AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Royaumes ennemis tome 1 sur 3
EAN : 9782374538341
343 pages
Les éditions du 38 (13/02/2021)
4.27/5   15 notes
Résumé :
L'hiver s'achève dans les steppes, laissant le Septentrion déchiré en deux territoires ennemis. Khazan, l'ambitieux seigneur des Tsets, est à la recherche d'une nouvelle technologie qui lui garantirait la victoire sur le chef des Araks et sa maîtresse sanguinaire. Il doit pour cela obtenir l'aide d'un peuple étrange, retiré dans les Montagnes de l'Ouest et miné par des conflits internes menaçant sa survie. Trois de ses meilleurs guerriers, dont la solaire Iridiane, ... >Voir plus
Que lire après Royaumes ennemis, tome 1 : Les magiciennesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
4,27

sur 15 notes
5
7 avis
4
6 avis
3
0 avis
2
0 avis
1
0 avis
J'ai trouvé ce premier tome très captivant et qui ne manquait pas d'actions.

Nous avons deux peuples qui se partagent le Septentrion. Une partie à l'Est, représenté par Khazan, qui souhaite réaliser le rêve de son père afin de faire régner la paix dans tout le royaume et une partie à L'Ouest, représenté par Muskin, chef des Araks qui veut toujours plus de territoires à conquérir surtout depuis son alliance avec une des filles de Zei. Nous avons aussi deux autres peuples plutôt pacifistes. La Ruche, un peuple d'être hybrides et ailés ainsi qu'un royaume au Nord où nous trouvons des rêveuses boréales. Khazan souhaite vaincre Muskin et pour cela il souhaite faire appel aux connaissances du peuple de la Ruche, mais sur le chemin, une rêveuse boréale, va venir hanter ses rêves, créant une obsession pour cette magnifique jeune Lulaï. Arrivera-t-il à ses fins et dans quelles conditions ?

L'histoire est fluide et captivante. Les personnages sont bien mis en valeur tout au long du roman. Les royaumes sont aussi mis en valeur car chaque chapitre alterne un royaume après l'autre et laisse planer une intrigue dès les premières pages.
Au niveau des personnages, il y en a de nombreux et certains plus attachants que d'autres.
Nous avons d'abord Khazan, qui perd sa femme, le jour de la naissance de son fils et qui prône la paix. C'est un personnage attachant de part son enfance mais aussi à travers ce qu'il vit tout au long de l'histoire.
Iridiane, cousine de Khazan, est aussi attachante de part son fort caractère de guerrière et de protectrice des gens qu'elle affectionne.
Zei qui est une guerrière sans limite, prête à exterminer tous ceux qui se mettraient en travers de ses ambitions. Elle est très manipulatrice mais intéressante. Elle pratique la magie avec brio
Lulaï, j'ai eu du mal à savoir si c'était une bonne ou une mauvaise magicienne. Elle ne répond à aucune règle et souhaite très souvent s'imposer face au peuple mais pas autant face à Khazan.
J'ai été moins conquise par les personnages sortant de la Ruche, bien que j'ai apprécié la manière d'Anablos de se révolter pour la matrice.

Pour conclure, j'ai beaucoup aimé l'histoire, le côté magique et l'intrigue. C'est un premier tome qui donne envie de poursuivre sur les suivants.

