AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Magies secrètes tome 3 sur 3
EAN : 9782070464692
304 pages
Gallimard (01/04/2016)
3.58/5   25 notes
Résumé :
Le tournoi des ombres entraîne Georges Beauregard en Egypte où un canal va être inauguré, à Suez, en présence des dirigeants des plus grandes puissances. Un étrange phénomène est en effet signalé dans le désert. Se peut-il qu’une menace pèse sur l’événement, voire sur le monde ? Et tout cela pourrait-il avoir un rapport avec les tragiques incidents qui menacent la Féerie, à Paris ? Beauregard, aidé de ses compagnons, ne va pas chômer. Surtout s’il souhaite, en plus,... >Voir plus
Que lire après Magies secrètes, tome 3 : La nuit des égrégoresVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Troisième tome et conclusion de la saga Magies secrètes. J'avais une petite appréhension après la lecture du second opus car certains points m'avaient chiffonnée. Dans l'ensemble, je dirai que je suis satisfaite de la conclusion, tout en ayant le sentiment qu'un certain flou demeure concernant des situations et des personnages. Cela ne m'a pas tellement gêné mais j'aurais aimé un point final véritable.

Nous nous retrouvons donc après les incidents du Tournoi des ombres, et autant dire que les choses vont de mal en pis. Trois groupes se forment pour le récit. Doré et Henry qui s'occupent notamment du cas de Jeanne, Beauregard qui est à Byzance pour surveiller les travaux du roi Obéron III et les habitants restants du manoir mené par Albert. J'ai bien aimé cette dynamique qui nous permet de constater les événements de trois lieux stratégiques. Déjà le Nouveau Monde est plutôt sympathique et on comprend aisément pourquoi Doré a décidé de rester. On retrouve cette notion de monde de liberté et de toutes les possibilités. Un peu utopique mais un reflet, je le pense, tout à fait plausible de ce que ressentaient les gens de l'époque à propos du nouveau continent. Georges, lui, est au final assez absent de ce dernier tome. Mais nous gardons quand même un pied dans ce qu'il se passe sur le contient africain par le biais de ses connaissances. Intrigues politiques à gogo ! Et pour finir Sequana... folie meurtrière, persécution, massacre... Pas une partie de plaisir.

A travers toutes ces aventures, l'auteur nous permet de revisiter certains points de l'histoire, remaniés à sa sauce, mais aussi de mêler beaucoup de genre et de réflexion. le côté éthique des inventions et les conséquences qui en découlent. Les intrigues politiques et tous les rouages et négociations. La folie sous différents aspects : des grandeurs, du désir de vouloir plus, de la démence pure et simple, de l'aveuglement, du racisme à un plus haut niveau. A côté de cela, car il y a beaucoup de négativité, des points plus positifs ressortent. Je pense notamment à Albert qui livré à lui-même doit prendre soin des siens alors que son monde s'écroule. J'ai aimé voir le fait que le genre humain (même si ce sont des Feys dont on parle, faisons le parallèle) a cette capacité à espérer et à ne pas laisser tomber. Les liens que l'on crée avec de parfaits inconnus et qui au final deviennent notre famille, les ressources inexploitables que l'on se découvre. Il y a aussi cette part de non violence mise en avant pour défaire les crimes les plus atroces. L'amour qui peut transcender les pires moments. L'acceptation qui ne veut pas dire le renoncement. Vraiment de bonnes valeurs.

Du côté des intrigues en elles-mêmes, j'ai quelques "déceptions". Isis qui tire son épingle du jeu malgré sa situation n'a au final aucune fin, aucune échappatoire, même si je ne me fais pas de soucis pour elle. Georges, très absent, finit par nous révéler certaines choses qui font l'effet d'un pétard mouillé (cf l'héritage de John Dee), et il y a un goût d'inachevé concernant sa famille et son futur. Certes nous nous doutons de ce qu'il va devenir même si la fin est ouverte mais je trouve dommage de ne pas avoir plus ancré ce personnage. Sequana, ou Paris, est à un point de non retour qui est très intéressant. J'ai apprécié ce qui découle des manoeuvres de Titiana mais je ne comprends pas réellement son dessein. C'est trop flou, alambiqué ou trop facile si l'on veut. Nous assistons à beaucoup de chutes sans voir d'évolution.

