Elia Kazan, que j'aime beaucoup en tant que réalisateur, a aussi écrit des romans : Les assassins est l'un d'eux et j'avoue avoir, tout au long du livre, cherché à savoir comment ce réalisateur aurait mis cette histoire en image. J'ai été un peu déçu même si je ne me suis pas ennuyé une minute. le récit est une critique assez acerbe du système judiciaire américain dans les années 70 où chaque phase et chaque personnage est décortiqué et révèle toutes ses compromissions, ses ambitions... le seul être à peu près pur du livre finira, lui aussi, par succomber à ses démons. Pour moi, il s'agit donc d'un livre profondément désespéré où rien ne vient donner de l'espoir, que ce soit dans la justice elle-même, ou dans la vie de couple ou professionnelle, dans les aspirations des jeunes générations...
J'ai essayé de finir le livre d'Elia Kazan, moi qui croyait que cela serait bon avec un titre comme Les Assassins. J'ai d'abord lu le commentaire de Philteys un autre membre Babelio. Au début, je trouvais l'histoire pas mal mais plus j'avançais plus je me perdais à chaque chapitre de nouveaux personnages n'apportant pas vraiment quelque chose de neuf à l'intrigue mince d'après moi. Alors, j'ai décidé de lire en diagonal mais rendu presqu'à la fin je l'ai laissé sur mon bureau. Si j'étais vous et que lors d'un magasinage dans une librairie usagé ou même chez un bouquiniste je le laisserais là prendre la poussière.
C'est un beau roman il traite de faits divers englober de crimes et de parenthèses social qui nous fait découvrir l'Amérique d'antan une chose qui n'est pas facile à vivre avec ces superstitieux tribunaux qui essaie de relever le défi que rencontre la société mixte de mexicains et d'afro-américain,l'auteur a vraiment démontré par claritude de méfiance qui règne dans une région à la frontière du Mexique d'une question critique et dissociable faisant régir une arme qu'est Air Force et sa menace faisant instruire la vulnérable société d'Amérique.
Lorsque Cy appela le médecin à la barre des témoins,il fit remettre au premier jure une photographie de Vin Connor,nu sur une dalle de pierre de la morgue,et lui demanda de la faire passer.
Alan se doutait de la réaction des jurés.Lorsqu’ils verraient la photographie,ils n’auraient d’yeux que pour le visage.Les cinq petits trous noirs sur le corps,une fois enregistrés,ne signifiaient pas grand chose.En revanche, le visage était terrifiant.Il révélait au jury tous les méfaits de la drogue qui menaçaient la société,la leur.
Alain décida qu’il fallait convaincre Cy d’élargir les débats le plus possible.C’était la justice qu’on défendait ici,la tradition elle même:était-ce encore efficace?Alan commença à écrire:>
L’huissier Lansing lui tendit un papier plié.Earl McCord l’invitait à déjeuner.
Quand Cesario arriva,Bennie,le patron,parlait à deux flics dans une voiture de patrouille.Bennie avait été cambriolé quelques nuits avant.Les policiers n’avaient pas trouvé le moindre indice,mais ils venaient tous les soirs pour se montrer.On pouvait toujours manger un gros sandwich chez Bennie,et son établissement n’était pas plus mal qu’un autre pour y prendre un verre.
La présence de la police n’avait pas empêché l’affluence habituelle.A deux heures et demie du matin,c’était le seul endroit vivant de la ville.
Bennie se dirigea vers la voiture de Cesario.
Roger-Jon Ellory : " **** le silence"