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3,54

sur 844 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je remercie Skand pour cette pioche de Janvier. C'est un de mes tout premiers livres achetés et enterré dans ma PAL depuis bientôt 10 ans. Il aura fallu une pioche pour l'en sortir. Depuis longtemps, j'apprécie les histoires sur les Templiers donc le titre et le résumé avaient attiré mon regard et mon intérêt. Je vais bien voir si le style de cet auteur va aller de pair car c'est mon premier roman de lui.

Malgré un casse spectaculaire au Metropolitan, le début est long à se lancer, l'auteur prend son temps pour présenter son personnage principal. Peut-être même un peu trop de temps, ça ne m'intéresse guère et ça aurait pu être intégrer différemment dans l'histoire. L'auteur alterne entre les différents personnages et donc plusieurs points de vue. Différents détails ne me paraissent que peu importants, comme le nom des armes. Ça me donne l'impression de partir dans tous les sens, les seules parties qui m'intéressaient réellement concernaient la jeune archéologue. Et à 50p/jour, le rythme est vraiment trop lent avec des passages mélodramatiques pour maintenir mon attention. J'ai attendu encore un peu mais mon intérêt pour ce livre s'effilochait de plus en plus. Contrairement à d'autres livres du même style, l'avancement dans l'enquête est morne, il n'est pas vivant. Il manque de rythme en plus de changer tout le temps de narrateur, ça n'apporte aucune fluidité à l'histoire. Les personnages ont le charisme d'une mouche, ils sont mous et sans envergure. L'histoire ne démarre pas malgré la scène du casse et trop de personnages nous racontent leur point de vue sur l'histoire. Je n'ai donc pas pu continuer ma lecture, il a voulu surfer sur la vague du Da Vinci Code sans avoir le savoir-faire de Dan Brown. Dommage, c'était pourtant bien parti mais l'histoire est beaucoup trop lente pour moi. J'ai donc abandonné ce livre à 120p.

Comme vous l'aurez compris, ce livre a été une grosse déception pour moi. Je ne pense pas en tenter un autre de cet auteur, son style n'est pas pour moi et cela me fait toujours une série de moins à continuer. Si vous êtes amateurs de romans ésotériques, je vous conseille de le découvrir par vous-mêmes, d'autres ont semblé plus l'apprécier que moi. Pour ma part, ça me fait un auteur de moins à suivre et un livre de moins dans ma PAL.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Je ne comprends pas le succès de ce livre! N'ayant quasiment pas lu de best seller de ma vie, je me suis dit, si c'est ce style de livre qui se vend et qui se lit, je comprends pourquoi la tv réalité cartonne. Depuis j'ai lu du Dan Brown et je suis un peu plus rassuré. C'est la première fois que je lisais sans réfléchir, sans stimuler mon imagination! Style vraiment moyen (sans être nul, il n'est pas déplorable non plus). le pire c'est le scénario sans suspense et surtout la construction des personnages. "En 3 lignes", l'auteur expose les personnages (même les principaux). On a l'impression que l'auteur n'en sait pas plus sur eux que ce qu'il en dit ce qui en font des personnages creux et sans consistance. du coup, aucun intérêt pour les personnages ni pour ce qui leur arrive!
Vraiment sans intérêt même pour la plage.
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J'ai un avis mitigé concernant ce bouquin. Ce n'est pas que l'histoire est nulle ou mal écrite, c'est juste que je pensais me retrouver pendant tout le livre au temps des Templiers (oui je ne lis jamais les résumés!).

Nous n'avons qu'un tout petit prologue et une petite fin avec ce temps-là. le reste se passe dans le monde "actuel". Nous avons bien sûr des rappels au passé.

Il s'agit en fait d'un policier ésotérique. Je préfère donc ne pas donner d'avis car ce n'est pas mon genre de lecture et je ne veux pas vous induire en erreur. Vous trouverez certainement un avis plus positif chez ma partenaire de lecture Merry!
Lien : http://chezcookies.blogspot...
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Bien qu'il s'en défende, l'auteur Raymond Khoury a surfé sur la vague du succès du « Da Vinci Code » et a produit son thriller ésotérique, mélangeant l'histoire cathare et celle des templiers. Quelques « flash backs » ramènent le lecteur vers les quelques templiers ayant échappé au massacre de St-Jean d'Acre pour affronter des périls tour à tour naturels et humains.
Pour résumer: le début du Da Vinci, le milieu bien à lui, la fin complète américaine : les héros s'en sorte indemne et plus amoureux que jamais, le méchant qui meurt mais que c'est même pas vrai qu'il est mort. Bref on peut s'en passer
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Un début intéressant mais une suite bien molle, lente, lourdingue et longue.
Une histoire d'amour inutile s'ajoute à cela et c'est la fin des haricots.