Heureusement, les personnages sont là pour donner tout son charme au roman. le retour de Jeanne était un petit bonheur. Ce personnage est vraiment ce que j'attends dans la littérature moderne concernant les femmes. Ce côté "je vis ma vie comme je l'entends". Georges était trop absent pour pouvoir en dire quelque chose. Il restera pourtant un personnage à la hauteur des ambitions de son créateur. J'aurais bien aimé le suivre dans plus d'aventures. Quant à Albert ! Enfin, le sorcier prend de l'ampleur et il s'en sort avec les honneurs. Une vraie "découverte" en un sens, même s'il est là depuis le début. Une excellente idée de le mettre en avant.

Pour finir, une saga qui a ses défauts, je ne mentirais pas là-dessus, mais qui m'a fait passer d'excellents moments. Même si je trouve que nous manquons d'aboutissement, la fin est à l'image de l'univers et de ses personnages. Il nous reste des questions, mais il est facile de s'imaginer ce qui pourrait se passer.
Commenter  J’apprécie          330
Série découverte grâce à une Masse Critique lors de sa parution chez Pré aux Clercs. Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2016-2017.

Fin des aventures de George Beauregard et de ses amis !

Je pensais d'ailleurs que le tome 2 signait la fin de ces aventures d'autant plus que la collection Pandore des éditions Pré aux Clercs a fermé ses portes. C'est donc avec surprise que j'ai découvert ce tome 3 sur Babelio l'an dernier. J'ai du attendre un peu avant de recevoir un exemplaire en bonne et due forme car Folio a des petits problèmes de pages, de reliures et compagnie (le livre a été renvoyé 4 fois à l'expéditeur par ma libraire). Et depuis, il attendait d'être lu. C'est maintenant chose faite alors que cela faisait 3 ans que les 2 premiers tomes étaient sortis. Je regrette presque de ne plus retrouver ces personnages et les notes si chères à cette série.

Pour ce dernier tome, nous suivons plusieurs personnages car le groupe d'origine (Beauregard, Doré, maître Albert, Isis) a été dispersé aux 4 coins du monde, voire même dans le passé, à cause des évènements à la fin du tome 2. Malgré un écart de 3 ans, je n'ai eu aucun mal à me remettre dans l'histoire et malgré ma critique du tome 1, j'ai retrouvé avec plaisir les notes de fin de pages qui nous apportent des éclaircissements sur certains personnages qu'on ne croise qu'une fois mais que les personnages principaux semblent connaître. Cela renforce ainsi la complexité du monde créé par l'auteur ainsi que son passé et son histoire future. On visite d'ailleurs un peu plus ce monde grâce aux différents personnages (Nouveau Monde, Ancien Monde, Égypte...). On découvre les particularités de certains Feys et on déjoue encore plus de complots contre les étranges et ceux des puissants. Certaines questions secondaires restent sans réponse à la fin de ce tome mais on dirait que ces digressions n'étaient qu'un petit plus pour l'ensemble de l'histoire (le père de Beauregard par exemple...).

