Poèmes - Edition bilingue

 
 
La vie est malade
Les chiens toussent
Les abeilles voguent
Les oiseaux piochent
Les arbres scient
Les bois pleurent
Les hommes meurent
Les tiques y mettent du leur
Les livres sont menteurs
Les fourmis font du planeur
À tout à l’heure

Nebraska

Avril ne fait pas mal ici
Comme en Nouvelle-Angleterre
Le sol
Vaste et brun
Entoure des villes sèches
Situé dans la poussière
Du criquet à venir
Vivez pour survivre, pas pour des "coups de pied"
Soyez un descripteur de bangtail,
comme un voyageur enveloppé
dans un immeuble textile et les oiseaux combats dans les oreilles comme Burroughs exact pour décrire et obtenir $
La faim en colère
(la faim est la colère)
qui craint l'
affamé craint
la colère)
Et donc je suis rentré à la maison
À Golden au loin
C'était à l'horizon
Chaque jour béni
Comme nous roulions Et nous roulé de
Donner Pass tragique
Au mois d'avril au Nevada Et à Salt City Way Dans les Nebraskas secs Et le Wyomings triste Où les jeunes filles Et les jolis garçons amoureux Aux
yeux de Mickey Mantle
Errent sous les lunes
Sciant dans le berceau perdu
Et le juge O Fasterc
passe en se tortillant Pour demander au jeune amour : ,, Était c'est le même vent De la veille des plaines d'avril qui a ébouriffé la robe
De mon amour perdu
Louanna
Dans l'Ouest
Loin de la nuit
Perdue comme le sifflement
Du train qui passe
Partout L'ouest
Roams gémissant
La basse profonde
- Vom ! Vom !
- Était-ce le même amour A
notifié mes os Comme mortifier des années maintenant
Enfants du doux
La nuit d'avril du Wyoming ?
Ça n'aurait pas été possible !
Mais était! Mais était!"
Et dans la prairie
Les fleurs sauvages soufflent
Dans la nuit Pour les abeilles et les oiseaux Et dormant Les animaux cachés de la vie.
Les Chicago
Spitters dans la rue
tachetée Haricots bon marché, boucle, Les filles m'ont fait des yeux Et j'avais 35 cents dans mon jean -
Puis Tolède
Printemps étoilé
Nuit d'amoureux Des garçons hot rod Et des filles cool Une errance
Une errance
A la recherche de la douleur d'avril Un coup de pluie
Ne dissipera pas Cet enfer fumigatin De la ruelle des amoureux Ce parc de roses Bleu comme des abeilles
Dans d'anciennes poses aérées
En aérien O Manière tuyaux
Pas de tamarand Et figancine Le musterand peut-il être moins gentil
Sol -
Sol -
Faites naître votre année Ah Tournesol - Ah moi Montana
Rose phosphorescent
Et pont dans
assez de terre
Je comprendrais tout -

Comment méditer

-les lumières
tombent, les mains jointes, dans une
extase instantanée comme un coup d'héroïne ou de morphine,
la glande à l'intérieur de mon cerveau décharge
le bon fluide joyeux (Holy Fluid) alors que
je me penche et tiens toutes les parties de mon corps
jusqu'à une transe sans issue - Guérissant
toutes mes maladies - effaçant tout -
même pas le lambeau d'un "Je vous espère" ou d'un
Ballon fou, mais l'esprit
vide, serein, irréfléchi. Quand une pensée
surgit de loin avec sa
figure d'image avancée , vous la falsifiez,
vous l'éteignez , vous la simulez, et
elle s'estompe, et la pensée ne vient jamais - et
avec joie vous réalisez pour la première fois
« La pensée est comme pas thinking-
Donc , je ne dois pas penser
une
plus »

Auto stoppeuse

"Essaye d'aller sous le soleil de Californie" -
Boom. C'est l'horrible imperméable
qui me fait ressembler à un gangster imaginaire qui se suicide, un idiot dans un manteau triste, comment peuvent-ils comprendre mes sacs humides - mes sacs de boue -
"Regardez John, un auto-stoppeur"
"Il a l'air d'avoir une arme à feu sous ce manteau de l'IRA"
"Regardez Fred, cet homme au bord de la route" "Un sexfiend a été imprimé en 1938 dans Sex Magazine" -
"Vous avez trouvé son cadavre bleu dans une édition greenshade, avec des taches de hache"

Des arbres
Mais un arbre a
une forme de longue souffrance Est
écarté en deux
par 2 destins à branches S'élève des trottoirs de
pluie grise Pour circuler dans l' air morne et brun Des villes télévision radar sans nom muet et engourdi mis connicumb Jetant des brindilles couleur d'encre Vers le ciel à âme blanche , avec Une réalité de ses propres usages