« L'Extincteur adoptif » de
Paul Kawczak (2015, Moult Éditions, 62 p.). Petit opuscule en vers libres et prose
Il est alors en train de terminer son doctorat en littérature à l'
Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Pour qui connait la ville, et qui n'aime pas l'hiver, on regrette d'y avoir emporté sa collection de maillots de bains. A moins d'aimer se tremper dans les eaux gelées du Lac
Saint Jean. Question pêche non plus, faut pas rêver, à moins d'y aller au (très très) gros et d'appâter au cachalot. Il ne reste que la poésie les (très) longues soirées d'hiver (tout aussi long). Dire qu'on y a envoyé des étudiants finir une thèse et achever une jeunesse...
Distractions « Je m'habille en clown qui pète et je souffle dans des pipes. Je transforme la chair inconsidérée encore, je la fais mariner, je la cuis à l'étouffée, je donne à ma fierté toute sa saveur, ma lymphe, mon style, ma biologie ».
T'as plus aimé Besançon, on a quitté Besançon « ville claire que je ne cesse de pleurer ». T'as voulu voir Vesoul, et on a vu Vesoul. T'as voulu voir Québec, T'as vu Chicoutimi.