Comme vous l'aurez compris, cette suite a été une agréable lecture où il arrive encore bien des malheurs aux étranges de tout acabit. Nos amis vont tout faire pour en sauver un maximum mais pour ça, il faudra qu'ils soient répartis sur différentes enquêtes. Cela complexifie un peu plus ce tome. Chaque tome peut être lu séparément mais on perd des informations sur les différents personnages et leur passé commun. À l'époque de la lecture des 2 premiers, je ne connaissais pas le terme steampunk que certains ont appliqués à cette série. Cela pourrait effectivement correspondre s'il ne s'agissait d'un monde où les Feys sont présents en grande majorité. Malgré cela, je vous conseille donc de découvrir cette trilogie assez originale se déroulant à Sequana, dans un monde ressemblant au nôtre, dans un mélange de fantastique, d'enquêtes policières et d'histoires d'amour. Pour ma part, j'apprécie de plus en plus le style de cet auteur, dont j'ai également lu « Le Palais des Mirages » se déroulant pendant une Exposition Universelle du début du siècle dernier, et que je vais continuer à découvrir.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Commenter  J’apprécie          320
Que j'étais content quand j'ai vu que ce troisième opus paraissait ! Rappelons un peu les épisodes précédents : Hervé Jubert faisait partie de ce petit panel d'auteurs ayant eu la chance de travailler avec Xavier Mauméjean au sein de la collection Pandore des éditions du Pré-aux-Clercs ; une fois cette collection close, qu'advenait-il de la suite des séries commencées ? C'est finalement Pascal Godbillon qui a récupéré le tout chez Folio SF avec la promesse de poursuivre la publication directement en poche.

GHBB est donc de retour ! Non, ce n'est pas une drogue qui ferait passer les nourrissons à l'état de camés cadavériques, ce sont heureusement les initiales du fameux ingénieur-mage Georges Hercule Bélisaire Beauregard qui nous a déjà tenus en haleine durant deux tomes, à travers la Séquana de l'empereur Obéron III, puis dans les ruelles sombres et embrumées de New London ! Dans une Europe très nationalisée autour de grandes figures politiques (Obéron III est bien sûr l'équivalent de Napoléon III), l'ingénieur-mage cherche à survivre non seulement pour lui-même, mais aussi pour la cohorte de créatures féériques qu'il protège. Clairement, il y a une vraie difficulté à se remettre dans l'intrigue alors que celle-ci s'emballait à la fin du deuxième tome ; La Nuit des égrégores redémarre alors tambour battant alors que les tenants et aboutissants de l'histoire donnent l'impression d'être en place depuis longtemps. Comme il vous est rappelé en prélude, mieux vaut lire (ou relire) les tomes antérieurs pour être au taquet. Toutefois, l'univers féérique créé par l'auteur en se calquant sur les événements de la fin du XIXe siècle est tellement riche et peut tellement absorber quantité de mythes transversaux qu'on s'y refond avec plaisir.
Mettant fin à l'unité de lieu des tomes précédents, l'auteur opte pour une vision d'ensemble afin de suivre le groupe de protagonistes devenu conséquent dans les villes de Séquana, Byzance, Gotham, même le Caire. Car le petit groupe de héros potentiels, qui s'était constitué autour de Georges Beauregard durant les événements de New London dont nous découvrons les conséquences ici, est éparpillé aux quatre coins du globe façon puzzle ! Cette situation décousue n'est pas pour autant délivré à vau-l'eau par l'auteur, puisque le tout s'enchaîne avec une facilité très agréable au sein d'uniquement cinq longs chapitres cohérents (je préfère cela à un manque d'intrigue caché derrière des chapitres rachitiques dans le but d'accélérer artificiellement le rythme de lecture). Georges Beauregard a un rôle finalement bien plus réduit ici, puisqu'il se résume à deux interventions, à Byzance puis le Caire, alors que ses acolytes agissent, voguent, volent et enquêtent. Ce déséquilibre ne nous empêche pas du tout de retrouver ces personnages avec grand plaisir, ni de bénéficier d'un récit particulièrement fluide.
Outre ces aspects de personnage et d'intrigue, tout lecteur aura plaisir à déceler dans la série Magies secrètes quantité de références historiques, ou uchroniques plutôt, ainsi qu'un bestiaire très intéressant. Parmi les références foisonnantes, le roman se termine sur d'étranges parallèles avec le génocide juif (pas arménien, ni tsigane, il n'y a aucune ambiguïté ici) qui m'ont un peu gêné ; même si le parallèle général sur la disparition des créatures magiques se défend tout à fait, je n'ai honnêtement pas saisi l'intérêt de ce choix référencé. Pour autant, c'est l'occasion de voir l'affrontement des Fays, ces nombreuses et diverses créatures issues de la Féérie, avec une entité qui cherche à les traquer pour une raison bien précise. L'Égrégore est dans la place et il compte bien vous happer !

