnages, avec une tension toujours montante, avec un espoir toujours plus fragile…

Jusqu'à la conclusion, qui est à la fois attendue… et surprenante.

Autant dire que je ne me suis pas couchée avant minuit largement passé, et encore à regret car mes pensées tourbillonnaient encore.


Après c'est dur. Car le voyage se termine. Taimar gaidon a eu lieu, c'est la fin d'un âge et le début d'un autre… ou le lecteur n'a pas sa place.

Seule solution : trouver d'autre bonnes séries de fantasy pour palier de vide.
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Bonjour à tous,

(Ceci est évidemment mon unique opinion et mon ressentis personnel – attention, spoiler)

Je viens de finir le dernier gros volume, le 14. Bon…

Ayant connu depuis peu cette saga, je n'ai pas eu a attendre toutes ces années pour connaitre, ENFIN ! la fin. Tout au long des livres, certains sont top, certains sont ennuyeux… Franchement, je pensais au début que cette ultime bataille aurait lieu vers le milieu de l'histoire, puis on serait passé à autre chose… puis je me suis rendu compte que tout cela finirait avec cette fameuse bataille, donc hâte de savoir ce qui se passerait après… (j'immagine déjà le leger sourire se dessiner sur les lecteurs de ce post).

le volume 12 “La Tempête imminente”, j'ai lu le livre en 1 semaine. Un régal ! Puis on se rend compte que Moiraine va très certainement revenir… on l'attends depuis tellement longtemps ! Il y a un suspens… Puis on comprends bien le titre, c'est cohérent.

Le volume 13 ” Les Tours de Minuit”… déjà un peu plus lent… ca n'avance pas trop… on a l'impression qu'ils ont voulu sortir une trilogie pour sortir une trilogie… puis ce titre… Les tours, bon ok, il y a des tours au début, mais alors pourquoi Minuit…? Là, je n'ai toujours pas compris…

Le volume 14 “Un souvenir de lumière”… ben là ! le gros caca… lol Pardon, mais alors, un ennuie monstrueux… Que c'est dommage, tout ça pour ça ! Ce n'est plus du suspens, niveau vitesse et avancement dans l'histoire, on recule ! J'ai été obligé de lire en diagonale (chose que je ne fais jamais). Mais pourquoi cette lenteur impossible ? Pourquoi tourner autour du sujet comme cela ? Je ne parle pas de cette histoire de Perrin avec “Tueur”… interminable ! Interminable !!! A tel point qu'au final, on n'en voit jamais le bout, qu'on s'en fou de qui est Tueur et de la manière comment se termine cette histoire avec ses Loups… (perso, toute la partie Loup, j'ai pas accroché…). D'ailleurs, à ce jour, je ne sais pas comment cela a fini… C'est pour vous dire ! Je suis navré – surtout pour moi – mais pourquoi faire mourir tous les personnages ? Une peste noire s'abat d'un coup, puis la moitier reviennent à la vie, on se demande comment… si bien qu'on ne sait plus qui est mort, qui est revenu… et ce combat avec le Tenebreux… patatra… Rand est ailleurs… pendant que tout le reste se débat… Taim qui n'arrive jamais… des Rejettés qu'on oublie… sont ils morts ? on ne s'en rappelle plus… le combat avec l'autre – tiens, d'ailleurs j'en ai oublié son nom, puisque, façon, ils en ont plusieurs – qui passe son temps à hurler “Où te caches-tu Rand, viens te battre”… le Tenebreux, une voix… une idée… finalement pas tué mais re emprisonné… et cette fin, pardon, mais pourrie, d'un Rand dans la peau de Moridim, et qui s'en va vite fait… il va où ? Donc ca fini comme ca ? Il se barre ? Cadsuane, le voit, puis bon, elle devient la nouvelle cheffe…

Bref…. pardon, mais mon ressenti est assez sévère, mais je m'attendais à quelque chose de beaucoup moins bancale… Et puis pourquoi “un souvenir de Lumière…” ? Tant qu'à faire, pourquoi de pas faire en sorte que justement ce combat détruise tout ce qui est magie par exemple et que l'on reparte dans un monde sans magie, bien plus tranquille – ça ferait dégonfler les têtes de toutes ses maudites sorcières qui, à la longue, sont juste inssuportables… sans parler des Seacheans qui sont complètement dingues…