A éviter de toute urgence.
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lu sans grand intérêt... on n'y apprend pas grand chose. Manque vraiment d'originalité, mais comme beaucoup d'autre dans le genre.
Plus près d'un Dan Brown que d'un Umberto Eco, donc, très déçue.
Lien : http://mazel-livres.blogspot..
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Quatre cavaliers déguisés en templiers s'attaquent au Metropolitan Museum de New York pour s'emparer des trésors du Vatican. Tess, une jeune archéologue qui assiste a ce pillage , a le sentiment que tout cela a un lien avec l'histoire des Templiers. Sean reilly , un agent du FBI, fait confiance a son intuition et ils vont partir a la recherche de ce mystère.

Vous aimez les polars bien ficelés avec une intrigue qui tient debout ? Vous aimez vous identifiez aux héros ? Vous aimez les livres bien écrits où vous apprenez des choses ?

Alors passez votre chemin et ne lisez pas ce livre. L'histoire est remplie de rebondissements les plus ridicules les uns des autres . Tout ce que l'on connait des templiers est compilé pour en faire une intrigue décousue et bancale. Les héros sont stéréotypés, pas attachants et ils frisent le ridicule.C'est les gentils contre les méchants, il n'y a aucune finesse dans les personnages. La fin est attendue depuis le début du livre.Et le livre se termine en apothéose avec une happy end très mièvre et sans surprise.

Ma note sera très mauvaise:2/10
Lien : http://www.desgoutsetdeslivr..
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Oui, je sais, c'est pas bien... J'aurai pas dû [sur un air de Les Bétises de Sabine Paturel, seuls les plus de 35 ans comprendront]. J'y ai cru pourtant, J'avais abaissé mes critères, je m'étais mis en mode "lecture simple" en me disant que j'allais gratter cette partie un peu honteuse mais qui fait tellement du bien. Comme lorsque on tombe dans le pot de pâte à tartiner, qu'il ne faudrait pas, mais que Merde ! c'est trop bon, même si c'est trop sucré. Vous voyez ?
R. Khoury est à la littérature ce que le Nutella est à la gastronomie. Une sorte de point aveugle.

Il faut dire que tout avait bien commencé... En empruntant à ma médiathèque préférée (spéciale dédicace aux bibliothécaires) une DaVinciConnerie, je me livrais à un de mes vices les plus pervers.

Je m'explique.

Si vous m'avez lu sur mon blog, non pas en large et en travers mais sur quelque posts au moins, il est clair pour vous que la religion... comment dire... Karl Marx est un croyant et Michel Onfray un jeune catéchumène à côté de moi. Pour préciser les choses, que ce soit bien clair entre nous (pour les malcomprenants, dans le fond), disons que je trouve que le Traité d'athélogie dudit Onfray s'arrête là où il devrait commencer. Qu'il ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes sur la religion avant de s'arrêter face à l'Annapurna du démontage matérialiste, à savoir la foi, phénomène d'aliénation majeur, s'il en est.
Alors, en bon républicain laïc (et laïcard tendance Petit Père Combes en privé, vous voyez ?) en public chacun fait ce qu'il veut de son temps personnel. Certains c'est le point-de-croix tendance tableaux avec des biches au-dessus de la cheminée, d'autres la course à pied ou la chronique littéraire (cocher la bonne case), quand certains préfèrent s'adonner à la croyance qu'une femme a pu enfanter vierge et que le ramassis de fadaises écrit par un groupes d'homme d'il y a 2000 ans, sur un phénomène qu'ils n'ont pas vu et que d'autres leur ont raconté à trois générations d'intervalles (vous savez, l'homme-qui-a-vu-l'homme-qui-a-vu-l'homme-qui-a-vu-l'ours) pourrait avoir une influence cardinale sur leurs vies. Pourquoi pas ? On est libre, non ? C'est la force de la république (c'était la minute chevenementiste).

Alors, le rapport avec ce bon Raymond ?
Eh bien, c'est pas parce que on évacue la religion et la transcendance comme hypothèse de principe, qu'on ne se pose pas de questions, hein. Sur le sens de l'existence, sur le pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien et pourquoi reste-t-il toujours une chaussette toute seule à la sortie de la machine à laver ?
Et c'est là où le complotisme apparait. Vous savez cette mauvaise habitude qu'ont certains de toujours voir une main invisible derrière tout, une grande manipulation, une intention malveillante. Le complotisme c'est le (possible) opium de l'athée. Elle transfère l'omnipotence divine sur un petit groupe d'hommes, cachés. L'instance visée n'est plus la même, mais c'est le même mécanisme.
Le complotisme c'est ce qui donne du sens lorsque celui-ci a déserté la religion.
Et comme le complotisme explique tout, il permet tout.
Le groupe de Bildeberg, la zone 51 et les petits gris, les attaques contre le world trade center, les américains qui ne sont pas allés sur la Lune (et la terre creuse), l'assassinat de Kennedy, bientôt la disparition du vol MH 370, le trésor de Rennes-le-Château, l'Atlantide, les Francs-maçons et les Rose-Croix, les Cathares et donc, bien sûr, in fine, les Templiers. En matière d'ésotérique du complot, toute commence et finit avec les Templiers. Le templier est l'alpha et l'oméga du secret caché. C'est même un critère pour juger de la santé mentale (dixit Umberto Eco dans Le Pendule de Foucault, mais j'en reparlerai plus tard).