Même si mon côté pointilleux a diablement envie de critiquer tout un tas de petits critères, La Nuit des égrégores m'aura particulièrement diverti avec une aventure courte mais foisonnante, dissolue mais très fluide, et un univers qui me sied parfaitement : ce que j'avais trouvé dans les publications de la collection Pandore est bien présent dans cette suite.

Commenter  J’apprécie          222
Un peu déçu pour ce dernier tome.

Nous voilà donc à la conclusion des aventures de Beauregard. Mais j'avoue avoir été un peu déçu par la fin.

La grande difficulté de cette chronique, c'est d'arriver à parler de l'histoire sans spoiler les tomes précédents. À la lecture, de cette aventure, je me suis vite rendu compte que l'ensemble de la trilogie est construit comme un seul récit. Certains éléments du tome 1 vont se conclure dans le 3, idem avec le second. On somme loin d'une série où chaque tome est individuel avec ses propres affaires et où les tomes précédents peuvent être dispensables à la lecture (je pense au Paris des Merveilles de Pierre Pevel par exemple). Ici, je crois vraiment qu'il faut lire tout le tome pour saisir complètement les différentes intrigues. Et ça, c'est quelque chose que j'ai beaucoup aimé !

L'auteur de ce livre n'a aucun état d'âme pour tuer ses personnages ! Sérieux, j'étais sur le cul ! Alors tout le monde ne meurt pas, mais l'un d'entre eux… la vache ! Je ne l'avais pas vu venir !
De plus, l'horreur est clairement au rendez-vous. L'auteur parvient à sa manière à faire des échos aux pires événements du siècle dernier (certes à moindre échelle). Ça prend aux tripes.

Par contre, il y a des points qui m'ont vraiment embêté vers la fin du tome.
Déjà, j'avoue que le sort de Titania m'a beaucoup déçu. Vu le projet et l'horreur qu'elle a mis en oeuvre, je m'attendais à quelque chose de plus… fou. Je trouve qu'il y a un changement d'état d'esprit qui correspond mal à l'image que je me faisais d'elle. L'aboutissement de sa folie ne marche pas.
Ensuite, l'égrégore aussi m'a un peu déçu. J'ai trouvé son sort un peu vite expédié… et j'ai trouvé que ça ne marchait pas trop. Je m'attendais à quelque chose de plus épique.
Il y a aussi pas mal d'éléments dont je n'ai pas vraiment trouvé qu'il y avait de résolution (comme avec l'affaire des parents de Beauregard)… Et c'est dommage, car à la fin de l'histoire, il reste plein de questions auxquelles on ne peut pas vraiment répondre.
Et pour terminer, je n'ai pas non plus aimé la dernière scène avec Jeanne que je trouve bien trop convenue à mon gout. Mais là, c'est très personnel.