Je remercie Babelio et les éditions du 38 pour cette belle découverte.
Lien : https://fantasydaniella.word..
Commenter  J’apprécie          450
Merci à Babelio et aux éditions du 38 de m'avoir permis de découvrir ce roman. D'ordinaire, je lis très peu de fantasy, par manque de temps, et je vais finir par croire que c'est un tort. Ce n'était pas gagné pourtant lorsque j'ai vu la couverture du roman, j'ai pensé à une erreur de casting : cette illustration ressemblant furieusement à une couverture de roman pour la jeunesse. J'ai quand même persévéré comme je m'y étais engagée et bien m'en a pris car j'ai passé un très bon moment et j'attends maintenant avec impatience la suite : c'est malin !
Je ne connaissais pas les éditions du 38 et en me renseignant sur cette maison, j'ai mieux compris la laideur de la couverture. C'est un éditeur essentiellement numérique. Mais j'ai été frappée par le projet : « Résolument engagés dans la littérature de genre, celle qu'on dit Populaire ou Grand Public, aux Éditions du 38 nous avons l'ambition de développer nos collections autour d'auteurs qui savent raconter de belles histoires, emporter le lecteur dans leurs univers et lui donner envie de partager ses lectures. »
Et là je dis : « mission accomplie », j'ai avalé ce roman très divertissant en deux jours. Alors de quoi s'agit-il ? Qui sont ces Royaumes ennemis ? D'abord, il y a le Royaume de Khazan qui règne sur l'Est du Septentrion. C'est un royaume de guerriers, valeureux, un peu brut de décoffrage mais plutôt bons gars. Outre Khazan, le chef de guerre : grand, fort et roux, il y a Iridiane, son bras droit, sa cousine et équivalente féminine et ses proches camarades, Sidan, le géant blond à la musculature de titan et Tran, le nerveux, au visage glabre, au crâne rasé, constellé de points bleus, tatouages symbolisant les vies prises au combat. Eux, ce sont les gentils. A l'ouest du Septentrion, vous avez le Royaume de Meri, où règne Zei, reine guerrière cruelle, vindicative et fourbe et ses filles parmi lesquelles Zeilin, mariée à Muskin, allié de l'ouest du Septentrion et Zeizan, le portrait de sa mère en pire, qui harcèle et pille les villages de la frontière avec le Royaume de Khazan. Elles, on l'aura compris, ce sont les méchantes. Ajoutez à ça, deux peuples, a priori neutres : au Nord, des magiciennes, qui par le rêve, parviennent à entrer et manipuler les esprits, et enfin, la Ruche, un peuple d'êtres hybrides, ailés et industrieux. Tous ces peuples forment un monde, riche et intéressant ; entre eux, évidement, des luttes de pouvoir, des guerres, des alliances, des trahisons, des jeux de manipulation et de séduction…
Les qualités du roman sont aussi ses limites. Contrairement à beaucoup de romans de fantasy, ce n'est pas trop long : un peu plus de 300 pages. le lecteur n'a pas trop de mal à distinguer les personnages malgré leur nombre. Cette lisibilité se fait au détriment d'une certaine complexité. Les personnages un peu caricaturaux, sont tous très beaux et très forts… L'action est menée tambours battants et parfois c'est même un peu trop rapide, notamment dans la résolution qui est un peu bâclée, je trouve.
Cependant, il recèle une autre qualité, qui je pense va être développée dans les tomes suivants : une dose opportune de féminisme. On sent que l'autrice essaie de s'extraire de l' heroïc fantasy testostéronée en amenant - pas toujours très subtilement, des personnages féminins qui cherchent à s'émanciper : une reine, qui veut partager le pouvoir avec son mari (ben voyons !), une guerrière qui souhaite aussi avoir une vie amoureuse (et pis quoi encore ?).
Pour conclure, je dirais que malgré quelques raccourcis un peu faciles, on se laisse avec plaisir guider dans cette histoire plaisante et embarquer dans cet univers original, riche tout en étant cohérent. Promesse tenue donc par l'éditeur : une belle histoire, qui emporte le lecteur dans l'univers de l'auteur et lui donne envie de partager sa lecture. Et voilà, mission accomplie !
Commenter  J’apprécie          20
Dans Les Magiciennes, on suit à tour de rôle un guerrier, une rêveuse, un peuple ailé vivant dans une ruche ou encore une reine qui avance ses pions dans l'ombre. Alors que certains ne rêvent que de conquêtes ou d'unification, d'autres pensent seulement à la survie. La lutte pour le pouvoir est en marche, qui va-t-elle broyer sur son passage ?

Avec Royaumes Ennemis, Sylvie Kaufhold signe un univers âpre où l'ombre de la guerre plane. Son monde est essentiellement constitué de royaumes rivaux qui cherchent perpétuellement à se conquérir. Si certains, à l'image de Tsetlaeg souhaite une unification des territoires pour mettre fin aux conflits permanents, d'autres comme Araklaeg ou Méri ne visent qu'à étendre leur influence, au mépris des peuples voisins. Qu'elle passe par la violence ou l'union diplomatique, la conquête est bien le fil directeur de ce récit. On ne s'étonne donc pas d'y lire des scènes de combats ou de meurtres d'une rare violence car au jeu du pouvoir, tous les moyens sont bons pour gagner. Chacun des personnages de Sylvie Kaufhold use de ses propres armes, la violence ou la séduction, pour remporter la partie.

A travers de grandes chevauchés, on découvre également un monde étonnant, rempli de magie. Il y a, bien évidemment, celle qui s'épanouit dans les forêts boréales. Elle prend sa source dans les rêves conférant à ses détentrices de grands pouvoirs télépathiques. le merveilleux se cristallise également autour d'un peuple ailé, ressemblant aux papillons et vivant dans une ruche géante. Ici, on fait la rencontre d'une société très hiérarchisée, aux coutumes surprenantes et qui dispose d'une certaine maîtrise de la technologie.

Oscillant entre ombre et lumière, Sylvie Kaufhold nous dessine les contours d'un univers impitoyable et dépaysant.

