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Critique de Hugo


J'ai fait un petit junging au pays des rêves, dans l'inconscient boudé par l'homme moderne enfermé dans sa raison formaté par ses préjugés, sans réflexion sur le pourquoi du MOI…

Et puis crevé par peu de répit d'un enfant de moins deux ans, j'ai songé dans les profondeurs de mon âne et de mon esprit, habité par un inconnu, qui quoi qu'on en crois pas, te raconte des tas de trucs sur un tas de merdes qui te peuplent la tête à ton insu… parfois inné et primitif, collé à ton Toi depuis l'époque primitive, mais souvent personnel, suivant ton environnement, ton éducation et ta vie de branlos…

Il blablate sur les symboles, les archétypes, et plein de machins, il parle de son pote Freud qui n'était Plus vraiment son pote et il évoque Nietzsche… bref le gars vulgarise son oeuvre à travers cet Ouvrage qui donna raison à quelques unes de mes petites réflexions sur le sujet, puisque j'aime Interpréter mes rêves, genre tout seul dans ma tête sans intervention extérieure…

Me voilà endormi sur ma main engourdi
reposant sur mon coude attabler à mes rêves
Les yeux fermés salivant du bout des lèvres
Je m'enfonce paisiblement dans ce monde insoumis
A toute raison et logique d'un homme sain d'esprit

Rêves Rêve ouvre toi et raconte moi mon histoire….

Me voilà bien assis au bord d'une rivière,
Ou je tiens dans ma main une canne à paresse
Et ma ligne qui dérive dans les courants incompris
Et mon bouchon qui s'enfonce dans les profondeurs du mépris
Emportant avec lui mon désir inassouvi

Il n'y a plus de sens, là ou tout se mélange
Dans ce tourbillon infernal d'un esprit perverti
Par cet inconscience troublante la journée endormie
Mais qui donne tout son sens au Toi qui t'habite
Depuis for longtemps dans ton Moi si étrange

Alors perdu dans mes songes incessants
Ou les chimères oniriques se mélangent et dansent
Dans une déferlante inconsciente d'une conscience assouvi
Qui par tant folie veut revenir à la vie
Alors dans un élan serein ou un cri dans la nuit

L'homme se réveille dans l'oubli onirique
D'une envie qui se presse au bout du fusil
Alors à moitié endormi et au pied de son lit
Il s'empresse aux chiottes pour cracher son pipi…

A plus les copains…
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