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3,67

sur 1562 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Par la quatrième de couverture dithyrambique alléchée, je me suis plongée, pleine d'attente dans ce polar suédois.
Quelle déception !
J'ai trouvé d'abord le style trop simple : sujet, verbe, complément ( pas toujours, mais souvent )
J'ai trouvé les situations totalement improbables, même dans un roman.
Evidemment, je n'en citerai aucune, sinon, à quoi servirait de lire ce livre.
Et, surtout, l'attitude de la mère dont on a enlevé l'enfant m'a profondément choquée. Sa vie continue quasiment comme si rien de grave ne s'était passé.
La description des séances d'hypnose, quel ennui, vraiment de quoi s'endormir !!!
Des détails très gores, des répétitions, un langage cru...
Vraiment, je me demande comment j'ai pu aller jusqu'au bout de ce truc.
En tout cas, une chose est sûre, je ne lirai plus de livre de ces auteurs, car, oui, ils se sont mis à deux pour sortir ça !
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Amateur de film d'horreur, voici un livre pour vous ! Plus fort que Jason dans "vendredi 13", venez découvrir le tueur en déambulateur et qui arrive a moitié mort a semer la police de Stockholm. Vous verrez un hypnotiseur réveillez un mort, un flic a la retraite se faire renverser par une voiture mais qui va pourtant réussir a courir après un fuyard et pour finir un bain de sang et un final rocambolesque avec happy end digne d'hollywood. Mais pour ceux qui n'aime pas ce genre de film, rassurez vous il y a aussi un coté film de Bergman avec longue description de paysage, monologue intérieur avec état d'ame complexe et des digressions qui viennent comme un cheveu sur la soupe. Si vous aimez toujours pas ce genre, il en reste un autre, l'érotique avec des scènes aussi torrides que dans un film de Max pécas et dont on ne saisit pas l'intérêt. L'hypnose me direz vous ? de la page 286 a 386 soit 100 pages sur un livre d'un peu plus de 500 .
En résumé un livre qui m'a fatigué par ces descriptions longues et inintéressantes, par ces héros avec leurs états d'ames dont on n'a rien a faire, par l'hémoglobine qui jaillit par jet continu, par un récit invraisemblable et un érotisme en toc qui est plaqué de manière artificielle dans l'histoire et une fin a grand spectacle particulièrement raté et ridicule.
Un livre rempli de cliché et de poncifs du genre. J'en suis arrivé a me désintéresser du sort de Benjamin.
Ma note 3/10.
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
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Hypnotisören / L'Hypnotiseur


On m'a offert deux autres volumes de cet auteur et j'espère avoir plus de chance qu'avec cet "Hypnotiseur" qui, à l'exception d'une centaine de pages, aux deux tiers du roman, est l'une des "daubes" les plus pures que j'aie jamais lues, tous genres confondus.

J'essaierai de faire bref. Si vous voulez vous rendre compte par vous-même - ce que je conseille toujours car tous les goûts sont dans la Nature - sachez d'ailleurs que "L'Hypnotiseur" ne fait pas moins de 592 pages. Bref, un "pavé" que j'aurais pu aimer. Mais déjà, il est écrit au présent. Tout le monde le sait : ça me prend toujours à rebrousse-poil, ce genre de "mode" mais enfin, si l'histoire vaut le détour, n'est-ce pas ? ...

Oui, alors, l'histoire ... Attendez, que je me rappelle dans quel ordre se succèdent les longueurs inutiles, les redites, les fausses pistes qui partent dans des directions incroyables et la fin, tout aussi tirée par les cheveux que le reste ...

Tout commence par le massacre particulièrement odieux d'une famille suédoise : le père à sa salle de gym et la mère et la petite fille, dans la maison familiale. le garçon, Joseph, un ado de quinze ans à peu près, quoique gravement touché, a survécu. Les ambulances et les flics s'amènent et Joseph est expédié dare-dare à l'hôpital, en soins intensifs. J'insiste : ses blessures, ce n'est pas du n'importe quoi. Seul survivant, Joseph est, du même coup, le seul témoin vraisemblable. Seulement voilà, il délire, le pauvre - c'est bien compréhensible. Alors, la police fait des pieds et des mains pour le faire hypnotiser par Erik Maria Bark (que sa mère a nommé "Maria" par référence à l'acteur Klaus Maria Brandauer ). Erik, qui a un fils hémophile à peu près du même âge que Joseph, hésite : n'a-t-il pas solennellement juré - y compris devant la presse affamée - il y a quelque années, de ne JAMAIS PLUS hypnotiser qui que ce soit ? Ici, les deux auteurs (car en fait, "Lars Kepler" est le pseudo d'un couple) nous laissent entendre qu'il n'a pas fait cette promesse en vain et que l'affaire qui l'y a amené était très grave.

