Les Gouttes de Dieu, tome 9

Le niveau commence à baisser, même dans les verres de dégustation et malgré les émotions relatives aux souvenirs de jeunesse du jeune héros de la série, Shizuku. Quand la belle Miyabi parviendra-t-elle à le séduire, ils pensent tous deux au vin et elle surtout à lui, me semble-t-il...

Donc, une nouvelle étape dans cet album, étape un peu confuse à mon goût, tournant autour du refus d'un mariage par le père d'un fils qui a pourtant lui-même des origines mêlées. le vin peut-il résoudre un tel dilemne? Les auteurs ont pensé que oui, les lecteurs sont plus réservés et je les rejoins plutôt.

Un bel épisode sur les cerisiers de van Gogh, il était temps de mêler cet arbre mythique du Japon aux arômes des vins et cet épisode reste réussi.
Mais l'ensemble m'a paru manquer un peu de puissance, il est vrai que les grands crus ne sont pas présents dans ce tome.

A suivre avec peut-être la découverte du troisième apôtre. Je confirme mon intention de marquer une pause après lecture du tome 10 même si je sais que j'irai au bout de la série.

C'est Issei Tomine qui a remporté le 2ème défi en trouvant le bon millésime ,mais Shizuku est confiant ,persuadé de remporter les prochains défis .Pour l'heure Shizuku et Miyadi ont décidés d'aider Mme Kawamata dont la fille voudrait se marier mais son futur beau-père s'y refuse .Dans ce tome ,on découvre les vins japonais qui méritent le détour .

Faire d'un jeune qui ne supporte pas le vin un fan absolu avec seulement une bouteille, convaincre un père obsédé par la pureté de la race avec un autre bouteille... Mouais...Peu crédible direz vous. Et pourtant!

Encore un épisode intéressant où iShizuku fait un tour dans la magnifique cave de son père qui donne l'eau à la bouche. Oh Dieu que j'ai soif ! Et encore une intrigue qu'ils vont résoudre, grâce au vin, pour qu'un père français accepte de marier sa fille à une japonaise. Et comment faire apprécier du vin à un jeune qui n'en a pas envie ?

Un album de transition entre le 2e et le 3e apôtre. Deux petits défis, une bouteille pour convaincre le nouveau stagiaire qui refuse de boire du vin et une autre pour convaincre un père obsédé par la pureté de race et le mono cépage. La 2e histoire est un peu tirée par les cheveux mais la lecture du manga est toujours agréable.

Bien que je trouve cette série plutôt sympa, je commence à trouver le temps long. Entre les explications à rallonge et les histoires qui se répètent ( un problème survient et le vin contribue à le régler), je commence à m'impatienter en ce qui concerne le réel objectif de ce manga, c'est à dire la découverte des apôtres et des gouttes de dieu et la question crucial, qui reportera ce défi ?

Vivement que l'histoire avance plus vite !

Dans ce volume, Shizuku, évidemment accompagné de Miyabi retourne sur les lieux de son enfance. En parallèle, Shizuku cherche à donner le goût du vin à la nouvelle recrue de son Service et c'est un souvenir d'enfance qui va le mener au vin qui donne envie de boire du vin. Et puis il y a aussi le fille de la secrétaire qui va épouser un cuisinier dont le père est français mais ce dernier n'accepte pas une union mixte et nos jeunes gens vont donc chercher un vin capable de réconcilier les deux partis.


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Le volet précédent permettait enfin de résoudre la deuxième des énigmes vinicoles de la liste de Yutaka Kanzaki. Shizuku Kanzaki, fils d'un célèbre oenologue récemment décédé, et Issei Tomine, le fils adoptif du maître, se retrouvent à égalité dans cette course à l'héritage.

Il aura donc fallu huit tomes pour trouver les deux premiers flacons du défunt oenologue et quand on sait qu'il y a douze énigmes vinicoles (les « douze apôtres ») à résoudre et qu'il reste ensuite à trouver ce fameux treizième vin, surnommé « les gouttes de Dieu », avant de pouvoir récupérer l'héritage de Yutaka Kanzaki, vous avez vite fait le calcul du nombre de tomes que pourrait compter cette saga.

Il faudra d'ailleurs attendre le tome suivant avant de s'attaquer au troisième apôtre. L'auteur termine en effet d'abord la nouvelle parenthèse qu'il avait ajoutée à son récit. Shizuku doit en effet d'abord trouver un moyen de vaincre l'aversion du nouvel employé du département vin des Bières Taiyo. Pour cela, il se rend dans la maison de campagne de son père afin de retrouver les origines de son goût pour le vin. En retournant sur les traces de son enfance, il réveille des souvenirs enfouis qui le rapprochent un peu plus de son père et qui lui permettent de comprendre l'enjeu de l'héritage.

Cette partie émouvante sur un lieu de l'enfance de Shizuku est suivie d'une nouvelle histoire d'amour qui aborde le sujet du métissage et du mélange des cultures à travers la métaphore du mélange de cépages. Avant d'aborder le troisième apôtre lors du tome suivant, Shizuku fait le deuil d'un collègue décédé via une bouteille de vin.

Un bon tome!

Ce tome 9 est un peu décevant car nous n'avons toujours pas la présentation du prochaine apôtres.
La seule avancée notable est que Shizuku arrive à rentrer dans une des caves à vin de son père et découvre que celui-ci à annoté chaque bouteille, ce qui fait remonter des souvenirs d'enfance.

J'aime beaucoup cette série, mais j'avoue qu'au neuvième tome, le 3e apôtre n'est toujours pas annoncé. Alors ça traine en longueur. C'est dommage, car le concept est original.
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