Le soir, quand plus personne ne me regarde, je baisse le masque. Et je mange. Je nourris tous les personnages qui m'habitent.
Seul, on va plus vite. Mais tous ensemble, on va plus loin.
"Une île, c'est peut être un radeau pour les naufragés de la vie"
La vie, c'est comme une course de caisses à savon. Seul on va plus vite. Mais tous ensemble, on va plus loin !
Jeanne affirme que je suis hypersensible, que les émotions affleurent en moi comme les vagues qui s'écrasent sur la falaise. Même si elles ne veulent pas me faire de mal, elles me mouillent, m'érodent, me cisèlent. Je les prends en plein cœur, elles me submergent.
Si ce qu'on fait nous rend malheureux, c'est que c'est pas ce qu'il faut, même si on gagne beaucoup d'argent.
Si, dans la vraie vie on pouvait avoir droit à quelques répétitions avant de crier "tournez", il y a fort à parier que mon film serait plus joli. Mais la vie n'est pas un film.
C’est le vide qui effraie, parce qu’il nous laisse face à nous-mêmes. Le silence, lui, permet de nous écouter et de dénicher les trésors enfouis au fond de nous
Celui à qui on cache quelque chose durant son enfance le ressent de façon intrinsèque. Et ce mal-être peut resurgir des années plus tard. Ce secret, pourtant inconnu, a neanmoins une incidence sur sa vie, parce que la mémoire émotionnelle transpire sur les héritiers.
Jeanne affirme que je suis hypersensible, que les émotions affleurent en moi comme les vagues qui s’écrasent sur la falaise. Même si elles ne veulent pas me faire de mal, elles me mouillent, m’érodent, me cisèlent. Je les prends en plein cœur, elles me submergent.