Que les adeptes soient rassurés, Iznogoud fait toujours figure de Joe Dalton du Moyen Orient et le prince a toujours le discernement et l’énergie de Rantanplan. Le cahier des charges est respecté. L’album est plaisant sans être indispensable. Si le lecteur admet qu’une intrigue peut avoir comme seule légitimité un jeu de mot final, il ne faut pas se priver.
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