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3,25

sur 941 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'avais envie de connaitre cet écrivain dont je n'avais lu aucun livre. Après son passage à la grande librairie, notamment, j'ai pensé que c'était ce livre là qu'il me fallait, sans même attendre le format poche.
J'ai été déçue à la mesure de mon attente.
L'écriture m'a paru blafarde au sens où elle ne m'a procuré aucune émotion.
J'ai eu l'impression de lire un livre de la collection Harlequin, c'est joli, ça passe le temps mais c'est tout. La narration est fondée exclusivement sur des dialogues entre Laura et son mari, Laura et ses enfants, et surtout Laura et Richard, son amant d'un weekend qui après s'être transformé en prince charmant va disparaitre.......
Je n'aurais peut-être pas du commencer par ce livre là pour connaitre Douglas Kennedy que la critique encense.
Des goûts et des couleurs, comme on dit.
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RAS.
Roman d'une banalité sans nom qui ne ressemble en rien à ce à quoi Douglas Kennedy nous a habitués et qui ne m'inspire pas grand-chose… J'attends donc son prochain ouvrage pour renouer avec les palpitations que provoquaient chaque fois ses écrits.
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Le sujet me semblait intéressant, les envies de changement de vie, la quarantaine venant, les remises en question de son parcours personnel, regret, remords, se dire, et si j'osais tout chambouler ?
Je n'imaginais pas non plus une analyse psychologique profonde, des personnages d'une grande complexité, d'une justesse inégalée... juste une lecture sympathique d'avant-grandes vacances.
J'ai été déçue. je crois qu'il s'agissait là de mon deuxième Douglas kennedy, ce n'est pas le genre que j'apprécie outre mesure, mais, l'été venant (ou plutôt ne venant pas, cette année !!!! ) j'aime bien me laisser aller à un petit Musso, Marc Lévy,... ou Kennedy.
ici, j'ai cherché en vain un quelconque suspens, les personnages m'ont semblé artificiels(, un coup ils semblent être des gens "normaux", ni trop ni pas assez, avec une vie ordinaire (qui leur convienne ou pas, c'est une autre question - et puis tout d'un coup on découvre que non, ce sont des gens hors normes, qui ont un passé riche, une famille très inhabituel, une intelligence incroyable, et une culture mes z'amis, une culture !!!
Quant à la trame elle-même, était-ce le sujet ou la façon dont il a été traité, était-ce moi, qui peut-être étais un peu susceptible sur certaines thématiques abordées,... je ne saurais dire, mais en tout cas, j'ai lu les quarante dernières pages, à ma grande honte, de manière , disons, diagonale...
Allez, je crois que je vais quand même lui laisser une deuxième chance à ce cher Douglas, le beau gosse qui fait fait pleurer la gente féminine, je vois d'ici un autre de ces romans qui me fait un clin d'oeil depuis mon étagère... mais je vais le faire patienter un peu !
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Est-ce de la littérature ? Si on prend la définition du dictionnaire Larousse en ligne "Ensemble des oeuvres écrites auxquelles on reconnaît une finalité esthétique. Ces oeuvres, considérées du point de vue du pays, de l'époque, du milieu où elles s'inscrivent, du genre auquel elles appartiennent.", je dirais que le contrat n'est rempli qu'à moitié. Autant ce livre s'inscrit dans une oeuvre, un genre, le roman d'amour, un pays et une période, autant la finalité esthétique m'échappe. La banalité de l'histoire n'a d'égal que sa facilité, l'émotion brille par son absence et l'écriture, trop simple ne captive pas. Conclusion, pour moi, c'est de la demi-littérature.
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Cinq jours

A force de gravir les marches de l'olympe de la littérature (sic) Douglas Kennedy va finir par se cogner la tête au plafond. D'autant qu'il nous raconte toujours la même histoire qui pourrait tout aussi bien s'appeler « piège nuptial 3 ». (Bernard Cohen traduit, cette fois sans risque, « five days » en « cinq jours »)

Deux êtres se rencontrent à l'hôtel à Boston, lors d'un séminaire sur la médecine nucléaire en tant que produit commercial pour l'une, dans le cadre d'une tractation de contrat d'assurance pour l'autre. Malheureux dans leur couple respectif sans pour autant franchir le pas, quitte à s'emmerder pendant vingt ans ils vivent un rapide coup de foudre( et autre) dans une suite à 750 dollars.

Ce qui plait aux deux tourtereaux (42 et 52 ans…) c'est le plaisir partagé de la littérature, et du vocabulaire. Les conjoints provisoirement abandonnés à leur misère intellectuelle sont semble-t-il incultes et ennuyeux.

Cela peut-il déboucher sur une histoire d'Aaaaamour durable (oxymore à dix euros) ? Allez savoir mais je resterai muet sur le coeur (…) même de ce fragile scénario.

Ce qui n'est pas acceptable c'est que DK réserve effectivement à ses personnages roucoulant et fiévreux quelques échanges sur la beauté de la langue mais dans un vocabulaire et une syntaxe qui rappellent Hélène et les garçons. Un dictionnaire à 500 mots pour plaire au plus grand nombre mobilisé par une campagne d'affichage public façon macdo.

Voilà un gros, un énorme contresens, mais au diable le mercantilisme, il faut éduquer le « pople ».
Qu'est-ce que je déteste cette radiologue pusillanime qui voit défiler sur l'écran de son scanner une série de détresses médicales et qui attaque le lecteur par le bas avec ces histoires affreuses, hors de propos, pour lui tirer (justement) des larmes que son histoire à elle ne pourrait provoquer. Et l'autre assureur, avec son fils dément, qui pratique la même tactique de l'émotion par personnage interposé.

