Les lumières de la ville ne s'éteignent jamais

Parce que "Masque de l'année", je me suis lancée dans ce bouquin sans savoir que c'était un recueil de nouvelle.
Je connaissais José-Louis Bocquet pour ces romans Cutter Killer et Les Chênes rouges publiés eux aussi chez le Masque. Je le découvre là dans un autre exercice tout aussi, ou si se n'est plus risqué, l'art de la nouvelle.
Notre auteur nous propose ici des nouvelles noires et désabusées, écrites de 1998 à 2008, mettant en scène des personnages à un tournant critique de leur existence.
"Les lumières de la ville ne s'éteignent jamais" et reflètent parfaitement le monde du début de ce XXIe siècle. Un bon moment de lecture.

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