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Critique de JustineCM
Je viens poser mon avis sur cette histoire, que je conseille d'emblée à tout lecteur qui aime rêver, qui désire une lecture bien rythmée et agréable, avec son petit lot d'originalité ' sans pour autant trop sortir de sa zone de confort lecteur ;).
Si ce roman commence tranquillement, avec plusieurs bases posées laissant penser à une histoire manichéenne et classique induite par le prologue, détrompez-vous. Tout en allant de points de vue en points de vue écrits à la première personne, nous voguons de surprise en surprise, et toutes ne sont pas prévisibles. Même si aux yeux d'autres lecteurs, elles peuvent l'être, on ne peut dénier qu'elles sont audacieuses et mûrement réfléchies.
Les personnages sont attachants et très vivants. Chez certains personnages, la colère domine, mais on découvre d'autres nuances de leur caractère petit à petit, et surtout, nous comprenons d'où vient cette colère. Personne dans ce récit n'est ni entièrement bon ou entièrement mauvais malgré les apparences. Leur background est creusé avec finesse pour certains, et même si on peut regretter que le problème avec l'antagoniste principal se résolve de manière trop abrupte, il n'en reste pas moins bien ficelé.
Si ce roman commence tranquillement, avec plusieurs bases posées laissant penser à une histoire manichéenne et classique induite par le prologue, détrompez-vous. Tout en allant de points de vue en points de vue écrits à la première personne, nous voguons de surprise en surprise, et toutes ne sont pas prévisibles. Même si aux yeux d'autres lecteurs, elles peuvent l'être, on ne peut dénier qu'elles sont audacieuses et mûrement réfléchies.
Les personnages sont attachants et très vivants. Chez certains personnages, la colère domine, mais on découvre d'autres nuances de leur caractère petit à petit, et surtout, nous comprenons d'où vient cette colère. Personne dans ce récit n'est ni entièrement bon ou entièrement mauvais malgré les apparences. Leur background est creusé avec finesse pour certains, et même si on peut regretter que le problème avec l'antagoniste principal se résolve de manière trop abrupte, il n'en reste pas moins bien ficelé.