Porté par des héros carnassiers qui écrivent leur destin à l'encre de sang, ce récit est assez immersif. Sous la plume de Sylvie Kaufhold, la femme prend le pouvoir et s'impose au fil des pages du tome 1. En effet, beaucoup de ses personnages sont féminins et toutes ont une personnalité très affirmée car Royaumes Ennemis est avant tout un cycle féministe. Après tout, le titre de ce premier volet Les Magiciennes est sans équivoque quant au contenu du roman. Parmi ces héroïnes marquantes, il y a la rêveuse Lulaï qui, au coeur des forêts boréales, est capable de voyager par le rêve et d'insuffler des décisions dans l'esprit des gens. Douce et solaire, Lulaï s'engage dans une quête personnelle pour comprendre la puissance de son don. Puis vient la ténébreuse et secrète Zeï, reine du royaume de Méri. Manipulatrice et menteuse, elle se sert de ses charmes pour servir ses intérêts et assouvir son envie de domination. Elle manipule même allègrement ses propres enfants, en particulier ses deux filles Zeilin et Zeizan, deux guerrières aveuglées par la même soif de pouvoir. Les héritières du royaume de Méri sont de dangereuses combattantes animées par le meurtre et la traîtrise. L'autre femme forte de cette saga, c'est la cousine de Khazan, la belle et intrépide Iridiane. Soldate émérite, elle tue si nécessaire mais agit toujours selon un code d'honneur.

A travers chacune de ces femmes, Sylvie Kaufhold brosse le portrait d'héroïnes, toutes en force et en faiblesse. Des personnages en demi-teinte qui confèrent à cette saga une proximité avec ses lecteurs... suite sur Fantasy à la Carte.
Lien : https://fantasyalacarte.blog..
Commenter  J’apprécie          40
L'histoire est carrée et fonctionne bien. On se bat, on aime, on découvre de nouveaux et nouvelles alliées. Les trahisons et les ennemis sont présents. Les rebondissements se situent au bond moment et le roman se lit de façon agréable. Les chapitres sont très courts — j'en ai même été surprise au départ mais je dois être habituée aux chapitres longs comme des boas, ce qui n'est pas forcément plus efficace, parfois.

Je dirais que ce qui fait la force de ce premier tome des Royaumes ennemis, ce sont les personnages. Je suis assez contente d'écrire cette ligne, d'ailleurs car je râle suffisamment sur les personnages laissés de côté et qui sont sans épaisseur dans bon nombre de romans en fantasy (particulièrement en fantasy Y.A, même si ce tome n'est pas du Y.A, ici — mais pourrait presque appartenir au genre).
Le peuple de la Ruche est vraiment bien trouvé, et les êtres humanoïdes qui ressemblent à des insectes sont parfaitement caractérisés ( je ne me suis pas demandée qui était qui ni emmêlée les pinceaux — ou les antennes, du coup ). Les propos qu'ils peuvent tenir au sujet des humains sont bien vus — tout cela avec humour.
Je dois aussi et surtout parler de la place des femmes dans ce livre qui est importante — et réussie. Toutes connaissent une évolution particulièrement intéressante et ne restent jamais en arrière.
Iridiane la guerrière et Lulaï la rêveuse sont deux personnages forts qui réservent de belles surprises. Et j'aurais bien applaudi durant une scène entre ces deux-là : le soutien d'une femme envers une autre, voilà qui est intéressant à lire!.

Tant que j'en suis à parler des scènes très bien faites : les conversations d'esprit à esprit, particulièrement en lien avec les magiciennes m'ont particulièrement plu ( je ne tiens pas à tout révéler non plus 😉 ). Il y a quelque chose du Bene Gesserit de Dune, un peu comme les voix des Révérendes Mères. (bonjour la Mémoire Seconde )
J'ai été un peu moins convaincue par les femmes tueuses et séductrices de Meri, même si elles suivent une logique imparable. Mais c'est un avis très personnel.
Autre petit bémol complètement lié à mon dégoût du sang : ça égorge et ça éclabousse un peu trop pour moi ( dit celle qui a lu le Trône de Fer plusieurs fois🤨 🤣) Mais je comprends tout à fait que ce n'est pas un problème pour quelqu'un d'autre.

Je ne vais pas chercher des défauts là où il n'y en a pas. J'ai vraiment passé un bon moment de lecture et je suis très contente d'avoir fait ce choix pour le Masse Critique ( merci les Editions du 38).

Pour finir, je conseille de le lire en écoutant The Hu ( on est fan ou on ne l'est pas). Je rappelle que the Hu est groupe de Mongolie qui joue une sorte de folk-metal en langue mongole et en chant diphonique (throat singing). Il y a d'ailleurs sur l'album « The Gereg » un excellent titre qui s'appelle « Song of women » , un hymne aux femmes. Ils l'ont ré-enregistré avec Lzzy Hale ( de Halestorm) qui a écrit sa propre partie en anglais.


