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sur 677 notes
Il a fallu qu'un jour, un jeune homme d'affaire, ignare en art, achète par hasard un lot de photographies, puis le miracle d'Internet, pour que Vivian Maier, photographe amateur, sorte de l'ombre pour connaître une célébrité post mortem.
Il faut la plume de Gaëlle Josse, tout en sobriété et en subtilité, pour retisser les fils de l'histoire de cette illustre inconnue. Photographe de génie pour les uns, simple nounou un peu bizarre pour les autres, Vivian Maier a des années durant photographié tout ce que Chicago et New York comptaient de laissés pour compte, de femmes et d'hommes marqués par la vie. Au détour de quelques flash-back, de quelques réminiscences, l'auteur reconstitue les origines françaises de Vivian, modestes et rudes. Ceci pouvant expliquer cela.
L'ombre et la lumière, le passage de l'un à l'autre est l'autre grand axe qui traverse ce récit sans pour autant donner des clés définitives. Au lecteur, somme toute, de se faire son avis.
Passée maîtresse dans l'art de dresser des portraits d'une grande justesse psychologique de femmes qui fuient le regard, Gaelle Josse sort ici de sa réserve pour dire quelles peuvent être les correspondances entre ses héroïnes et son oeuvre.
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La curiosité l'emporte, à la lecture de ce très beau portrait de la photographe Vivian Maier, et incontestablement, Gaëlle Josse en révélant cette" femme à contre jour", prouve une fois de plus son talent , pour notre plus grand plaisir. Quelle photographe ! Quelle femme que cette Madame Maier, au destin chahuté, à la vie étrange et tellement solitaire. Les clichés que l'on admire aujourd'hui sont d'une actualité remarquable. Et le livre se lit simplement, mais le personnage qu'il honore ne s'oubliera pas de sitôt.
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Gaëlle Josse retrace ici la vie de Vivian Maier et de son entourage à travers des témoignages, des documents et des photos mis au jour lorsque son oeuvre artistique a été révélée au grand public. Elle a aussi compulsé d'innombrables articles ainsi que deux documentaires essentiels : « Finding Vivian Maier » de John Maloof et le site de l'Association Vivian Maier et le Champsaur.

Cette femme mystérieuse et solitaire aimait visiblement aller au contact de ses semblables. Née pauvre et ayant toujours vécu modestement, elle a photographié la misère des quartiers populaires, des émigrés, des laissés pour compte. Elle montre une société rude, des vies malmenées. Et de temps à autre des personnes fortunées en habits de soirée. Alors qu'elle voue le plus grand respect aux premiers qu'elle magnifie, les photographies des autres sont souvent moqueuses, floues, décentrées. Ce ne peut être un hasard. Ensuite viendront des autoportraits où elle n'est jamais au centre de la photo mais fait partie du décor comme n'importe quel autre objet. Sa présence est absence comme une allégorie de sa propre existence.

J'ai beaucoup aimé ce récit que nous fait Gaëlle Josse et j'ai été touchée par le personnage même de Vivian. Se dire qu'elle n'aura jamais vu la plupart de ses photos (le développement était trop coûteux et elle ne devait sûrement pas imaginer que cela intéresserait quelqu'un) et n'aura rien su de sa gloire post mortem est déroutant et bouleversant. Elle aura vécu seule, connu de lourds secrets familiaux et aura mené une vie de liberté à une époque où cela était exceptionnel pour une femme.
Je me suis laissé emporter par l'écriture de Gaëlle Josse qui, une fois encore, nous raconte une belle histoire soutenue par une écriture précise et lumineuse. On sent derrière ce récit l'attachement qui s'est noué entre l'auteure et son personnage et j'ai été séduite.
Un très bon récit à s'offrir.

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Comme à chaque fois, lire un livre de Gaëlle Josse c'est se laisser emporter dans une écriture magnifique, elle a le don de sublimer son sujet, merci d'avoir mis en lumière le destin de Vivian Maier.

C'est une biographie-roman que l'auteure nous propose. Cela commence l'hiver 2008 à Chicago où une femme glisse et tombe sur une plaque de verglas. Elle vit dans le dénuement, dans la solitude. Elle décédera le 26/04/2009 à l'âge de 83 ans, sans famille. Mais qui était cette femme ? C'est ce qu'aimerait savoir John Maloof, un jeune agent immobilier qui a acquis d'elle en 2007 des cartons de photos et pellicules, le tout pour 400 dollars dans une vente aux enchères. Il espérait trouver des photos du quartier pour illustrer un livre mais ce sont des milliers de photos de visages qu'il a découverts.

Il sent qu'il détient quelque chose de rare et veut "révéler" "inventer" Vivian Maier, le nom inscrit au crayon sur une enveloppe.