Le problème avec le complot c'est que, parfois, il y a des choses de vrai, tendance il n'y a pas de fumée sans feu... (l'adage préféré des complotistes de tous poêles), mais ça bien malin qui saura le débrouiller. Alors entre les vrais fous, les illuminés (non, non, je n'ai pas dit les Illuminati), les escrocs, les naïfs, ceux qui savent vraiment quelque chose et la mauvaise foi éhontée de ceux qui les contredisent (trop facile d'accuser de révisionnisme), bien malin celui qui pourra en savoir un peu plus.

C'est pour cela que je sacrifie épisodiquement et rituellement à la lecture d'un roman ésotérique. Comme le bonheur de tomber dans un paquet de fraises tagada. Appelons-le comme ça, à défaut de vraiment pouvoir caractériser l'ouvrage de R. Khoury. Parce que c'est quand même un vrai mauvais livre. Allez, allons plus loin, une bouse.

La grande force du livre c'est une scène d'exposition assez évocatrice. Je ne parle pas du style Khoury (hein ? quoi ?), mais bien du pouvoir puissamment cinégénique de celle-ci.
L'histoire : lors d'une exposition à NY d'objets rares sortis des caves du Vatican (rendors-toi, Gide), quatre hommes affublés d'une tenue de Templiers traversent à cheval Central Park, décapitent un gardien pénètrent dans l'exposition (toujours à cheval et en pleine inauguration) renversent tous les objets et, au milieu, en prennent un. Témoin impuissante, Tess Chaykin (que je n'ai pu imaginer autrement que sous les traits de la délicieuse Tricia Helfer, ne me demandez pas pourquoi, c'est comme ça. Je vais consacrer un jour un post à la représentation physique des héros littéraires) comme par hasard archéologue désœuvrée de son état et en manque de reconnaissance parce que fille de son père, archéologue réputé, lui, va mener l'enquête, parfois avec l'aide de Sean Reilly, l'inspecteur catholique et parfois contre lui (voire tout contre, parce que catho mais pas abstinent non plus).

Si, si, il a osé.

Alors ça se bat de tous côtés, sur tous les continents, avec un irréalisme dans l'enchainement des situations et des causalités qui ferait pleurer de honte un scénariste de film porno.

Bon tout ça c'est pas bien grave.
Sauf que le méchant (oui, je spoile, c'est comme ça) c'est un ancien collègue de Tess qui veut récupérer un document caché par les templiers (le journal intime d'un nommé Jésus rédigé en -1 avant lui-même, himself) afin de révéler au monde la malhonnêteté de l'église, parce que pauvre scientifique, il avait obéi au prêtre, avec sa femme, alors qu'ils voulaient avorter. La mère et l'enfant en étaient morts sur le coup et depuis il avait compris que l'église c'était du pipeau et des méchants.

Bon, bon, bon, c'est bien tout ça. Le problème c'est que tout les arguments du méchant sont piqués au coin du bon sens et que ceux des gentils sont navrants de culculterie la praline, digne d'une PrayerTV à l'américaine. Alors il y avait d'intéressant l'hésitation de ladite Tess qui s'allie un temps au méchant parce que la science toussa toussa. Mais à la fin non, il vaut mieux laisser toutes ces informations dormir en paix pour l'éternité. Et de jeter le carnet rédigé en araméen à l'eau, parce que, vous savez ma bonne dame, l'église a fait tant de choses pour le bien de l'humanité, qu'il ne faudrait pas jeter des hordes de croyants incapables de penser par eux-mêmes dans le désespoir. De découvrir que Jésus n'est qu'un homme parmi les autres, et que l'Église le sait depuis toujours (ah ! les bons méchants bien pratiques...).

Alors moi je dis que là, à ce niveau, j'ai presque du respect pour celui qui ose pondre un truc pareil. Et que la fondation pour la libre-pensée a encore un peu de boulot. Je ne crois pas que je vais lire la suite.

Conclusion : Les DaVinciConneries, c'est bon comme une indigestion de bonbons. Tout le plaisir du sucré, et après la crise de foi(e).
Lien : http://leslecturesdecyril.bl..
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Sans intérêt, des rappels d'histoire approximatifs, voir mensongers.
Une pale copie de Dan Brown.
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Ce n'est vraiment pas bien.
Les incohérences historiques n'ont aucune justification, à part un manque de recherches.
Les personnages sont absurdes, absolument pas crédibles et inintéressant.
L'intrigue ne tient pas la route. Trop souvent les choix n'ont aucun sens. Les réussites des personnages sont des cadeaux du scénario pour les aider à avancer.
Rien n'est maitrisé.
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