Encore un tome intermédiaire qui néanmoins ne manque pas d'intérêt surtout, je trouve, dans sa première partie.
Shizuku est toujours dans le bordelais où il va aider une jeune femme à trier des vins où des contrefaçons se sont faufilées parmi des grands crus. On pourra donc être une nouvelle fois ébahi par la finesse de l'odorat de Shizuku qui parvient à identifier des arômes sans même déboucher les bouteilles.
Dans une autre partie, un nouveau challenge car les bières Taiyo sont menacées d'une fusion avec les bières Teikoku dont le département vins est très important au point que ce projet de fusion paraît plutôt une future absorption qui compromettrait l'avenir professionnel, du moins à court terme, de Shizuku, Miyabi et leurs collègues amis.
On es loin des duels même si l'apparition d'Issei et de ses compétences dans la deuxième partie laisse présager l'arrivée prochaine du huitième duel.
Ce sera donc à découvrir dans le prochain opus de cette belle série toujours éducative sur le plan oenologique et si bien dessinée.
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En allant sur les traces de son père, Shizuku s'en approche alors qu'il se croyait si différent de lui. Première partie en Bourgogne, la seconde au Japon pour une dégustation afin de choisir des champagnes lors des vols aériens. Un tome basé sur l'enfance et la relation père-fils.
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Album de transition, en attendant le huitième apôtre, avec la fin des aventures médocaines et un défi pour les bières Taiyo. La première partie est bien sûr plus intéressante car elle nous plonge au coeur de la relation inter-générationnelle entre Shizuku et son père. Un manga original et de grande qualité.
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Bon, nous avons là un épisode "classique" où Shizuku vient en aide à une pauvre âme en détresse. Ah, et le département vins des bières Taiyo est menacé de disparition, de nouveau. Bref, pas le plus passionnant des tomes.
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L’ensemble est assez plaisant à suivre, comme la série en général. Il faut pourtant avouer que le récit n’a rien de bien original par rapport à d’autres épisodes des Gouttes de Dieu.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Même si on erre, même si on se trouve dans l'impasse, il y a un sens à malgré tout continuer à cheminer.
C'est seulement en conaissant son propre manque d'expérience qu'on discerne le chemin qu'on doit vraiment prendre.
Un vieil adage français dit "Le bordeaux fait penser des bêtises, le bourgogne fait dire des bêtises, le champagne fait faire des bêtises."
Ce n'est pas le fait d'avoir du talent qui préside à une vie et pas seulement pour le vin. Ce qui décide de la manière dont quelqu'un va mener son existence, c'est un sentiment et un seul, l'amour.
Même si on erre, même si on se trouve dans l'impasse, il y a un sens à malgré tout continuer à cheminer. Car si on arrive à avancer, même dans la souffrance un chemin se construit là.
Gouttes de Dieu Mariage - Teaser