J'ai une profonde admiration pour les gens passionnés, pour tous ceux qui ont une passion qui devient la dimension profonde de leur âme.
Chez Olivier de Kersauson cette dimension est la mer, seul endroit au monde où ce solitaire trouve la grâce... On entend que l'homme maîtrise parfaitement la solitude et que la friction productive de ce livre naît de la confrontation avec la limite...
Dès lors on parvient à faire fi de la simplicité de l'écriture, aux maladresses du fil rouge, des cahots dans les enchaînements et de l'arrogance.
Conclusion: il est bien parfois de sortir le nez de nos lectures habituelles pour s'inspirer d'autres choses, de messages très simples tels l'urgence de vivre comme on le désire!
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