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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Eh boy. Dire que je suis déçu serait trop faible comme mot. J.Kellerman est un auteur dont je dévore le livre dès la sortie. Malgré un début prometteur, je dois admettre que j'ai apprécié les 100 premières pages. Je retrouvais le style de l'écrivain et je pensais que j'allais passer un bon moment de lecture. Oh non.
Il nous emmène ensuite en Zlabie de l'Est et Zlabie de l'Ouest et le roman prend une toute autre tournure! Et ça ne finit plus!! Complètement décousu et impossible à suivre. On dirait que ce roman a été écrit en 2 jours. J'espère que Kellerman va retrouver ce petit quelque chose qui le différenciait des autres. Je vais lui donner une dernière chance avec son prochain roman.
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Je pense avoir pris ce livre machinalement à la bibliothèque, je ne vois pas d'autre explication. Oualors peut-être que comme l'heure du déjeuner approchait, cette couverture avec une boîte de conserve m'a sans doute donné faim…
J'ai, comme bon nombre d'amateurs de polars, lu Les Visages de Jesse Kellerman. Et je n'ai vraiment pas aimé. J'avais hâte de le terminer, j'ai trouvé que l'histoire était poussive et que le roman ne méritait pas tant de publicité. Je me suis ennuyée et me suis sentie perplexe : pourquoi n'adhérais-je pas ? (ne vous attendez à rien, je n'ai pas la réponse…). Et je n'ai rien trouvé d'exceptionnel dans le style de l'auteur qui me laisse un quelconque bon souvenir.
Bestseller commence par un scénario déjà vu : un auteur qui ne perce pas jaloux de la célébrité de son ami (qui ne l'est plus, car lorsque l'on est jaloux, on devient aigri), vole son dernier manuscrit (et sa femme tant qu'à faire). L'intrigue un peu plan-plan s'installe et c'est là que tout dérape.
Je n'ai rien contre le rocambolesque, le vaudeville et les situations ubuesques – j'adore John Dortmunder, le voleur malchanceux inventé par Donald Westlake – mais là, Bestseller, c'est trop pour moi. Après, c'est comme pour tout, si vous avez aimé Les Visages, vous aimerez peut-être Bestseller, mais le style est vraiment différent. Rien de noir dans Bestseller, mais plutôt une farce qui pourrait vaguement se rapprocher d'un roman déjanté de Carl Hiaasen, sauf que Carl Hiaasen, j'aime bien.
En tout cas, la fin est à l'image du roman : absolument absurde. Je déteste ces fins bizarres et oniriques. Je suis donc passée complètement à côté. Je pense que je vais arrêter là avec Kellerman, et trouver des choses qui me plairont plus à me mettre sous la dent.
Lien : https://mademoisellemaeve.wo..
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A défaut d'y avoir trouvé "les Visages" j'ai emprunté ce petit pavé à la bibliothèque, le quatrième de couverture parlant d'une histoire certes traitée mille fois en littérature et au cinéma - l'appropriation d'une oeuvre - mais traitée à la fois sous le mode du thriller et de l'humour noir. Cela commence plutôt bien, d'où l'étoile que j'ai attribuée, malgré l'opposition trop cliché de l'écrivain véritable (Pfefferkorn) resté dans l'ombre et l'auteur de bestsellers (qui s'est rebaptisé en toute modestie "de Nerval") qui a droit aux honneurs, à une vie de rêve et bien sûr à la femme dont est amoureux l'artiste méconnu. Mais là déjà, le doute s'insinue : comment un auteur peut-t-il de nos jours être mondialement reconnu et admiré par les critiques alors que ses romans policiers tournent autour d'un personnage masculin très "rentre-dedans", sans nuance et sans questionnement, avec des intrigues trop invraisemblables où le monde est sans cesse sauvé par ce héros invincible ? C'est aussi la question que se pose Pfefferkorn, professeur dans une obscure université alors que son compagnon et ami d'études, bien moins doué que lui, a réussi si brillamment avec une prose pleine de clichés et de tournures toutes faites dont l'écrivain méconnu se moque... mais qu'il n'hésite pas à recopier avec juste quelques minimes modifications stylistiques. Pfefferkorn est à peine surpris du succès que "sa" littérature rencontre et jouit sans remords de tous les avantages de sa célébrité subite. Jusque là, on est en présence d'une histoire digne de ce nom... jusqu'à ce que le vieil agent de de Nerval convoque notre imposteur et que le livre bascule dans du grand n'importe quoi, une sorte de... je ne sais trop quoi... de roman humoristique d'espionnage au 47ème degré ... une accumulation de clichés d'un autre âge (mais sans doute très drôles pour les américains) sur un petit pays imaginaire coupé en deux...un ramassis d'invraisemblances et de situations résultant d'un collage d'idées sans queue ni tête... c'est bien simple, je pensais qu'il s'agissait d'une blague, que Pfefferkorn faisait un cauchemar, ou qu'on le menait en bateau (et non que l'auteur prend ses lecteurs pour des imbéciles à qui il croit pouvoir tout faire gober), d'où mon envie :
1) D'aller prendre l'air,
2) de consulter les avis d'autres lecteurs sur mon site favori pour constater que, ouf, je ne suis pas la seule à penser plus ou moins ainsi
3) Abandonner avec un plaisir non dissimulé cette chose qui a pourtant été écrite, éditée et puis traduite et éditée
4) Rédiger cette brève critique pour évacuer cette impression désagréable d'avoir été embarquée puis jetée dans des eaux peu ragoûtantes
5) Me poser et ouvrir un bouquin qui vaille la peine...
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il faut vraiment être "le fils de" pour pouvoir éditer "ça"!!!
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Difficile de s imaginer que c est le même auteur qui a écrit " les visages " . Au début cela ressemble à un roman banal et convenu sur une rivalité entre deux écrivains amis , dont l un est devenu une célébrité alors que l autre végète dans une existence pleine de frustrations . C est aussi une histoire d imposture et de plagiat qui prend tout à coup un tour inattendu et surprenant qui vire au burlesque total .
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BESTSELLER commence pourtant bien: Arthur Pfefferkorn est un prof de fac aux ambitions littéraires avortées. Son plus vieil ami est le fameux William de Nerval, auteur de thrillers sanglants au succès international, qui disparaît en mer. Arthur se rapproche alors de la veuve éplorée, et fait main basse sur le dernier manuscrit de son ami.
Puis, on va de rebondissement en rebondissement completement rocambolesques et improbables; tellement déçue que je craque et j arrête avant la fin.
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Arthur Pfefferkon est un écrivain raté. Il n'a pu achever un seul projet littéraire depuis la sortie de son premier roman, ce dernier n'ayant connu qu'un maigre succès. William de Nerval, son plus vieil ami, vient de décéder. Il a toujours jalousé sa réussite fondée sur une série de polars, d'autant qu'il avait épousé la belle Carlotta qu'Arthur a toujours aimé en secret. Les osbèques seront l'occasion pour Arthur de se rapprocher de la veuve convoitée, et de trouver l'inspiration qui lui a toujours manqué dans un manuscrit inachevé de son ami. Mais si ces bestsellers n'étaient pas de simples polars, mais des dossiers codés de la CIA ?

