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Critique de palamede


« Il n'y a pas de consolation sans souffrance. Et il ne devrait jamais y avoir de souffrance sans consolation. » Anne-Dauphine Julliand met des mots sur l'indicible souffrance de la perte de ses deux filles. Une souffrance et son pendant, la consolation, qu'elle analyse avec une acuité exceptionnelle. C'est beau, intelligent et émouvant. C'est triste aussi bien sûr, mais c'est surtout plein d'espoir, de foi en l'homme aimant et consolant, et de foi en Dieu...

« On dit souvent dans l'épreuve que le ciel nous tombe sur la tête. J'ai eu le sentiment qu'il descendait jusqu'à moi, sans fracas. Dans ce moment où la souffrance m'a privée de toute force, où jamais je me suis sentie aussi douloureuse, vulnérable, meurtrie, misérable, indésirable, j'ai expérimenté l'amour sans condition et sans limites. Et cet amour ne me quittera jamais. Je sais désormais que je suis aimée quoi qu'il m'arrive et quels que soient mes peines, mes errements, mes doutes et mes faiblesses. »
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