Calvin Sanders, menuisier, embauché sur le chantier de l'hôtel pour paranormaux créé par Anthony, compagnon de l'alpha de la meute (voir tomes précédents), doit kidnapper le-dit Anthony pour pouvoir revoir sa soeur.
Alesandro, vampire consultant et chef de son clan, trouve Calvin fort appétissant et après un petit intermède contre une pièce de bois donnée par une dryade mourante (ça le fait hein ?), apprend ce qui se trame et confronte Calvin et la meute dans le but de l'aider.
Un plan (mouais) est mis en place, au grand dam de l'alpha Silver, et la soeur de Calvin est délivrée après un petit miracle proposé par Anthony.
Je vais pas en rajouter, j'ai déjà dit que cette série était mon plaisir coupable, en fait, j'aime pas mais ça me fait marrer.
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« — Je me demande si c’est vrai que les vampires doivent être invités à entrer.
— Nan, répondit Alesandro.
Calvin sursauta.
— Merde ! Tu m’as flanqué une de ces trouilles !
Les yeux verts d’Alesandro l’examinèrent attentivement.
— Non, quelqu’un d’autre a déjà fait ça.
Avant qu’il ait pu trouver une excuse pour son comportement, deux bras forts s’enroulèrent autour de lui dans une étreinte réconfortante. Pendant un court instant, il ferma les yeux et fit semblant qu’il était dans les bras de quelqu’un qui se souciait sincèrement de lui. Soupirant, il profita du câlin du vampire, laissant ses grandes épaules supporter son fardeau, ne serait-ce que pour un petit moment. »
— Y a-t-il quelque chose que vous essayiez de me cacher ?
Le vampire l’épinglait avec son regard froid. La queue de Calvin devint plus rigide sous ces yeux verts étonnants alors même qu’une sensation de soulagement le remplissait. Si le vampire ne pouvait pas lire dans ses pensées, alors Calvin n’aurait pas à se soucier de les bloquer. Il en était encore à essayer de comprendre comment attraper le blond et l’éloigner de ses gardes du corps et le temps pressait.
Une petite diversion serait la bienvenue.
— Je suis sûr qu’il y a toutes sortes de choses que j’essaie de vous cacher, confessa-t-il. Pour l’instant, c’est l’état dans lequel se trouve ma queue.
Alesandro pouvait parfaitement voir dans le noir. Regarder la magnifique créature se tortiller sous lui l’excitait plus que toute autre rencontre dont il pouvait se souvenir. Quelque chose au sujet du jeune menuisier avec ses muscles durs et son cœur déchiré l’attirait comme un phare.
Il pourrait être l’Élu.