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Critique de kielosa
Je ne peux que souscrire à l'excellente critique que 'Akhesa' a écrit, il y a quelque temps déjà, sur l'ouvrage d'Amnon Kapeliouk concernant Arafat.
Je viens de terminer une autre biographie d' Arafat (1929-2004) par Barry Rubin et son épouse, Judith Colp Rubin, intitulée simplement 'Yasir Arafat, une biographie politique'. Un titre révélateur d'un choix restrictif, dans la mesure où il limite l'ouvrage à un Arafat 'public' et que la dimension humaine d'un personnage si haut en couleurs y fait fatalement défaut. Non pas que je sois à l'affût de petits détails croustillants, mais tout de même, on a l'impression de rester sur sa faim, puisqu'une partie de l'homme vous echappe tout bonnement.
Je ne tiens pas à être injuste vers les Rubin, qui ont écrit un ouvrage très circonstancié sur Arafat : ses choix politiques, ses luttes et efforts incessants pendant une longue période, ses démêlés perpétuels avec Israël, nombre d'autres leaders arabes et surtout avec les États-Unis et son rôle déterminant pour la Palestine. Et je suis convaincu que leur ouvrage est et sera la référence par excellence pour toute analyse historique sérieuse de cette partie du globe particulièrement complexe où Arafat a occupé une place tant centrale.
Au contraire, le professeur Barry Rubin, un Israélien né aux États-Unis, a à la tête du Centre de Recherches d'Affaires Internationales, mieux connu sous son abbreviation anglaise de GLORIA (Global Research in International Affairs) laissé une production impressionnante de travaux hautement qualifiés et appréciés. A ce point même, qu'à sa mort en 2014, ce centre fut rebaptisé le Rubin Center en son honneur.
Le seul reproche que je puisse formuler à cet ouvrage fondamental est qu'il soit un peu trop académique et manque dès lors la chaleur qui a inspiré son compatriote Amnon Kapeliouk.
Je viens de terminer une autre biographie d' Arafat (1929-2004) par Barry Rubin et son épouse, Judith Colp Rubin, intitulée simplement 'Yasir Arafat, une biographie politique'. Un titre révélateur d'un choix restrictif, dans la mesure où il limite l'ouvrage à un Arafat 'public' et que la dimension humaine d'un personnage si haut en couleurs y fait fatalement défaut. Non pas que je sois à l'affût de petits détails croustillants, mais tout de même, on a l'impression de rester sur sa faim, puisqu'une partie de l'homme vous echappe tout bonnement.
Je ne tiens pas à être injuste vers les Rubin, qui ont écrit un ouvrage très circonstancié sur Arafat : ses choix politiques, ses luttes et efforts incessants pendant une longue période, ses démêlés perpétuels avec Israël, nombre d'autres leaders arabes et surtout avec les États-Unis et son rôle déterminant pour la Palestine. Et je suis convaincu que leur ouvrage est et sera la référence par excellence pour toute analyse historique sérieuse de cette partie du globe particulièrement complexe où Arafat a occupé une place tant centrale.
Au contraire, le professeur Barry Rubin, un Israélien né aux États-Unis, a à la tête du Centre de Recherches d'Affaires Internationales, mieux connu sous son abbreviation anglaise de GLORIA (Global Research in International Affairs) laissé une production impressionnante de travaux hautement qualifiés et appréciés. A ce point même, qu'à sa mort en 2014, ce centre fut rebaptisé le Rubin Center en son honneur.
Le seul reproche que je puisse formuler à cet ouvrage fondamental est qu'il soit un peu trop académique et manque dès lors la chaleur qui a inspiré son compatriote Amnon Kapeliouk.