Lien : https://imaladybutterfly.wor..
Commenter  J’apprécie          50
Pour la petite histoire, je connais Sylvie Kaufhold depuis quelques années via les réseaux sociaux. C'est elle qui m'a fait connaître les éditions du 38 en me proposant des partenariats pour la collection du fou dont elle a la charge. Et malgré les années, je n'avais jamais lu aucun de ses livres. Vous me direz quelle honte ! Je sais, je suis impardonnable. Mais j'ai réparé mon erreur car lorsqu'elle a annoncé la sortie de Royaumes ennemis, tome 1 : les magiciennes en m'expliquant que c'était un roman plus adulte que ces précédents livres et que c'était celui dont elle était le plus fier et bien j'ai sauté sur l'occasion et j'ai directement pré-commandé le livre.

A force de m'intéresser au genre de la Fantasy, je commence à prendre de plus en plus de plaisir à lire ce style d'ouvrage. Et c'est le premier roman de Fantasy que je lis écrit par une femme. Vous allez me dire, qu'est ce que cela change ? Et bien, le traitement des femmes est totalement différent. Dans beaucoup de romans de ce genre, très souvent écrit par des hommes, les femmes sont toujours maltraitées, violées, esclaves des hommes, reléguées à des rôles mineurs. Dans ce roman, les femmes sont les véritables héroïnes de l'histoire : Iridiane, la meilleure guerrière des Steppes ; Lulaï, le rêveuse boréale capable d'influencer n'importe qui ; Matricia, une des nouvelles matrices du peuple des hommes papillons qui revendique son indépendance ; Zeï, la méchante magicienne qui traite les hommes telle une mante religieuse ; etc. Ces héroïnes sont fortes, puissantes, s'imposent dans un monde profondément masculin. Elles revendiquent leurs droits. A la lecture du roman, je ne pouvais m'empêcher de penser à la saga des Dames du Lac de Marion Bradley Zimmer. Cette dernière avait pris le parti de raconter la légende arthurienne du point de vue des femmes du récit pour arriver à la confirmation que derrière chaque homme important, il y a une femme qui lui souffle ce qu'il doit faire, comment il doit agir et s'imposer. Alors attention, Sylvie Kaufhold n'a pas écrit un pamphlet sur le féminisme à travers son roman mais elle alerte sur le traitement de la femme et sa condition dans les différentes sociétés.

Mais parlons de l'histoire ! Je me suis totalement laissé embarquer dans les aventures de nos héros. L'histoire prend place dans un paysage de steppes. Cela m'a fait penser au roman le loup des plaines de Conn Iggulden qui raconte l'histoire du guerrier Gengis Khan. J'ai beaucoup aimé que l'univers construit par l'auteure s'inspire de l'histoire d'une autre partie du monde avec ces us et coutumes. J'ai vraiment trouvé ça original.

Khazan est ses compères n'ont qu'un but : réunir les peuples des Steppes. Ils se feront aider par un étrange peuple mi-papillon, mi-humanoïde pour conquérir toutes ces terres mais c'était sans compter sur la soif de pouvoir d'une puissante magicienne qui leur fera face.

En plus d'une histoire pleine de rebondissements et qui vous accrochera du début jusqu'à la fin, Sylvie Kaufhold sait construire de très bons personnages. Hormis Khazan et ses compères, j'ai beaucoup aimé le peuple "papillon". Ils sont le côté comique de cette histoire. Ils apportent un vent de fraîcheur dans cet univers barbare. le personnage le plus mystérieux à mon goût est celui de Lulaï, on n'en sait pas beaucoup sur elle et ses pouvoirs. Même si nous verrons une évolution au fur et à mesure du roman, j'aurai aimé en connaître davantage. Après ce n'est que le premier tome, je pense qu'on en apprendra plus sur le peuple de Lulaï dans les autres tomes.

C'est vraiment difficile de vous parler de ce roman sans trop vous en dire afin de ne pas gâcher votre plaisir de lecture. Tout ce que je peux vous dire en conclusion, c'est que c'est un excellent roman de Fantasy que j'ai adoré lire. Avec une pointe de féminisme, ce roman se détache surtout par une histoire originale, des personnages haut en couleur et de l'humour qui émaille un récit sérieux.
Lien : http://bennybooks.fr/2021/08..
Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Remercie l’univers pour le bonheur que tu as connu, mais bannis la douleur de ton cœur. C’est un poison inutile.
Commenter  J’apprécie          190
Allongée sur une roche crayeuse qui surplombait le lac, la jeune fille laissa glisser ses doigts fins à la surface. Le tintement délicat de ses bracelets d'argent se mêla à son rire juvénile. Un frisson de plaisir la parcourut et elle enfonca sa main jusqu'au poignet dans l'eau translucide pour augmenter la sensation. Le froid se referma sur elle, il faisait partie d'elle, de son monde. Elle l'accueillait comme un bienfait.
Commenter  J’apprécie          00

autres livres classés : fantasyVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (28) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2487 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *}