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EAN : 9791026814696
80 pages
Urban Comics Editions (07/09/2018)
3.96/5   24 notes
Résumé :
Voici l'histoire d'une idylle qui a traversé les siècles et les dimensions : la rencontre et la romance entre le plus grand détective du monde et la plus redoutable des criminelles.
Le justicier et la voleuse ont joué pendant des années un jeu du chat et de la souris en attendant de pouvoir enfin s'avouer leurs sentiments l'un pour l'autre. Voici la plus grande histoire d'amour jamais contée. Voici la ballade sauvage de Batman et de Catwoman.
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
La quatrième de couverture ne se mouche pas du coude – en même temps, t'as déjà vu une quatrième avec des coudes ? – pour annoncer rien moins que “l'histoire d'une idylle qui a traversé les siècles et les dimensions : la rencontre et la romance entre le plus grand détective du monde et la plus redoutable des criminelles. (…) Voici la plus grande histoire d'amour jamais contée. Voici la ballade sauvage de Batman et de Catwoman”. Ne manque que le poum-poum de New York Unité spéciale. Et je te passe la suite de la présentation du produit qui redéfinit la notion de dithyrambe et ferait passer le Panégyrique de Trajan pour un laïus tiédasse et nuancé.
Le Wedding Album des tourtereaux gothamiens avait lui aussi été annoncé à grands renforts de superlatifs, pour un résultat certes très beau mais aussi très frustrant sur un plan narratif.
Et pourtant, sur ce coup, l'émule de Pline le Jeune qui a rédigé ce monument hyperbolique dit vrai. À la vie, à la mort est bien LE récit de la romance entre Batman et Catwoman. S'il n'y en a qu'un à retenir, c'est celui-ci.


Avant d'entrer dans le vif du sujet, petit aparté… À la vie, à la mort comporte un second récit à la suite de la love story des BatCat. Il s'agit d'un cross-over entre l'univers de Batman et celui… des Looney Tunes. Improbable croisement des effluves qui voit le Dark Knight croiser Elmer Fudd le chasseur et Bugs Bunny, dans une ambiance de polar et de roman noir des années 50. C'est excellent, rien à redire sur l'histoire comme sur le dessin, à la fois dans le sujet (une histoire d'amour qui a mal tourné) et très éloigné (pas de Catwoman). Donc une deuxième partie dont le lien tient surtout aux auteurs (Tom King au scénario et Lee Weeks au dessin) et dont la présence sert à étoffer l'album pour justifier son prix.
Maintenant qu'on a évacué la brebis égarée, revenons-en à nos moutons.


Premier bon point de cet album, il s'agit d'un one-shot (the sheriff). Un livre, un seul, rien qui t'obligera à vendre un rein pour financer l'achat d'une interminable série fricophage. En plus, les one-shots, c'est bien, parce que ça oblige l'auteur à raconter son histoire en allant droit au but, sans se perdre en route.
Deuxième bon point, n'importe qui peut se lancer dans la lecture d'À la vie, à la mort. Pas besoin d'être un lecteur assidu de comics, ni de s'être tapé les intégrales du chevalier noir et de la chatte qui fouette des origines à nos jours, ni de connaître sur le bout des doigts l'univers DC et son cortège de reboot-relaunch-reload-renaissance-remake-retruc-remachin. Dès lors que tu sais que Batman, c'est le mec avec les ailes de chauve-souris, et que Catwoman, c'est la nana avec les oreilles de chat, c'est bon, ça suffit comme base de connaissances pour entrer dans le bouquin. À la vie, à la mort se veut une synthèse de la relation entre Batman et Catwoman, dont Tom King rend la quintessence à travers l'ensemble du DC Universe.


En moins de cinquante pages, l'histoire de King balaie son sujet, avec certes beaucoup d'ellipses, mais en se focalisant sur les points clés de ce jeu du chat et de la souris, au propre comme au figuré. Première rencontre aux contours flous, premier rapprochement, premier baiser, le tout autour des différences et similitudes entre les deux personnages. Comme n'importe quel couple. Les super-héros de la banalité, en quelque sorte. Mais une banalité pleine de panache, parce que bon, c'est pas tous les jours que tu te fais faucher la Batmobile par ta future copine…
Là se trouve le gros point fort de cette histoire : les personnages n'ont rien de super-héroïque ici, ils sont avant tout humains. À la vie, à la mort raconte moins l'histoire de Batman et Catwoman que celle de Bruce Wayne et Selina Kyle cachés sous leurs masques respectifs. Beaucoup de drames évoqués, d'émotions, d'humour aussi… Bien plus intéressant et profond qu'un kéké volant en slip rouge qui crame des trucs avec ses yeux laser (coucou, Superman).


Une belle histoire d'amour, pleine d'une passion romantique qui ne brûle pas tout sur son passage, à commencer par les deux intéressés. Pendant que Roméo et Juliette crèvent comme des débiles incapables de mener leurs sentiments ailleurs que droit dans le mur, Batman et Catwoman proposent une relation pas moins dénuée d'emphase mais autrement plus constructive. Dans les dialogues d'À la vie, à la mort – qui vont, comme toujours chez King, à l'économie – le verbe “aider” est celui qui revient le plus souvent. Si le nom de Batman est inscrit en gros sur la couverture, rendons à Césarine ce qui lui revient : Catwoman est la source de tout. Avec à la clé, pour l'un comme pour l'autre, la rédemption de la douleur et de la solitude et la possibilité de raccrocher les gants et le masque pour profiter un peu de la vie. En prime, une belle fin pour Bat et Cat, très émouvante, loin de la grandiloquence pompière des héros qui se sacrifient pour sauver le monde.
Lien : https://unkapart.fr/batman-a..
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La quatrième de couverture ne se mouche pas du coude – en même temps, t'as déjà vu une quatrième avec des coudes ? – pour annoncer rien moins que “l'histoire d'une idylle qui a traversé les siècles et les dimensions : la rencontre et la romance entre le plus grand détective du monde et la plus redoutable des criminelles. (…) Voici la plus grande histoire d'amour jamais contée. Voici la ballade sauvage de Batman et de Catwoman”. Ne manque que le poum-poum de New York Unité spéciale. Et je te passe la suite de la présentation du produit qui redéfinit la notion de dithyrambe et ferait passer le Panégyrique de Trajan pour un laïus tiédasse et nuancé.
Le Wedding Album des tourtereaux gothamiens avait lui aussi été annoncé à grands renforts de superlatifs, pour un résultat certes très beau mais aussi très frustrant sur un plan narratif.
Et pourtant, sur ce coup, l'émule de Pline le Jeune qui a rédigé ce monument hyperbolique dit vrai. À la vie, à la mort est bien LE récit de la romance entre Batman et Catwoman. S'il n'y en a qu'un à retenir, c'est celui-ci.


Premier bon point de cet album, il s'agit d'un one-shot (the sheriff). Un livre, un seul, rien qui t'obligera à vendre un rein pour financer l'achat d'une interminable série fricophage. En plus, les one-shots, c'est bien, parce que ça oblige l'auteur à raconter son histoire en allant droit au but, sans se perdre en route.
Deuxième bon point, n'importe qui peut se lancer dans la lecture d'À la vie, à la mort. Pas besoin d'être un lecteur assidu de comics, ni de s'être tapé les intégrales du chevalier noir et de la chatte qui fouette des origines à nos jours, ni de connaître sur le bout des doigts l'univers DC et son cortège de reboot-relaunch-reload-renaissance-remake-retruc-remachin. Dès lors que tu sais que Batman, c'est le mec avec les ailes de chauve-souris, et que Catwoman, c'est la nana avec les oreilles de chat, c'est bon, ça suffit comme base de connaissances pour entrer dans le bouquin. À la vie, à la mort se veut une synthèse de la relation entre Batman et Catwoman, dont Tom King rend la quintessence à travers l'ensemble du DC Universe.


En moins de cinquante pages, l'histoire de King balaie son sujet, avec certes beaucoup d'ellipses, mais en se focalisant sur les points clés de ce jeu du chat et de la souris, au propre comme au figuré. Première rencontre aux contours flous, premier rapprochement, premier baiser, le tout autour des différences et similitudes entre les deux personnages. Comme n'importe quel couple. Les super-héros de la banalité, en quelque sorte. Mais une banalité pleine de panache, parce que bon, c'est pas tous les jours que tu te fais faucher la Batmobile par ta future copine…
Là se trouve le gros point fort de cette histoire : les personnages n'ont rien de super-héroïque ici, ils sont avant tout humains. À la vie, à la mort raconte moins l'histoire de Batman et Catwoman que celle de Bruce Wayne et Selina Kyle cachés sous leurs masques respectifs. Beaucoup de drames évoqués, d'émotions, d'humour aussi… Bien plus intéressant et profond qu'un kéké volant en slip rouge qui crame des trucs avec ses yeux laser (coucou, Superman).


Une belle histoire d'amour, pleine d'une passion romantique qui ne brûle pas tout sur son passage, à commencer par les deux intéressés. Pendant que Roméo et Juliette crèvent comme des débiles incapables de mener leurs sentiments ailleurs que droit dans le mur, Batman et Catwoman proposent une relation pas moins dénuée d'emphase mais autrement plus constructive. Dans les dialogues d'À la vie, à la mort – qui vont, comme toujours chez King, à l'économie – le verbe “aider” est celui qui revient le plus souvent. Si le nom de Batman est inscrit en gros sur la couverture, rendons à Césarine ce qui lui revient : Catwoman est la source de tout. Avec à la clé, pour l'un comme pour l'autre, la rédemption de la douleur et de la solitude et la possibilité de raccrocher les gants et le masque pour profiter un peu de la vie. En prime, une belle fin pour Bat et Cat, très émouvante, loin de la grandiloquence pompière des héros qui se sacrifient pour sauver le monde.
Lien : https://unkapart.fr/batman-a..
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Ce court album contient une page explicative du projet qui inclut le Batman annual (épisode one-shot publié en fin d'année) sur la relation Batman/Catwoman et un épisode spécial crossover improbable entre Batman et les Looney Toons (!). La couverture, magnifique, est signée Olivier Coipel. Rien de particulier, ça reste un peu cher pour une petite pagination (on pourra me rétorquer que ce sont plutôt les gros volumes Urban qui sont peu chers...).

Pour être tout a fait clair, comme beaucoup j'ai été attiré par la sublime illustration d'Olivier Coipel et sur la thématique de Catwoman. J'avais juré que l'on ne reprendrait plus à acheter un comic sur la base de sa couverture... Si bien entendu la démarche est fort malhonnête commerciale, on ne peut pourtant pas dire qu'il y ait arnaque: les deux illustrateurs à l'oeuvre font un boulot super pro, très esthétique, proposant quelques très belles visions, sur des scénarii aux petits oignons. Si c'est l'histoire d'amour qui m'a tenté, c'est l'improbable version des Looney Toons en mode polar noir qui a recueilli le plus mon attention. En effet la première histoire, malgré une réalisation irréprochable, laisse un air de déjà-vu et l'on se réveille surtout sur les dernières planches nous montrant les vieux jours de Bat & Cat. C'est touchant et ressemble à un elseworld (concept que je préfère chez les super-héros). Sur un si court projet on aurait du coup apprécié d'avoir un cador de l'industrie, même si encore une fois les dessins de cet album sont plus qu'honnêtes. Pour les amateurs de la féline je vous conseille plutôt de vous tourner vers le Catwoman à Rome de Loeb et Sale, toujours indisponible en neuf (merci Pannini) mais trouvable à prix correcte en occasion.

Est-ce la surprise ou le traitement, toujours est-il que l'idée de voir les Looney Toons dans une histoire de Batman, après l'incrédulité, laisse place à une très grosse envie quand on voit le travail de transposition de ces personnages de dessin-animés passés dans l'imaginaire collectif occidental à un univers réaliste de Batman en mode policier sombre et pluvieux... Rassurez-vous, Bugs-Bunny n'est plus un lapin non plus que Titi ou le Coyotte ne sont des animaux. On a une intrigue à la Sin city - femme fatale et amant vengeur - où Elmer est un tueur venu assassiner Bugs le truand aux dents de lapin dans le bouge Chez Porky... Les deux auteurs ont du se régaler à imaginer les versions humaines de ces personnages et le plus fort c'est que c'est tellement crédible que cela nous donne envie de voir un jour une adaptation au cinéma de cet univers (dans un film pour adulte bien sur).

L'impression générale reste donc mitigée entre une réalisation objectivement sans faille pour deux projets manquant d'ambition et un montage éditorial un peu forcé. On pourra porter à la défense de l'éditeur que la culture de la BD reliée qui domine en France  impose certaines aberrations... ce à quoi on rétorquera que des histoires de ce genre peuvent soit être offertes dans des packs spéciaux avec un autre album (en fin d'année?) soit vendues exclusivement en format kiosk, le format relié n'apportant rien et étant plus cher. Cet album est plutôt pour les amateurs de curiosités ou pour les fans hard-core et reste assez mineur dans la biographie du Chevalier noir.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Attention : Si vous ne devez ouvrir qu'un Batman en cette rentrée emplie de parution, allez chercher celui-ci.

On y trouve un Bruce Wayne malade, souffrant, en fin de course. Il vit avec une vieille Selina et tous deux affrontent un nouveau danger : la maladie, la peur de la solitude et la perte de l'être aimé.
Un opus particulier, et au combien exceptionnel pour lequel on s'aperçoit qu'il ne pourrait au final n'y avoir qu'un gagnant.

La seconde histoire est bien moins sombre et remet en lumière une très très vieille petite amie de Bruce. Une fois costumé, ce dernier se plongera dans une parodie savoureuse de l'univers Warner Bros pour retrouver ce qu'il advint de son premier amour.

A lire posé, avec votre compagnon ou votre compagne à vos côtés.
Normalement, en fin de lecture, vous devriez voir votre regard se perdre pour caresser la personne qui partage votre vie.
Une jolie réussite.
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"Batman à la Vie à la Mort" de Tom King, Lee Weeks et Michael Lark chez @UrbanComics

Synopsis :

"Voici l'histoire d'une idylle qui a traversé les siècles et les dimensions : la rencontre et la romance entre le plus grand détective du monde et la plus redoutable des criminelles. le justicier et la voleuse ont joué pendant des années un jeu du chat et de la souris en attendant de pouvoir enfin s'avouer leurs sentiments l'un pour l'autre. Voici la plus grande histoire d'amour jamais contée. Voici la ballade sauvage de Batman et de Catwoman."

Un peu de romance et d'amour dans ce monde de brut avec ce run de Tom King sur l'idylle au cours des ans entre #Batman et #Catwoman. Où comment trouver la meilleure des définitions du jeu : jouer au chat et à la chauve-souris. Nous retrouvons donc nos deux tourtereaux dans une course poursuite où notre chère voleuse asticote notre justicier pour son plus grand plaisir mais également pour lui faire passer un message. Cette histoire se dévoile sur différentes époques et nous montre leur destin.

Qu'est-ce que j'en pense de ce tome ? :

L'histoire que nous narre ce #comics est sympathique et nous fait voir ce que tout le monde souhaite et veut, que #Batman bécote #Catwoman. C'est chose faite et c'est d'autant plus intéressant que nous voyons évoluer cette relation au présent et au futur. On voit même un #BruceWayne vieux entouré de toute sa famille et cette vision augure des meilleures auspices. Cette histoire n'apporte pas forcement quelque chose de fondamentale dans l'histoire de #Batman mais c'est une parenthèse forte agréable dans le sacerdoce de notre héros.

Le seul bémol de cet ouvrage est l'histoire qui suit celle sur l'idylle et qui on se demande ce qu'elle vient faire là et gâche un peu tout ça au final. J'aurais préférer avoir une histoire plus longue sur nos deux amoureux. Mais bon je fais avec.

Note : 12/20.

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critiques presse (1)
ActuaBD
08 octobre 2018
Tom King nous livre une œuvre à la fois poétique, mélancolique et sombre en profondeur. Une romance qui tend à rapprocher plus que jamais {le Chevalier noir} et {Catwoman} dans une intrigue des plus émouvantes.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
— Pourquoi t'habilles-tu en chauve-souris ?
— Pourquoi t'habilles-tu en chat ?
— J'aime les chats. Tout le monde les aime. Ils sont... adorables. Qui aime les chauves-souris ?
— Personne. C'est dangereux d'incarner une créature adorable.
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— Pourquoi t'habilles-tu en chauve-souris ?
— Pourquoi t'habilles-tu en chat ?
— J'aime les chats. Tout le monde les aime. Ils sont... adorables. Qui aime les chauves-souris ?
— Personne.
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"You'll miss my hugging, you'll miss my kisses; you'll miss me honey, when you go away."
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Vidéo de Tom King
Lors du FIBD d'Angoulême, nous avons eu l'opportunité d'échanger avec Stevan Subic, dessinateur serbe du comics The Riddler Year One paru chez Urban comics et scénarisé par Paul Dano qui interprète le personnage dans le film The Batman de Matt Reaves. Ce fut l'occasion de lui poser des question sur la réalisation de ce projet, ses techniques de travails et ses projets futur (notamment avec le scénariste Tom King)
La chronique de l'ouvrage est à retrouver sur notre site au lien suivant : https://www.planetebd.com/comics/urban-comics/the-riddler/annee-un/53761.html#serie
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