Je ne parle pas de la série TV où, au moment où Siuan et Moiraine s'embrassent, j'ai éteinds la télé lol. de qui se moquent les scénaristes ? lol

Dans l'ensemble, cela reste une bonne série évidemment, une immagination incroyable, un monde entier, un peu à la Tolkien, bien que la plume de Tolkien soit juste parfaite. Quelques volumes un peu lents mais dans l'ensemble, c'est top, sinon, je n'aurai pas tout lu depuis tous ces mois haha. Juste la dernière trilogie qui, à mon sens, aurait pu être écrite en un seul gros volume, voire deux max.
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NB: Critique du tome 14 normalement sans spoils, la série aura sa critique à part.

Robert Jordan: “I started thinking about what would turn into the Wheel of
Time more than 15 years ago, and the first thing that I thought of that was really solid was the last scene of the last book.”

Je ne sais pas à quelle scène Jordan pensait en disant l'avoir imaginée depuis le tout début. Mais s'il s'agit de la dernière page, je trouve qu'il aurait mieux valu s'abstenir d'écrire la série si c'est pour la boucler de la sorte...

Un brin de provocation pour commencer. A Memory of Light constitue donc le 14ème et dernier tome paru de la Roue du Temps, rédigé par le talentueux Brandon Sanderson en utilisant les notes laissées par Robert Jordan avant son décès. La première chose que l'on peut dire, c'est que ce tome est globalement une réussite. Brandon a su utiliser une immense majorité des fils créés par le père de la série pour en créer une tapisserie globalement cohérente.

Sur la forme, un fait qui résume pour moi parfaitement la série: le prologue se termine à la page 77. Pour le reste, c'est du solide, de l'héroïque, voire par instants du grandiose. le chapitre intitulé The Last Battle , ne pesant pas moins de 300 pages, est la clé de voûte du tome. de lourds paragraphes initiaux, mimant parfaitement la mise en branle des forces armées, on assiste progressivement à un enchaînement de plus en plus rapide des scènes, des lieux, au fur et à mesure que des dizaines de personnages plus ou moins secondaires s'écharpent dans des bains de sang et de larmes au milieu de milliers d'anonymes.

Je retiendrais donc comme points positifs pour ce tome sa densité, la narration de la dernière bataille par des points de vue multiples, son rôle parfaitement tenu de conclusion au monument qu'est The Wheel of Time pour la fantasy, et plus anecdotiquement la façon dont est traité le Général des forces ennemies dans le chapitre-clé.

Pour les bémols, principalement les multiples questions laissées en suspens. Si le prologue s'étire en longueur, l'épilogue est à mon goût à la limite du foutage de gueule. Et que dire de ces satanées dernières pages... Je n'ose me mettre à la place des lecteurs ayant attendu patiemment chaque tome comme je peux le faire actuellement pour ASOIAF...

Le livre se referme sur une série qui m'aura accompagné 2 ans durant. Et même si la fin n'est pas totalement à mon goût, le contrat est rempli: c'est un bien beau conte que je range dans l'étagère avec nostalgie.
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« La Roue du Temps tourne et les Âges naissent et meurent, laissant dans leur sillage des souvenirs destinés à devenir des légendes. Puis les légendes se métamorphosent en mythes qui sombrent eux-mêmes dans l'oubli longtemps avant la renaissance de l'Âge qui leur donna le jour.
Au coeur d'un Âge nommé le Troisième par certains – une ère encore à venir et depuis longtemps révolue –, un vent se mit à souffler dans les montagnes de la Brume. Sans être le d1ébut, car il n'y a ni commencement ni fin à la rotation de la Roue du Temps, ce vent était un début. »

En 2019, je commençais à lire ces mots qui me captivèrent instantanément, cinq ans après je concluait cette saga qu'on pourrait qualifier d'épique, mais je lui préfère le mot « glorieux ». Je suis content d'avoir pris mon temps pour lire la Roue du Temps, car sinon, je n'aurais pas ressenti ce que j'ai ressenti en la lisant et versé les larmes que j'ai versé en en refermant le quatorzième tome. de plus, si je n'avais pas pris ce temps, j'aurais dû m'arrêter le temps que les les derniers tomes sortent en français.

