Ce dixième tome est axé sur la recherche du troisième apôtre, spécifiquement par Shizuku, en introduisant l'aide de deux arts finalement assez proches, le cinéma et l'architecture.
C'est en ayant connu un réalisateur de films, possédant une cave particulièrement garnie, que Shizuku va être amené a lui rendre service en ramenant son actrice principale vers la dégustation du vin auquel elle avait renoncé. Cet épisode est charmant mais s'éloigne quelque peu du sujet.
Ensuite, Shizuku et Miyabi vont s'orienter vers les vieilles vignes qui vont les conduire à s'intéresser à l'architecture pourrait les conduire vers la découverte du troisième apôtre, tandis que son challenger, Issei semble toujours sûr de lui dans ses investigations.
Je trouve quand même que la série s'essouffle, mais les 44 tomes attendent leurs lecteurs et je dois donc poursuivre, d'autant qu'il y a souvent des anecdotes intéressantes sur le vin au fil des étapes et que les jeunes sont sympathiques, servis pas un dessin qui valorise bien leurs personnalités.
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Peut-être est-ce par manque d'habitude des mangas, mais ces histoires qui traînent et tournent en rond commencent à me lasser. Chaque fin de tome laisse supposer une suite alléchante, mais au bout du n°10 encore trop de questions sans réponses. Donc avis mitigé. Besoin d'une pause. Si j'ai trop soif, y reviendrai-je ?
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Un peu long ce volume... Je trouve qu'il faut beaucoup beaucoup beaucoup de temps pour trouver un apôtre.
Même si j'aime bien cette série, j'ai peur qu'elle finisse par me perdre en route.
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Cette fois, je commence vraiment à perdre patience. Je veux bien comprendre que la science du vin ne s'apprend pas du jour au lendemain, mais cette fois, je trouve que trop, c'est trop.
Le troisième apôtre est dévoilé et j'aurais bien aimé voire cette énigme résolue dans le même volume, pour que l'histoire avance un peu, mais non ! C'est toujours lent, très lent, avec plein d'explications, certes intéressantes, mais longues, très longues.
Du coup, mon plaisir s'en retrouve mis à mal.
Je ne suis pas sur de continuer cette série.
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Le vin parle. Il nous parle. Savons- nous l'écouter ? Il n'est point besoin d'être un scientifique éclairé, un œnologue distingué ou un sommelier de renom pour avoir la papille sensible. Juste un peu de curiosité et beucoup de passion. Après tout, faut-il absolument pratiquer le solfège pour aimer la musique ? (Georges Lepré ,maître sommelier ).
Tadashi Agi :"Un vin féroce et mordant, après avoir vogué sur les vagues du temps, devient plus doux comme une caresse. Tout en pensant que c'est la même chose avec les gens , je me laisse enivrer par son goút tendre ."
Les vins ont un meilleur moment pour être bus...
Les souvenirs sont comme eux. On ne peut pas avancer si on se contente de les conserver précieusement.
- S'il arrive qu'une rencontre puisse ruiner la vie des gens, il arrive aussi qu'elle l'enrichisse. Cette rencontre peut être une personne, un livre, ou une bouteille de vin...
Oui, l'échelle est petite mais c'est la nostalgie même. C'est un souvenir qui renait.
Gouttes de Dieu Mariage - Teaser