Il va remuer ciel et terre, enquêter et retrouver et faire éclore l'oeuvre de l'artiste.

C'est sur cette énigme que Gaëlle Josse avec sa plume tout en pudeur, tout en délicatesse nous fait découvrir une femme bien particulière et remplie de mystère.

Vivian Maier , une femme franco-américaine avec une enfance et une filiation difficiles qui a choisi d'être nounou, qui sa vie durant n'a jamais quitté son appareil photo, c'était sa vie.

Une femme Libre, qui en pleine ségrégation raciale dans les années 50 photographiait des visages noirs, hispanos, des exclus, des marginaux, des abîmés, des fracassés de la vie. Elle ne pouvait s'empêcher de prendre des clichés, de collecter la vie autour d'elle, d'accumuler, développer et puis d'entasser chez un garde-meubles jusqu'à voir disparaître le sens de sa vie, faute de moyens pour les conserver.

Une femme libre avec une personnalité ambivalente, qui voyage, traverse l'atlantique à plusieurs reprises vers ses racines françaises. Une famille complexe où planent le mensonge et le mystère. Une femme qui dès qu'elle possède un peu d'argent plaque son travail de nurse pour voyager à travers le monde, pour le capturer avec sa petite boîte noire.

Une femme qui semble avoir peur des hommes ? Un choix ? Un besoin d'indépendance ?

Une femme dont on a des auto-portraits, dont l'oeuvre sera mise au monde et reconnue bien après son décès. Pourquoi ne pas avoir voulu montrer son travail de son vivant ? Par peur ? Par amour propre ? Par paranoïa ? Pourquoi tant de mensonges dans son entourage ? Par refus de l'échec ? Vivian Maier était pourtant consciente de son talent, elle en était fière. Encore un mystère !

De nombreuses questions dont Gaëlle Josse essaie de décoder et de découvrir la véritable personnalité de Vivian Mayer. Un livre qui m'a tenu en haleine . Comme souvent Gaëlle Josse s'inspire du monde artistique. Il faut dire que l'écriture est un art en soi et que de nombreux parallèles existent entre l'écriture et la photo.

Une autre question est soulevée également, celle du rêve américain et ce qui m'a particulièrement marqué est le rapport existant entre la solitude , le déchirement, les angoisses et l'équilibre mental de Vivian Maier, et la création. L'ignorance des oeuvres, des similitudes avec Camille Claudel ou Séraphine de Senlis.

J'ai adoré ce récit d'une femme à l'esprit libre et solidaire. Je remercie Net Galley , Notabilia pour leur confiance.

Ma note : coup de ♥

Lien : https://nathavh49.blogspot.c..
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Je remercie les éditions Noir sur Blanc pour l'envoi de l'ouvrage Une femme en contre-jour de Gaëlle Josse.
L'auteure nous fait découvrir l'histoire d'une femme libre, d'une perdante magnifique, qui a choisi de vivre les yeux grands ouverts.
Qui est cette femme ??
Vivian Maier était une femme effacée qui a passé toute sa vie à faire des photographies, plein de photographies. Celles ci ont été découvertes après sa mort. Cette femme ignorera toujours l'engouement qui accompagne ses clichés.
J'avoue que je ne connaissais pas du tout Vivian Maier ni ses clichés. J'ai apprécié de découvrir sa vie, et je trouve ce portrait de femme très bien ficelé.
J'apprécie l'écriture de Gaëlle Josse, toujours empreinte de sensibilité. Ce qu'elle nous raconte est très intéressant, toutefois je dois avouer que j'ai parfois un peu décroché.
Cet ouvrage est bien écrit, il y a du contenu et bravo à l'auteure pour le travail de recherche. On sent que l'écriture de ce livre lui a tenu à coeur.
Mais je préfère quand elle écrit un roman.
Même si Une femme en contre-jour m'a plu, je n'ai pas eu de coup de coeur. J'ai trouvé quelques longueurs ici et là, j'ai parfois décroché.
Ma note : trois étoiles et demie.
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« Sa surexposition posthume est aussi brillante que sa vie fut obscure. » (p. 28) D'origine française et autrichienne, née à New York de parents immigrés, Vivian Maier a produit une oeuvre considérable derrière ses appareils photo. « Où sont-ils, que sont-ils devenus, d'ailleurs, tous ces clichés pris chaque jour pendant ces dizaines d'années, par milliers, par dizaines de milliers ? Elle n'en a pas vu beaucoup. Tout dort dans des boîtes, des cartons, des valises, au fond d'un garde-meuble qu'elle ne peut plus payer depuis des années, dont elle a oublié l'adresse. Tout a-t‑il été jeté, vendu ? C'est sans importance, maintenant. C'est le passé. » (p. 14) Mais ce n'est qu'après sa mort, en 2009, que son travail est découvert et révélé au public. Ce que propose Gaëlle Josse, c'est de reprendre du début l'histoire de cette artiste singulière : sa naissance, son enfance pendant la Grande Dépression, les aller-retour entre l'Amérique et la France, la vie familiale houleuse, le départ pour Chicago, ses postes de gouvernante auprès de nombreux enfants, les voyages, son excentricité et peut-être sa folie.

