Une fantasy complexe et bien tissée, où selon la métaphore de l'auteur, chacun apporte son fil à la Grande Tapisserie de l'histoire.
Après une rencontre étrange, des étudiants universitaires de Toronto se trouvent transportés à Fionavar, un monde parallèle, un monde de rois et de guerriers, de mages et de prophétesses, de dieux et de déesses en perpétuel combat.
Nos jeunes Canadiens y rencontrent une pléthore de personnages, mais aussi des êtres aux noms étranges comme des « lios alfar » du Daniloth, des « urgachs » et des « andains ».
Comme dans un conte de fées, il faut se laisser porter par la magie de la prose sans se poser de questions et confier la trame nos rêves au Grand Tisserand du monde.
Un texte de qualité, mais sans grande difficulté de lecture, un roman qui pourrait être classé « littérature jeunesse ».
Le pavé se termine, la grande bataille contre le mal n'a pas vraiment commencé, rendez-vous au tome deux…
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