>
Critique de Gloglobetrotteur
Lassée des infidélités de Chino son mari, Zelda le quitte, lui et la Guadeloupe pour retourner en Inde où elle a grandi et essayer de retrouver Satyaky, son amie d'enfance dont elle n'a plus de nouvelles depuis longtemps.
Lotus la maîtresse de Chino tient un restaurant et espère s'installer de manière plus durable avec Chino.
Chino travaille avec Thadeuz sur un chantier de construction où une grève se prépare. Ils vont se trouver embarqués dans une manifestation.
Thadeuz ressent des sentiments pour sa voisine Victorine qui élève seule sa fille Teri, adolescente rebelle et s'occupe de sa mère Zeth, perdue et vieillissante.
Jack, commissaire de police et ami d'enfance de Victorine , essaie de l'aider de son mieux.
Chacun se trouve à un moment charnière de leur vie où ils vont être amenés à faire des choix qui pourraient leur permettre de sortir de la morosité et de la solitude dans lesquelles ils sont enfermés.
Loin des images paradisiaques des agences de voyage, Cécilia Jules-Burth dépeint le quotidien de personnages ordinaires, leurs difficultés professionnelles, leurs sentiments bruts, non romancés, de manière lucide et réalistes. le sentiment de solitude de chacun des protagonistes est renforcé par l'architecture du roman qui s'intéresse à chacun des personnages de manière presque isolée. le lien qui les relie est réel mais fragile. Comme la vie.
Lotus la maîtresse de Chino tient un restaurant et espère s'installer de manière plus durable avec Chino.
Chino travaille avec Thadeuz sur un chantier de construction où une grève se prépare. Ils vont se trouver embarqués dans une manifestation.
Thadeuz ressent des sentiments pour sa voisine Victorine qui élève seule sa fille Teri, adolescente rebelle et s'occupe de sa mère Zeth, perdue et vieillissante.
Jack, commissaire de police et ami d'enfance de Victorine , essaie de l'aider de son mieux.
Chacun se trouve à un moment charnière de leur vie où ils vont être amenés à faire des choix qui pourraient leur permettre de sortir de la morosité et de la solitude dans lesquelles ils sont enfermés.
Loin des images paradisiaques des agences de voyage, Cécilia Jules-Burth dépeint le quotidien de personnages ordinaires, leurs difficultés professionnelles, leurs sentiments bruts, non romancés, de manière lucide et réalistes. le sentiment de solitude de chacun des protagonistes est renforcé par l'architecture du roman qui s'intéresse à chacun des personnages de manière presque isolée. le lien qui les relie est réel mais fragile. Comme la vie.