Vivian Maier est célèbre pour ses autoportraits, mais surtout pour ses scènes de rue. « Tant de visages, d'instants de vie, d'inconnus qui semblent proches. Une bouleversante humanité y circule, et aussi une absolue maîtrise de la prise de vue. le plus novice, le moins connaisseur des regards ne peut qu'être saisi par la densité, la force, l'unité de l'ensemble. Par cet oeil posé sur la vie, sur toutes ces histoires qui se dévoilent en un cliché, histoires urbaines, dans le mouvement, dans la matière compacte de la ville. le terrible, le tendre, le drôle, l'insolite. le vrai. le presque rien qui révèle un destin. » (p. 20) Et c'est bien ce que je préfère dans la photographie, les clichés pris sur le vif, les inconnus attrapés par l'objectif. Parce que pour les images posées, il y a déjà la peinture. Mais qu'on ne s'y trompe pas, l'instantané demande une maîtrise certaine, un talent, et tout le monde ne peut pas être artiste en se dotant simplement d'un appareil photo. « C'est aussi en cela que Vivian Maier ne peut être considérée comme une 'amatrice', avec la photo pour hobby, une distraction comme l'aquarelle ou le patchwork. Rien d'erratique, de hasardeux dans ses prises de vue. Portraits, visages, attitudes, scènes, drôles ou tragiques, sens de la composition, du cadrage, elle signe son travail. C'est une graphiste née. Elle travaille, elle essaie, elle progresse, apprivoise la technique, les réglages, lumière, vitesse, distance de déclenchement. Capturer l'instant et lui donner vie, à jamais. » (p. 88)