Quoi qu'il en soit, j'ai beaucoup aimé cette série. Elle se construit sur une longue trame et constitue comme un ensemble et non comme une série de tomes autonome. de plus, l'auteur joue certes sur les mythes et légendes, mais il fait aussi appel à un certain folklore et croyance populaire, ce qui ne coure pas les rues. de plus, il a su mettre en scène aussi bien des personnages fictifs de son cru (Jeanne), des personnages de romans (Puck) ou encore des personnes réels (Gustave Dorée).
Il est juste dommage que la fin ne soit pas à la hauteur du reste.
Commenter  J’apprécie          20
Indéniablement une vraiment belle surprise ce dernier tome. Dans ce volet les protagonistes sont tous éparpillés, le climax est à son maximum dans cette aura de tragédie qui plane irrémédiablement sur ce tome, dès les premières pages on sent que des têtes vont tomber… L'ambiance est lourde, les tragédies décrites résonnent comme un déjà-vu douloureux… L'auteur nous plonge dans un monde tout à la fois imaginaire et pourtant connu, on ne voyage plus seulement géographiquement mais chronologiquement, le puzzle s'assemble et c'est passionnant… Ce dernier volet offre beaucoup plus de places aux personnages secondaires et c'est appréciable, de nouveaux venus entrent dans la danse pour nous mener à la fin de cette saga… du moins pour le moment puisque la fin semble prometteuse d'une ouverture qui peut faire supposer à de nouveaux tomes futurs…
Le seul point noir que j'ai trouvé encore une fois, ce sont les raccourcis, autant émotionnels dans les interactions entre personnages que dans le dénouement de certaines intrigues… c'est dommage, ça casse la cohérence de certains éléments et ça enlève de la profondeur aux personnages et à l'intrigue…
Voilà pour ce tome en particulier, maintenant ayant fini cette saga de trois tomes, et avant de vous donner ma note finale pour celui-ci, je vous livre mon impression globale : il s'agit d'une saga très plaisante, idéale pour découvrir le style streampunk, l'auteur a du talent pour créer un univers bien particulier, je trouve pour ma part que ces trois tomes auraient mérité de n'en faire qu'un seul, cela aurait renforcé la cohérence et la profondeur des personnages… Il y a une réelle progression dans ces trois tomes, mais l'impression que laisse le premier n'incite pas forcément à lire le reste ce qui serait vraiment dommage pour les belles surprises qui attendent derrière… le premier met trop de temps à présenter les protagonistes, l'univers et le fond de l'intrigue pour donner l'ampleur de ce que promet la suite, ce qui n'aurait pas été le cas si les trois tomes s'était tenus en un seul et unique roman, long certes mais très sympathique…
Lien : https://labougiedevinayaka.w..
Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Isis finit son café et consulta distraitement le motif dessiné par les grains au fond de sa tasse. Elle n’attachait pas beaucoup d’importance à la divination. On ne subissait pas sa vie. On la faisait. N’empêche. Les hommes comme les Feys étaient tributaires de mouvements de fond, de cycles, parfois générés par des volontés hors du commun, parfois mus par des forces plus obscures et ancestrales.
Commenter  J’apprécie          220
Nous profitons de cette note pour indiquer à notre ami lecteur que ces extensions au récit sont de simples cadeaux bonheurs, tels ces sucres d'orge à transformations, merveille de technologie féerique que l'on trouvait dans des établissements comme le Paradis de l'enfance. Elles sont là pour ajouter une touche supplémentaire, une information, utile ou non, de la couleur et de la matière. Si le lecteur préfère les ignorer, grands dieux !, libre à lui. Sa compréhension de l'histoire dans son corps principal n'en pâtira pas.
Commenter  J’apprécie          160
- Bordel de cornet de piston de queue de ballet de chiotte ! jura Cruche d’enfer, sortant enfin de son silence.
Commenter  J’apprécie          230
— Jeanne a vraiment proposé à ce Puck de s’écraser sur New London ?
Beauregard sourit.
— Le corps dans lequel elle est revenue appartenait à une Irlandaise.

Commenter  J’apprécie          120
(…) en rencontrant Lilith, il avait appris qu'écouter son cœur vaut tous les savoirs du monde.
Commenter  J’apprécie          160

Videos de Hervé Jubert (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Hervé Jubert

Hervé Jubert et la série Monstre aux éditions Rageot
Présentation de Monstre, la nouvelle série d'Hervé Jubert, au Salon du livre de Paris 2014.
autres livres classés : steampunkVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (53) Voir plus



Quiz Voir plus

Les aventures de Blanche (Hervé Jubert)

Quel métier exerce Gaston Loiseau (l'oncle de Blanche) ?

Commissaire à la Sûreté
Professeurs des écoles
Boulanger

7 questions
3 lecteurs ont répondu
Thème : Blanche ou la triple contrainte de l'enfer de Hervé JubertCréer un quiz sur ce livre

{* *}