Maintenant, le massacre de l'innocente famille de Joseph, c'est grave aussi, très, très grave . Alors, Erik Maria - une bonne pâte - se dévoue. Et bingo ! On comprend vite que l'auteur de ces crimes horribles n'est autre que Joseph lui-même ! Et ne voilà-t-il pas que, vite fait, bien fait, notre jeune assassin complètement cinglé s'échappe, en quête de sa soeur Evelyn, à laquelle il tient à imposer des relations incestueuses ! Vu toutes les blessures qu'il a réussi à s'infliger à lui-même, on se demande bien d'ailleurs où il trouve le courage physique de s'échapper, de tuer un ou deux malheureux qui s'opposent à son passage, de piquer une voiture, de la conduire, et en plus, d'enlever le fils d'Erik Maria Bark. Pire que le "Halloween" de Carpenter, revu et corrigé par le Dr Lecter dans "Hannibal", on vous dit !

Seulement voilà, finalement, est-ce bien Joseph qui a enlevé Benjamin ? (Si mes souvenirs sont bons, dans la Bible, vous avez d'ailleurs deux frères, les fils de Rachel, je crois, dont l'un s'appelle Joseph et l'autre, Benjamin ... ) Erik-Maria replonge dans l'hypnose (je crois que c'est sa propre épouse qu'il hypnotise cette fois-là mais peu importe, à ce point-là, c'est devenu déjà tellement "je-pars-dans-tous-les-sens" qu'on s'en fout carrément !) et patatras ! C'est une femme, avec une capuche et des gants jaunes, qui aurait enlevé Benjamin après l'avoir drogué. le lecteur respire un peu parce qu'il se demandait franchement comment, blessé comme il l'était, avec un foie qui touchait presque terre et des marques de cathéters un peu partout, Joseph avait réussi à traîner par les pieds le jeune Benjamin qui se cramponnait aux chambranles des portes ...

Entrent maintenant dans la ronde le grand-père maternel de Benjamin, Kennet, qui est - ô surprise - ex-inspecteur de police et qui commence ses propres recherches avant d'être poussé sous un bus par une gamine de dix ans ; un groupe de gamins méchamment tcharbés (l'affreuse petite "pousseuse" fait partie du lot) aux ordres d'un ado un peu plus âgé qui se fait appeler du nom du "Roi des Méchants Pokémons" (!!!!) et enfin, la partie la plus intéressante du livre, l'ancien groupe de patients d'Erik-Maria, dont une certaine Eva Blau, laquelle, ma foi, a bien le profil d'une tueuse ...

Le lecteur respire encore profondément, il se croit sauvé : oui, c'est Eva Blau la responsable ! ...

Eh ! ben non ! La parenthèse se ferme et Blau est retrouvée morte dans sa baignoire, dans un état de décomposition avancée.

Et nous revoilà tous repartis, langue pendante et littéralement épuisés, à la recherche de Benjamin, que nous retrouvons dans une "Maison hantée", attachée à une laisse que tient ...

Je ne vous dirai pas la fin : je l'ai trouvée absolument peu crédible et même grotesque. Enfin, sachez que Benjamin est retrouvé un jour pile avant que les médicaments qu'on lui administre chaque semaine pour son hémophilie aient cessé de faire effet. Ouf ! Et Erik-Maria, sa femme et son fils repartent, dans une happy end elle aussi incroyable, vers de nouvelles aventures - avec les auteurs, probablement très fiers d'eux, à l'arrière de la voiture.

Enfin, nous le savons, une hirondelle ne fait pas le printemps : je vais donc lire les deux autres titres proposés et je viens vous en reparler. ;o)
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Avec Camilla Lackberg je découvrais que Barbie et Ken se lancent dans la résolution d'énigmes policières, avec l'hypnotiseur voilà qu'on se retrouve chez les Sim's. Les auteurs semblent avoir une idée des ingrédients qui font un polars à succès mais n'ont de toute évidence aucune idée des doses ni du moment juste. Ainsi, les personnages s'égarent à tout moment dans des souvenirs, sensés construire leur personnage. Tracas personnels tombent dans la soupe grumeleuse de l'histoire comme par une crise de calvitie spontanée, l'hypnotiseur par exemple qui, en bon sim's, se rend près du blessé qu'il s'est finalement assez facilement laissé convaincre d'hypnotiser, instant grave qui devrait mobiliser toute son attention mais qui soudain téléphone à sa femme pour lui dire qu'il ne la trompe pas. Quel timing! Quel réalisme! Mais parlons de réalismes, les dialogues sont aussi artificiels que les personnages. Sim's femme inquiète assise dans le métro. Logiquement, sim's pervers vient s'assoir pour la harceler. « T'es une femme? » demande-t-il.... et moi de me demander, y'a combien de page encore à subir?
Tout le monde ne peut pas se lancer dans le polars. Pour que ça marche, il faut que le lecteur ne voie pas la colle qui a débordé, la peinture qui bave, les fleurs en plastique...
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Récupéré dans ma PAL, la couverture, je la trouve pas terrible. Troisième tentative de lecture, vu les critiques dithyrambiques, il y a un truc qui m'échappe, je m'ennuie, je m'ennuie, je m'ennuie ... mais grâce à ce livre je dors bien, je comprends maintenant le titre ... Bon j'arrête, il y a mieux à lire !
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Actes sud proposant un nouvel auteur suédois. Je me dis si s'est de la trempe de Stieg Larsson ou de Camilla Läckberg, je devrais passer un bon moment.

