"Certains disent que le monde finira par le feu
Certains disent par la glace.
De ce que je connais du désir, je penche pour le feu,
Mais si je devais deux fois périr
Je crois assez connaître la haine
Pour soutenir qu'en matière de destruction
La glace fait aussi merveille et peut amplement suffire."
p157
"Le feu et la glace" du poète américain Robert Frost (1874-1963).
- Une dépression peut durer des années sans vous empêcher de fonctionner assez normalement, a observé le Dr Bancroft. C'est une ombre avec laquelle nous décidons de vivre, au point de finir par nous persuader qu'elle fait partie de nous. Jusqu'à ce qu'elle s'épaisisse tellement qu'elle rende tout insupportable.
All right, maybe I was being far too maternal/cautious - but what worried memos here was that Ben was so in love with being in love. How could I explain to him that sometimes we project onto others that which our heart so wants. As such, we aren't seeing the other person at all.
Even the unappealing can look pretty good when it represents a break from routine.
« À quoi bon revenir là-dessus. Dans la vie, tu perds une chose, tu en prends une autre. »
"J'ai presque cinquante ans et je n'ai rien compris de toute ma vie."
Le message, c'est qu'il n'y a pas de solution à la condition humaine, juste une pagaille épouvantable.
You scratch most marriages, you discover that people chose their spouse for all sorts of highly compromised reasons, and that they projected onto that other person what they believed they needed - or, worse yet, deserved - at a given moment.
— Tu sais pourquoi j’ai pleuré, tout à l’heure ? Parce que tu es mon amie et que je souffre avec toi, mais aussi... par jalousie, je l’avoue. Un sentiment lamentable, pathétique, mais que je ne peux pas nier. Comme j’aurais aimé ressentir ce que tu as connu ces derniers jours... Être désirée et aimée de cette manière. Même le temps d’un week-end. Pouvoir se dire : « Je ne suis plus seule au monde »...
Une simple chanson a le pouvoir de réveiller les souvenirs les plus enfouis, de ressusciter des ambiances, un état d’esprit. La musique ponctue notre existence, rythme notre mémoire. Une mélodie symbolisera plus tard pour nous toute une époque. Une époque où vivre semblait tellement plus simple.
(...) j'ai lu quelque part que, peu de temps avant sa mort, Steve Jobs a confié à un ami qu'il avait beau être fasciné par toutes sortes de notions mystiques de l'au-delà, il trouvait que la mort ressemblait trop à la fonction "éteindre" de ses ordinateurs.
La touche"off" la plus puissante qui soit.