La scène d'ouverture convoque intelligemment le grand Meaulnes d'Alain Fournier, mais aussi la rencontre de la fée dans la forêt, topos littéraire arthurien s'il en est. Mais c'est tout... Misère quand au reste. Je n'aime pas être méchant avec le travail d'autrui mais là je ne le vois pas, le travail.
Des coquilles typographiques en veux-tu en voilà : majuscules non pertinentes, traits d'union absents, pages paires paginées à droite (!)...
L'adresse au lecteur est quant à elle difficilement supportable et elle n'apporte qu'une fausse sensation de proximité avec le texte. Les rebondissements sont loufoques et enlèvent toute crédibilité au texte.
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