Et bien, je suis déçu. J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et il y a beaucoup de longueurs qui ne rendent pas le roman captivant. Je suis allé jusqu'au bout pour connaitre le dénouement et la aussi, déception, devant trop d'invraisemblances.
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Sûrement pas le nouveau Millenium ni le remplaçant de Camilla Lackberg! L'intrigue est quand même très prenante (quoique franchement malsaine parfois, on est presque gêné de continuer à le lire) mais le style laisse parfois vraiment à désirer, ne lisant pas le suédois je ne sais pas s'il faut jeter la pierre au couple d'auteurs ou au traducteur...Une petite perle pour illustrer mon propos, l'un des héros parle minimum 3 fois dans le bouquin avec "un accent finlandais mélancolique", puis à la fin avec un "accent finlandais plein de sérieux"...essayez de vous imaginer ce que ça donne, moi ça ne m'inspire rien qui vaille!
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Mais qu'est-ce-que c'est que ce truc ?

Si j'ai commencé ce livre, c'est uniquement parce que j'avais vraiment envie de lire le marchand de sable et que je me suis dit que commencer par le début serait une bonne idée pour une fois. Pas sûre que cette idée ai été si brillante !

Le début est quelque peu décousue, beaucoup de personnages qui se mélanges, d'intrigues secondaires qui parasitent le propos et de fichues descriptions, de tout et n'importe quoi, et qui n'en finissent pas.
A cela s'ajoute un commencement d'intrigue quelque peu tiré par les cheveux avec "non je le ferais pas" et "mais si il faut le faire". Franchement après 10 ans sans hypnose réussir à convaincre Erik en 2 minutes de discussion vous trouvez ça crédible ?

Ensuite ça part dans tous les sens. Un enfant psychopathe qui ressemble plus à un T800 qu'à un humain ? Check. Un flic cliché qui ne respecte pas les consignes ? Check. Un couple à la dérive ? Check. Un enlèvement ? Check. Un papa ancien flic avec des relations à faire pâlir un agent de la CIA ? Check. Une bande de gamins voleurs ? Check. Des anciens patients du psy hypnotiseur qui refont surface ? Check. Secrets ? Check. ETC... Et oui des multitudes d'intrigues diluées dans des dizaines de passages narratif indigeste ! Youpi :-)

Après on a aussi des incohérences plus que douteuse. Des personnages qui savent des choses sans que jamais dans le livre personne ne leurs aient dit. Des trucs qui se passent en Off et qu'on demande au lecteur d'intégrer sans même une petite phrase pour le remettre à niveau. Des personnages qui se téléportent et oui c'est un festival ! Et ce n'est pas fini, on rajoute ​une temporalité décousue, un bond dans le temps qui à mon grand bonheur, à eu au moins le mérite de m'offrir les meilleurs chapitres du livre, et une facilité à tuer tous le monde ... parce que pourquoi pas ?

Et puis si jamais une famille entière tué de manière ignoble ne vous fais pas tressaillir, pas de soucis, l'auteur décide de surenchérir dans le morbide, histoire qu'on ai pas vraiment envie de relire deux fois le roman ;-)
​Ce qui est franchement un exploit pour la lectrice de Karine Giebel que je suis !

Quant à la fin. Elle a au moins eu le mérite de mettre un terme à mon calvaire. Calvaire qui heureusement n'a pas duré trop longtemps car j'ai vite entrepris une lecture en diagonale.


En bref, ça part dans tous les sens. le développement des personnages ne concerne que ceux que l'auteur veut tuer, et la fin est beaucoup trop happy end pour un récit aussi sombre. Une bonne déception, qui ne m'encourage pas vraiment à lire la suite . Mais tous les goûts sont dans la nature...