Le procédé est vraiment malhonnête.

C'est dit, Douglas, j'arrête
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Quelle surprise, ce roman de Douglas Kennedy que j'ai vu à l'automne, à la grande librairie!
Cela n'a rien à voir avec "Piège nuptial"," l'homme qui voulait vivre sa vie," "la femme du 5°, " "la poursuite du bonheur" ou "quitter le monde.."
C'est un roman sentimental, deux êtres se rencontrent à la moitié de leur vie:Laura et Richard. Eux deux ont vécu des histoires douloureuses et compliquées.
Vont- t- ils pouvoir accéder au bonheur ensemble ou pas.?

Auront - ils la force, l'audace ,d'échapper à leurs frustrations?
Je n'ai pas retrouvé l'écrivain que je connais même si ,se mettre dans la peau de sa narratrice ,est réalisé sans fausse note........
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Un homme et une femme, mariés chacun de leur côté, se rencontrent lors d'une conférence, à Boston, loin de chez eux. Pendant cinq jours, ils se découvrent, se rapprochent, s'aiment, décident de s'installer ensemble mais ce projet se réalisera-t'il une fois de retour chez eux?
Thème banal, Thème connu, thème toujours actuel: l'infidélité et puis après?
Voilà encore un de ces romans qui aurait pu me plaire. J'en ai aimé certains passages et surtout Laura, le personnage central, mais finalement je l'ai trouvé trop long et trop plein d'évidences mais ce qui m'a surtout gâché mon plaisir, ce sont les dialogues, trop nombreux et trop bavards.
On commence par assister aux consultations de l'héroïne. Laura découvre en un clin d'oeil les cancers sur les radios qu'elle fait et ça contribue à la rendre triste et légèrement dépressive, avec en plus tous les ennuis du quotidien dans son couple. Elle est forte, courageuse, bonne épouse, bonne mère, etc mais je l'ai cependant trouvée trop conciliante. Elle n'affronte pas la mauvaise humeur constante de son mari mais essaie toujours de la minimiser.
Quant à Richard, bon, je préfère ne pas en parler. Je n'ai pas compris ses décisions! Je lui en veux!
Lien : http://liratouva2.blogspot.f..
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Quelle déception…
Et pourtant, j'avais entendu tellement de bien de cet auteur…
Faut dire que j'ai pas acheté le bouquin, j'ai juste trouvé à la déchetterie une boîte remplie de livres…
Que des romans inconnus, que d'auteurs dont je n'avais encore rien lu !
« La Femme au miroir », une toute belle découverte ; d'autant plus belle que j'ai pu donner le livre à une de mes filles, je l'avais déjà en bibliothèque… Une grosse distraction :-)
« Cinq jours », juste une perte de temps :-p
Si l'histoire se tient et aborde un sujet bien de notre temps à savoir le mariage au fil du temps, le forme est minable.
Aucune poésie dans ce récit, les émotions sont rapportées comme dans un rapport médical. Et l'auteur trouve pourtant un moyen de nous montrer sa grande connaissance des mots, il joue avec les synonymes pour nous montrer sa vaste culture mais que c'est lassant à la longue… Une écriture mécanique sans profondeur, sans couleur, sans sentiment finalement.
Une grosse déception quoi :-p
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Laura et Richard vont se croiser, s'aimer ...oui mais Laura et Richard sont maries chacun de leur coté depuis longtemps.

Ce livre m'a été offert , je n'avais jamais lu un livre de cet auteur... heureusement ...alors oui certains couples pourront se reconnaître mais personnellement à part Laura , les autres personnages m'ont semblé terne ou pathétiques (selon le point de vue) et l'histoire très banal.
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Autant le dire tout de suite, j'ai été déçue. Si j'ai apprécié la fluidité de l'écriture et cette plume qui se lit toujours aussi facilement, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire et à m'attacher aux personnages. On découvre rapidement que le quotidien de Laura n'est pas tout rose. C'est le genre de mère de famille plutôt équilibrée et qui veut vraiment bien faire, mais elle n'a pas la reconnaissance qu'elle mériterait. Elle ne s'en plaint pas car elle s'en rend à peine compte.

Le roman se déroule donc sur cinq jours. On a tout de même des flashs backs et des allusions au passé assez régulièrement au cours de ces cinq jours. On se doute bien que tout va basculer à Boston et que Laura va rencontrer quelqu'un. C'est donc sans surprise que tout se déroule, mais pourtant, tout m'a paru trop soudain, irréaliste et mièvre, je n'avais pas envie d'y croire. Et en refermant la roman, je me suis dit que finalement sur les cinq jours, je n'ai apprécié que le dernier.

Cependant, le livre aborde des thèmes qui pourraient être intéressants comme la dépression, le rôle d'une mère de famille confronté à celui d'être une femme, le changement de vie… Mais je n'ai vraiment pas réussi à croire aux évènements ce qui se déroule sur ce weekend prolongé. Pourtant, le personnage de Laura est touchant et j'étais contente de la fin. Mais dans le détail, les quatre premiers jours ne m'ont pas passionnés et les dialogues ont fini par m'ennuyer. C'est plutôt rare pourtant que je m'ennuie dans un livre, mais là je n'ai pas réussi à rentrer complètement dans l'histoire.

Vous l'aurez compris, une déception et pour ceux qui ne connaissent pas encore la plume de Douglas Kennedy, je vous conseillerais plutôt La poursuite du bonheur par exemple. Mais ce livre pourrait plaire à ceux qui veulent lire une histoire de vie d'une mère de famille ordinaire qui reprend sa vie en main.
Lien : https://latetedansleslivres...
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