Une relation dangereuse

Abandon à une centaine de pages, soit à peine le quart du bouquin. Je pensais y trouver le ton de Cul-de-sac. Deux journalistes se croisent lors d'un reportage. Ils s'aiment. Elle se retrouve enceinte. Ils se marient et s'installent à Londres, dans sa ville à lui. Elle, est américaine et aussi la narratrice. Des pages et des pages sur la recherche d'une maison, les aléas de la grossesse, la comparaison entre anglais et américains qui, bien sûr, sont beaucoup mieux et surtout les mesquineries de la vie de couple. J'ai lu qu'ensuite grosse dépression postnatale. Rien de drôle, plutôt insipide. Incroyable que cet écrivain puisse écrire aussi différemment. Drôle et bien construit pour l'un, de la daube et de l'ennui pour l'autre.

Bon bah celui-là je l'ai lu pour dire que je l'ai lu...... Mais alors, c'est vraiment sans AUCUN intérêt...... J'ai vraiment perdu mon temps.. Mais alors vraiment de vraiment !!!!!!!

Il s'agit de l'histoire de deux journalistes, correspondants au moyen orient pour leur journal respectif, qui se mettent en couple et vont s'encrouter dans un train train qui ne leur convient pas après avoir fait un enfant par accident. La grossesse se passe mal, l'accouchement aussi... et le lecteur s'ennuie.

Après 200 pages, j'abandonne. Je n'arrive pas à avoir la moindre empathie envers les personnages, si bien qu'arrivé à ce stade, je n'ai aucune envie de savoir ce qui va leur arriver.

J'arrete rarement les livres en cours de route, mais je n'ai pas envie de continuer pour encore 400 (!) pages comme ça.

Kennedy Douglas
Une relation dangereuse
J'aime cet auteur mais pas ce livre. Dieu ce que je l'ai trouvé irritant. Sally rencontre Tony, tous deux journalistes de guerre et basés en Egypte, l'un anglais, l'autre américaine et sont envoyés sur une mission en Afrique centrale et fatalement ils tombent amoureux et décident de se marier.
Sally tombe enceinte et le retour est programmé, en Angleterre.
Les différences de mentalité entre anglais et américains se font durement sentir. Ils tentent d'achter une maison, mais pas beaucoup de revenus, beaucoup de travaux par contre et enceinte.
L'accouchement se passe très mal et elle fait une dépression post-partum, mais pour moi terriblement difficile à vivre bien qu'il soit assez attentionné.
Elle rentre enfin chez elle, au milieu des travaux et tout a disparu, son fils, ses affaires et son mari, mais ses cartes de crédit son bloquées, et un avis du juge la déclare irresponsable d'être avec un enfant.
Elle va se démener pour en sortir.
Cela m'a fait penser à un livre de Danièle Steel, le roman d'amour, mais beaucoup plus volumineux et mieux écrit.

Que ce roman est long et ennuyeux ! J'ai trouvé le début assez captivant, la rencontre entre les deux journalistes sur le terrain, les premiers baisers. Puis à partir du moment où ils reviennent à Londres, il y a un passage de 300 pages interminables. La pauvre Sally ne comprend pas d'entrée de jeu qu'elle à affaire à un homme qui se révèle en fait être un vrai goujat. Et durant toutes ces interminables pages, Douglas Kennedy nous décrit sa dépression post-partum, en délayant ses propos. Jusqu'à ce que l'histoire reprenne un peu d'intérêt lorsque le procès débute. Et bien sûr, on ne se doute vraiment pas de la fin (plaisanterie : car tout est cousu de fil blanc). Bref, j'ai fait ce que je fais rarement, j'ai lu en diagonal les 300 pages du milieu, et il m'a semblé n'avoir absolument rien raté pour comprendre la fin. de plus, j'ai lu une version poche et je ne sais pas si c'est également le cas en version "grand format", mais le texte n'est pas aéré, ce qui rend la lecture un peu désagréable, car on passe d'une situation à une autre, sans espace ou saut à la ligne. Ce roman est un mauvais moment dont on peut se passer ! Il ressemble à un film de 2H30, où 45mns sont de trop.

Une histoire sans rebondissement, c'est long ! Je n'ai pas réussi à m'attacher à Sally et pour moi la fin était prévisible... dommage car j'avais déjà lu Douglas Kennedy et j'avais plutôt apprécié.

Stop. Au milieu du livre et après des pages et des pages d'atermoiements de cette femme qui fait une depression post natale j'ai dis stop. Ça devenait trop long et je n'en pouvais plus.