Qu'on se le dise! Ecrivain, c'est un métier. D'ailleurs Mario Vargas Llosa dans ses ateliers d'écriture indique qu'il faut quotidiennement s'assoir à la table ^pendant de longues heures quitte à rendre feuille blanche. Ici, l'auteur part dans toutes les directions, historique, roman de fiction, roman d'amour, politique dans une langue qui n'est d'ailleurs pas sa langue maternelle. C'est dommage car le thème est porteur. (simple opinion)
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Pour faire face à la crise des finances publiques, Khaznadar avait imaginé un subterfuge matérialisé par la création de monopoles de fait et leur "affermage" à des notables juifs. Le caïd Chemana possédait le monopole de la douane et ses associés en détenaient ceux du charbon, des briques, de la chaux et de bien d'autres produits.
Les juifs en Tunisie avaient le statut de Dhemmi. Ce qualificatif controversé correspondait grosso modo à sujet de seconde zone.
Il se trouvait qu'il était juif, cela constituait-il un problème? Il avait vécu dans le passé en assez bonne intelligence avec les musulmans. Qu'est-ce qui avait changé?