Belles lectures à tous.
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Le succès emprunte parfois des voies inexplicables. Ce gros roman, vendu sur la renommée de la veine suédoise de fiction policière, s'est écoulé comme des petits pains alors qu'il n'y a pas intrigue plus mal fichue, narrée avec un style lesté d'un fer à repasser (même deux si l'on en croit les sources bien informées qui ont révélé que le livre avait été écrit par un couple d'écrivains).
Erik Maria Bark est un psychiatre qui officie dans un hôpital de Stockholm et a longtemps pratiqué l'hypnose pour des thérapies de groupe qui associaient victimes de traumatisme et auteurs de sévices. Accusé d'avoir abusé de ses compétences médicales après le fiasco de l'une de ses expérimentations, il s'est juré de ne plus pratiquer l'hypnose. C'est compter sans l'inspecteur Joona Linna qui a besoin de ses talents pour savoir ce qui s'est passé sur deux scènes de crime particulièrement sanglantes où le seul survivant est un adolescent en état de choc, plongé dans un coma artificiel en raison de ses blessures multiples : Josef. Mais Josef au si gracieux visage est un ange de la mort, comme il le révèle à son hypnotiseur, c'est lui qui a coupé en rondelles son père, sa mère et sa petite soeur. Ne va-t-il pas réserver le même sort à sa grande soeur ? Vite, il faut retrouver celle-ci et la mettre à l'abri.
Erik Bark a cependant bien d'autres soucis : Simone, son épouse, lui fait des scènes de jalousie et comme Joona Linna l'appelé chez lui, en pleine nuit, en utilisant le téléphone d'une femme médecin, elle pense qu'il la trompe à nouveau. Au lieu de lui expliquer que non, il ne file pas le parfait amour avec sa collègue, il prend deux cachets et se tait. Entre temps, le gamin Josef sort du coma, débranche ses fils, trucide une infirmière et prend la poudre d'escampette. Mais non, Erik ne veut pas de protection policière pour sa famille, il prend deux cachets, ça va passer. D'ailleurs, son fils disparaît, il a d'autres chats à fouetter. Il en parle vaguement à la police, reprend quelques pilules, et sa chère Simone préfère s'en remettre aux talents de son papa, ex-policier à la retraite pour retrouver le petit, en danger de mort. Elle en profite pour mettre Erik à la porte en lui disant d'aller chez sa belle mais, plutôt que de démentir, il prend deux cachets et va dormir à l'hôpital, c'est plus simple. Un caractère de cochon, le papa de Simone, qui ne fait pas une minute confiance à son ancien employeur et préfère mener sa petit enquête, quitte à bousiller le travail de Joona Linna.
Tout à coup, tout un tas de patients pas très clairs sort du bois, et on ne sait plus où donner de la tête entre des enfants vicieux, des handicapés mentaux sympathiques, des jeunes filles terrorisées, des psychopathes maléfiques : les couteaux volent, les haches découpent, les ciseaux mutilent, on est dans une coutellerie diabolique. Heureusement, Simone a eu l'opportunité de prendre un peu de bon temps avant que son amant ne finisse saigné comme un goret. du coup, Erik arrête carrément les cachets et se met à chercher sérieusement dans ses souvenirs si quelque chose ne lui a pas échappé. Je vous rassure tout finit bien, à MacDo, en famille et sans vilain troll.
Quand on vous dit que parfois on peut écrire n'importe quoi et que la critique n'y voit que du feu !
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Roman qui donne une idée de ce que pourrait être un ouvrage composé par des algorithmes. Ingrédients : un décor suédois à l' approche de Noël ; un inspecteur rassurant, mais légèrement marginal ; deux médecins, un légiste ;un crime familial horrible (demandez à votre boucher de vous le préparer) ; un couple qui s'aime mais qui se déchire ; deux ados qui pourraient mal tourner ; une demi-barrique de sang ; 225 tasses de café; quelques messages bizarres sur Internet ; une séance d'hypnose ; lier avec un style bref, alternant les points de vue ; ajouter pour chaque partie la date exacte, jour par jour; saupoudrer de touches réalistes brèves à volonté (au moins une par page, voir exemple ci après) ; parsemer le tout de dialogues .
Au bout de 300 pages, à mi-parcours, soudain cette question : « mais au fait, pourquoi est-ce que je lis ça, moi ? »
Exemple de touche réaliste: "Ylva accourt et la prend dans ses bras. Simone remarque qu'Ylva a oublié de se teindre les cheveux en noir comme elle le fait d'habitude.Ses racines grises se devinent dans la raie du milieu, mais son visage est lisse et bien maquillé, sa bouche d'un rouge profond , comme toujours. Elle porte une jupe-culotte grise par-dessus des collants rayés noir et blanc et de gros godillots marron." (Précisons que cette Ylva est un personnage totalement secondaire).
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