J'imagine que Jesse Kellerman a voulu parodier les romans et films d'espionnages. Ou paraphraser son titre et faire un bestseller sans trop se fouler. En tous cas ce policier m'a beaucoup déçue ! le récit est rocambolesque, décousu et (est-ce la traduction) le vocabulaire pauvre et parfois même peu à propos (non une salle de bain ne peut pas être bien achalandée, à moins d'être une salle de bain d'exposition dans un magasin). Ce thriller m'a paru tellement loin des Visages dont j'avais adoré l'intrigue psychologique et bien menée, les personnages au passé fouillé et mystérieux, que j'ai vérifié sur Wikipédia si Jesse Kellerman n'avait pas un homonyme !

Je me suis tout du long crue dans un mauvais épisode de Chuck (série dans laquelle un simple employé devient espion - amusant au début- mais qui peine à se renouveller). Les évènements se suivent sans véritable fil conducteur, la psychologie des personnages et à peine esquissée et l'humour a fait flop. En plus, ça finit en queue de poisson. Littéralement.

Si vous avez aimé Les visages, je ne vous conseille absolument pas Best-seller !

Céline
Lien : http://enlivrezvous.typepad...
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J'avais adoré 'Les Visages", mais après 'Jusqu'à la folie" et "Bestseller'" je crois que je vais tout simplement arrêter de lire cet auteur ... J'ai trouvé ce livre particulièrement mauvais, avec une intrigue impossible à croire, des longueurs ... J'ai eu un mal fou à finir ce livre, même en lisant en diagonales par moment ...
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