Certes, durant les trois premières années, je n'ai lu que les trois premiers tomes, le temps d'apprécier le style de l'auteur et à m'attacher aux personnages, puis, j'ai commencé à lire les tomes suivants avec avidité. A croire qu'il n'y a pas que les hommes de Deux-Rivières qui soient des têtes de pioche.

La plupart de l'écriture du développement des personnages est plaisante et agréable à suivre, mise à part quelque exceptions comme Perrin. le cas de Perrin rejoint à mon sens celui de Loial. Si dans certains volumes de la saga Robert Jordan avait tendance à oublier certains personnages ou même certaines intrigues pendant plusieurs tomes, Brandon Sanderson a évité cet écueil avec brio pour ce dernier volume. Chaque protagoniste arrive à la conclusion de son développement lors de l'Ultime Bataille et affronte un adversaire emblématique et taillé sur mesure.

Arrivé aux trois quarts du livre, j'ai soudain réalisé qu'une fois arriver à la dernière page, la Roue du Temps aurait définitivement arrêté de tourner pour moi. Ça m'a noyé dans une profonde mélancolie et suite à cela, je n'ai pas pu avancer dans le livre pendant plusieurs jours, appréhendant le dernier moment que je passerais avec ces personnages que je chérissais tant et cet univers si bien dépeint.

Mais une chose est sûre, la Roue du Temps est une des séries de livres qui m'ont le plus marquées, suffisamment pour que je la considère comme une « série doudou » et je prévois déjà de la relire prochainement. Ce serait l'occasion de me mettre à la lecture en anglais, par exemple.

Univers : 8/10
Personnage : 9/10
Ecriture : 8/10
Rythme : 8/10
Système magique : 10/10
Emotion : 10/10
Style : 9/10
Action : 10/10
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critiques presse (1)
Elbakin.net
14 juin 2023
C’est dans cette dernière trame que l’on retrouve Brandon Sanderson au sommet de son art, avec des duels extrêmement cinématographiques et une magie qui, loin des limites (s’il y en a) du pouvoir unique enfin totalement exploitée.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
"What did you do with your hand by the way? "
"What did you do to your eye?"
"A little accident with a corckscrew and thirteen angry innkeepers. The hand?"
"Lost capturing one of the Forsaken."
"Capturing? " Mat said. "You're growing soft."
Rand snorted. "Tell me you've done better."
" I killed a gholam," Mat said.
"I freed Illian from Sammael"
"I married the Empress of the Seachan."
"Mat", Rand said, "are you 'really' trying to get into a bragging contest with the Dragon Reborn?" He paused for a moment. "Besides, I cleaned saidin. I win.
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The wind rose high and free, to soar in an open sky with no clouds. It passed over a broken landscape scattered with corpses not yet buried. A landscape coverred, at the same time, with celebrations. It tickled the branches of trees that had finally begun to put forth buds.
The wind blew southward, through knotted forests, over shimmering plains and toward lands unexplored. This wind, it was not the ending. There are no endings, and never will be endings, to the turning of the Wheel of Time.
But it was 'an' ending.
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"Pardon, Lord Bryne. " Egwene said. "Your plans are wise, and certainly some of the Aes Sedai should be used this way. However, the White Tower did not prepare and train for thousans of years to sit out the Last Battle as a 'reserve' force. "
Bryne nodded, slipping a new set of documents out from underneath his pile. " I did consider other more... dynamic possibilities, but I did not want to overstep my authority. " He handed her the documents.
Egwene scanned them, raising and eyebrow. Then she smiled.
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"You," Egwene said, "passing jugemment?"
"I know," Mat said. "Too much bloody work, if you ask me. I've been dodging guardsmen all day, trying to steal a little time for myself."
"A little honest work wouldn't kill you, Mat."
"Now, you know that's not true. Soldiering is honest work, and it gest men killed all the bloody time."
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Plutôt que de s'appesantir sur le moment présent- un vol àdos de lézard ,avec une Séanchienne dingue et un gamin dérangé -Mat préféra se concentrer sur ce qui se passait en bas.
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La Roue du Temps - Bande-annonce officielle | Prime Video
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