Je découvre une artiste avec ce texte, et rien ne me réjouit plus que d'ouvrir mon regard à une oeuvre nouvelle.
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Grâce à l'exposition consacrée à Vivian Maier, j'ai pu découvrir ce très beau roman écrit par Gaëlle Josse, et ce fut une lecture émouvante!
Comme beaucoup d'artistes, Vivian Maier n'a connu la célébrité qu'après son décès.
Son oeuvre a été retrouvée par hasard dans des cartons oubliés au fond d'un garde -meubles de la banlieue de Chicago, lors d'une vente aux enchères.. Vivian, venait alors de décéder à 83 ans dans le plus grand anonymat..
Avec émotion, on découvre au fil de la lecture, l'histoire d'une femme libre, d'une perdante magnifique, qui a choisi de vivre les yeux ouverts.
Une vie faite de solitude, de pauvreté, de lourds secrets familiaux, de silences avec pour seul ami toujours pendu à son cou, son appareil photo. C'est probablement cette passion qui l'a sauvée et l'a aidée à vivre.
Vivian qui n'a pas vu la plupart des ses photos (faute d'argent pour les confier à un laboratoire, et faute de posséder une chambre noire) à arpenté inlassablement les rues de New-York et Chicago, pour photographier avec une profonde sensibilité, les plus démunis, les marginaux, les exclus, les oubliés du rêve américain..
Une lecture magnifique à la recherche de Vivian Maier que je recommande chaleureusement!
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Gaelle Josse est un de mes auteurs préférés par les émotions que son écriture et les thèmes évoqués déclenchent en moi; "Une femme en contre-jour" est le 8ème livre d'elle que je découvre.
C'est en voyant un court reportage sur l'exposition actuellement consacrée à Vivian Maier au Musée du Luxembourg, à Paris, que j'ai tout à coup ressenti l'envie d'en savoir un plus sur la femme et sur son oeuvre. Je me suis souvenu qu" Une femme en contre-jour" attendait depuis longtemps dans ma PAL que je vienne l'extraire; c'est chose faite.
Vivian Maier est née en 1926 à New-York d'une mère française et d'un père américain, d'origine austro-hongroise. Elle a un frère, Carl, de 6 ans son aîné. Ses parents se séparent en 1927 après 8 ans d'un mariage marqué par les disputes, l'alcool, la violence et le manque d'argent. La Grande Dépression et la pauvreté poussent Vivian et sa mère à rentrer en France, en 1932, dans le village de naissance de celle-ci. En 1938, elles repartent aux Etats-Unis car Carl est en prison et va très mal mais Carl et sa mère ne se supportent pas. A 17 ans, Vivian commence à travailler comme opératrice de saisie puis vendeuse, métiers qu'elle déteste.
En 1956, elle s'installe à Chicago où elle rentre au service de la famille Gensburg comme nurse pour leurs 3 fils. Elle y restera 17 ans puis elle va de famille en famille. A la fin des années 1990, les fils Gensburg, qui n'ont jamais oublié leur nanny, la soutiennent financièrement car elle vit dans une extrême pauvreté et cela jusqu'à sa mort en 2009 à l'âge de 83 ans.
Quelques jours après sa mort, un jeune agent immobilier, John Maloof, qui avait acheté aux enchères, en 2007, pour 400 dollars, un fatras de 120 000 photos, films, pellicules non développées, planches-contacts, intrigué et fasciné par les photos, commence une enquête avec un indice minuscule :le nom de Vivian Maier griffonné sur une enveloppe. Sa quête fera émerger une artiste méconnue, photographe de rue, qui a su montrer, donner une réalité aux nombreux laissés-pour-compte des années 50-60 aux États-Unis en livrant la réalité crue, saisie au vol, sans embellissement, avec empathie.
Vivian Maier ne se livrait pas et elle reste encore un mystère; on ne peut qu'être touché par son extrême solitude, par une enfance difficile avec une mère qui ne l'aimait pas, un père absent, un frère paranoïaque. La photographie était sa compagne, sa vie et elle n'a jamais cessé de fixer la vie sur pellicule.
A la fin de cette biographie légèrement romancée, Gaëlle Josse explique les écueils qu'elle a du éviter pour ne pas trahir Vivian Maier et pour que ses propres émotions ne pervertissent pas la vraie Vivian Maier avec laquelle elle semble ressentir une grande proximité de coeur.
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Je comprends parfaitement l'engouement pour Vivian Maier, qui me fascine moi-même en tant que femme et photographe, et son histoire méritait d'être racontée au grand public, déjà séduit par la plume de Gaëlle Josse. Il n'empêche que j'ai été très déçue en lisant ce livre, dont j'attendais beaucoup, notamment parce que j'effectuais moi-même des recherches sur Vivian Maier au moment de la lecture, et que j'avais inclus l'ouvrage dans mes références bibliographiques.
Dans Une femme en contre-jour, Gaëlle Josse se limite à restituer des éléments biographiques légèrement romancés, des éléments auxquels on accède par ailleurs très facilement en effectuant quelques recherches sur Internet et qui ne sont donc pas très poussées. Première déception : l'impression d'une enquête bâclée. Ce n'est que dans le postface que l'autrice interroge son rapport à Vivian Maier, l'objet de son roman : pourquoi écrire sur elle, et comment l'écrire sans la dépouiller de son histoire, en trouvant sa juste part d'implication en tant qu'écrivaine ? C'est cette dimension, peut-être, que j'aurais aimé voir davantage développée.
Ma deuxième déception concerne la place des photographies de Vivian Maier dans ce texte. Privilégiant le récit romancé, Gaëlle Josse écrit à côté de la photographe en spéculant sur la femme à partir des témoignages de ceux qui l'ont connue. Elle écrit à côté des photos sans écrire vraiment sur elles, c'est-à-dire à partir d'elles, alors que c'est pourtant tout ce qu'il nous reste de Vivian Maier, et constitue donc, selon moi la matière première d'une enquête s'efforçant d'en recomposer l'autoportrait éclaté entre toutes ses images.
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Bon, je pense que cet avis risque de ne pas être très objectif car j'adore Gaëlle Josse ET je suis fan de Vivian Maier.
La plume le Gaëlle Josse va à l'essentiel. Pas de gras, rien à jeter et en plus elle sait "toucher" juste car elle emploie toujours le mot exacte qui va transcrire une émotion particulière.
La vie de Vivian Maier est incroyable! Il y a quelque chose de pathétique dans son histoire qui me bouleverse. Et son travail, quel génie !
Gaëlle Josse raconte la vie de Vivian d'une très belle façon, sans chichi, comme Vivian.
A lire absolument pour découvrir l'auteure (si ce n'est pas déjà fait...) et son sujet.

Si vous avez aimé, je vous conseille pour aller vraiment dans le détail de la vie de Vivian Maier LE livre référence d'Ann Marks : "Vivian Maier révélée: Enquête sur une femme libre". Ce livre est une vraie merveille. S'il est un peu cher, c'est qu'il s'agit du recueil le plus complet qui existe sur cette artiste, réalisé par LA spécialiste de Vivian Maier.
Enfin, vous pourrez continuer avec le DVD "A la recherche de Vivian Maier" qui raconte la découverte des cartons de photos, films et pellicules de Vivian par John Maloof en 2007 et la reconstitution de l'existence de cette femme décallée et très en avance sur son époque que fut Vivian.

De vrais bijoux à découvrir si vous aimez les surprises.

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