Le Yamoto est touché à mort, la mission du Miraï est en passe de réussir, empêcher l'utilisation de la première bombe nucléaire de l'histoire.
Mais tout n'est pas terminé, car Kusaka va faire une confidence au Capitaine Kadomatsu…
Ce tome 42 est encore passionnant et se termine sur de nombreux sentiments : tragédie, tristesse, questionnement… Kawaguchi nous propose un cliffhanger passionnant qui, j'en suis sûr, ne nous décevrez pas.
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Avec ce 42ème tome, bon nombre de questions posées trouvent enfin leurs réponses. Cet avant-dernier opus réserve quelques surprises et rebondissements, ce qui n’est pas étonnant quand on voit la maestria avec laquelle Kaiji Kawaguchi a mené son œuvre durant près de dix ans. Sa narration est un excellent exemple de la très grande maîtrise japonaise en la matière.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Si l’on pouvait accuser l’auteur de faire durer le plaisir lors des derniers tomes, on ne lui reprochera pas de prendre son temps pour décrire ici la bataille finale. Le mangaka a voulu clore son ouvrage avec des scènes à grand spectacle. Le Yamato coulant dans un grand tourbillon, l’affrontement des navires de guerre, la tension des soldats, tout cela est décrit avec brio, à travers de très beaux dessins.
Lire la critique sur le site : Sceneario
La probabilité qu’un obus tombe deux fois au même endroit est proche de zéro…
Nous manœuvrons en suivant les points de chute.