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Critique de JML38
Le retour de Benjamin, Ben pour les intimes, qui se remet des émotions vécues dans « N'oublie pas mon petit soulier ». C'est de nouveau Noël, et le comédien gagne toujours sa vie en faisant de petits boulots. Exit le costume rouge et la barbe, on le retrouve agent de sécurité en poste à l'opéra Garnier, où il est chargé d'éviter qu'une mamie qui va voir « Casse-Noisette » n'introduise subrepticement un engin explosif planqué dans son sac à main.
Dragueur impénitent qui plaît aux femmes, il vient en aide à Ophélie, une jolie danseuse importunée par un fan trop collant. Il s'avère que la jeune femme reçoit également des mails inquiétants de la part d'un autre admirateur. Il n'en faut pas plus pour que Ben se propose comme un pro de la protection rapprochée – en espérant bien sûr que « rapprochée » ne reste pas un vain mot –, n'hésitant pas à s'inventer un passé de baroudeur.
Pour ceux qui ont comme moi bien ri en lisant le premier opus, il semble évident que notre sympathique loser patenté s'engage une fois de plus bien inconsciemment. Lorsque la situation commence à lui échapper, Ben pense à faire appel à David, un vrai « James Bond » tout droit sorti de l'épisode précédent, qui prend un malin plaisir à en rajouter un max devant Ophélie pour donner du relief au faux CV de l'acteur.
Dans un véritable rôle de composition, Ben puise au plus profond des talents du comédien qui sommeille en lui – même si en ce qui le concerne, il s'agit d'un « grand sommeil » –, pour rester crédible auprès d'Ophélie et de Lorenzo, un autre fan richissime qui empiète sur les plates-bandes sentimentales de Benjamin dans la Sérénissime capitale des amoureux.
J'avoue avoir pris un plaisir encore plus grand à la lecture de cette deuxième aventure, les scènes sont encore plus cocasses que dans la première, les dialogues toujours aussi savoureux, et l'écriture humoristique de Gabriel Katz aussi efficace et caustique.
J'en redemande et espère qu'il y aura une suite.
Dragueur impénitent qui plaît aux femmes, il vient en aide à Ophélie, une jolie danseuse importunée par un fan trop collant. Il s'avère que la jeune femme reçoit également des mails inquiétants de la part d'un autre admirateur. Il n'en faut pas plus pour que Ben se propose comme un pro de la protection rapprochée – en espérant bien sûr que « rapprochée » ne reste pas un vain mot –, n'hésitant pas à s'inventer un passé de baroudeur.
Pour ceux qui ont comme moi bien ri en lisant le premier opus, il semble évident que notre sympathique loser patenté s'engage une fois de plus bien inconsciemment. Lorsque la situation commence à lui échapper, Ben pense à faire appel à David, un vrai « James Bond » tout droit sorti de l'épisode précédent, qui prend un malin plaisir à en rajouter un max devant Ophélie pour donner du relief au faux CV de l'acteur.
Dans un véritable rôle de composition, Ben puise au plus profond des talents du comédien qui sommeille en lui – même si en ce qui le concerne, il s'agit d'un « grand sommeil » –, pour rester crédible auprès d'Ophélie et de Lorenzo, un autre fan richissime qui empiète sur les plates-bandes sentimentales de Benjamin dans la Sérénissime capitale des amoureux.
J'avoue avoir pris un plaisir encore plus grand à la lecture de cette deuxième aventure, les scènes sont encore plus cocasses que dans la première, les dialogues toujours aussi savoureux, et l'écriture humoristique de Gabriel Katz aussi efficace et caustique.
J'en redemande et espère qu'il y aura une suite.
