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William Olivier Desmond (Traducteur)
EAN : 9782226182357
327 pages
Albin Michel (30/11/-1)
3.72/5   538 notes
Résumé :
Colosse au cerveau ramolli par les raclées paternelles, Clay Blaisdell, dit Blaze, enchaîne les casses miteux. Son meilleur pote, George, lui, est un vrai pro, avec un plan d'enfer pour gagner des millions de dollars : kidnapper le dernier né des Gerard, riches à crever. Le seul problème, c'est qu'avant de commettre le "crime du siècle", George s'est fait descendre. Mort. Enfin, peut-être...

Un suspense mené en quatrième vitesse, un vrai roman noir qu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (91) Voir plus Ajouter une critique
3,72

sur 538 notes
« Blaze plia ce sourire, le rangea dans un coin et le conserva des années».

JE SUIS,, touchée par ce personnage.

Parce-que ce genre de sourire, les « vrais », il n'en a pas connu beaucoup.
Oublié d'un père qui lui a volé sa vie en lui ôtant ses facultés d'un lancé.
Utilisé des autres sans être aimé ni accepté pour autant.
Rien de joli dans sa vie, mais celui-ci n'a jamais été mauvais.

Titre accrocheur pour un Roman court, dont le sujet est poignant.
Originale, grave, touchant par moment, et stressant à d'autre,...
Investissez-vous dans cette lecture, et laissez-vous porter.

L'histoire de Blaze, est une aventure partagée avec un beau bébé de six mois. Celui-la même qui a été kidnappé au sein d'une famille riche dans l'espoir, (pour son kidnappeur), d'obtenir une rançon qui lui permettrait de couler des jours heureux. Ce plan il ne l'a pas conçu, il n'est pas assez intelligent pour cela. Pas depuis l'incident de son enfance. Mais son défunt ami, lui, avait déjà tout planifié: ne restait qu'à suivre le plan.

Sauf que Blaze... il oublit toujours des détails, des petites choses.

Cependant, coups de chance ou coups d(LG)u sort, il parvient à enlever le petit. Et ainsi commence pour le lecteur, la montée d'adrénaline. Car s'il n'a pas une once de méchanceté en lui, il est à peine responsable de lui-même et le voila en charge d'un bébé! Un bambin qui sera, bien souvent livré à lui-même, et qui bien malheureusement: devra parfois en subir les conséquences.

J'ai été touchée premièrement par l'enfance de Blaze, et l'accident fatal qui lui a coûté, à mes yeux, toute sa personnalité. Je n'arrêtais pas de me repasser cette scène, le coeur serré des conséquences connues. Un petit garçon qui autrefois s'intéressait à la lecture, ouvert à la vie, intelligent qui a eu le malheur de grandir aux cotés des mauvaises personnes. Et de perdre une partie de lui.

Secundo, ce roman donne beaucoup de montées de stress quand à l'avenir du nourrisson. Il m'est arrivée de cesser de respirer, les yeux suivants les lignes, en attente du dénouement. Ce serait comme confier la responsabilité d'un bébé à un enfant de 8- 9 ans. Rendez-vous compte...

J'aurais adoré quelque passages supplémentaires entre Blaze et le petit. Des moments de qualité et non de pure pratique sur « comment changer un lange », ou « comment chauffer un biberon ». Toutefois, le roman reste assez complet. Un garçon parfait m'a dit qu'en réalité, ce roman, est le premier écrit par King, avant Carrie et je peux vous assurer qu'il ne contient aucune lourdeur.

Je le recommande.

Bonne lecture

LG
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Quand t'es bercé du mauvais coté du mur, c'est pas bon pour tes neurones, pourtant, Blaze t'étais un beau bébé, plus de 4 kilos à ta naissance et, au début de ta scolarité t'étais plutôt doué.
Mais ton papa t'as trop cogné, beaucoup trop cogné, alors maintenant, t'es un vrai colosse mais aussi un vrai crétin avec un gros trou au milieu du front.
On te comprends,Blaze, la vie t'as pas gaté, les orphelinats et les maisons de correction, on fait mieux comme précepteur. T'as eu un premier pote gringalet et souffreteux mais futé: vous étiez bien complémentaire; ton pote, il aurait eu besoin du beau decolleté d'une belle infirmière dans un bel hosto au lieu des coups de fouets d'un directeur frustré et il est mort... trop vite.
Alors, t'as continué comme t'as pu: t'as un peu cogné, t'as un peu volé, t'as fait un peu de taule puis t'as rencontré Georges. Lui, il était vraiment pas con, il en a monté des combines que t'éxécutais sans tout comprendre et vous en avez ramassez du blé. Et puis Georges a eu une superbe idée : kidnapper un bébé d'une famille de riche, c'est vrai que ç'est une chouette idéé: un bébé, il pourra pas te dénoncer aprés que t'auras pris la rançon.
Georges t'as tout explique et puis il s'est fait planté dans une partie de poker qui a mal tourné.
Enfin tu sais qu'il est mort mais tu le vois encore souvent dans ta baraque et il parle beaucoup dans ta tête ,ça t'aide pour rafler le bébé mais y'a quand même beaucoup de moment où t'es seul et tu sais plus comment faire , Blaze, et tu te retrouves vraiment dans la merde. T'es mal barré, Blaze, t'es vraiment mal barré.

Ce roman m'a été chaudement recommandé par Karine Giebel herself. A première vue , la ressemblance entre l'univers de ce roman noir mais désabusé, distancié, beaucoup plus proche de Thompson que du noir implacable et angoissant de notre romancière française n'est pas évidente. Mais la fatalité, les mauvaix choix, l'incapacité à prendre le "bon chemin" et l'ineclutabilité du destin les rapprochent.

Vraiment un très bon roman noir du "King"

Mais ce n'est que mon humble avis
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Après être passée à côté de son célèbre "Simetierre" et de "Docteur Sleep", j'avais promis au King que je lui redonnerais un jour une chance de me séduire, mais pas dans le genre épouvante. Avec "Blaze", d'abord publié sous le pseudonyme de Richard Bachman, l'écrivain du Maine a rempli sa mission et me réconcilie avec sa plume.

Pourtant, on aurait tout à craindre d'un thriller introduit par un avant-propos de l'auteur qui qualifie lui-même son roman de "fond de tiroir" ; à ces mots, mes craintes ont resurgi mais étant donné que pour une fois le roman de Stephen King que je tenais dans les mains n'était pas une brique, je me suis dit que si ennui et désintérêt devaient surgir, ma peine serait de courte durée.

Et c'est peut-être ce qui m'a d'ailleurs le plus séduite avec "Blaze", le rythme. Enlevé avec ce qu'il faut d'action, cadencé grâce à des chapitres courts et à une narration en deux dimensions temporelles, le rythme rapide et équilibré fait de "Blaze" un page-turner efficace.

Peu de personnages, une atmosphère de huis-clos en pleine tempête de neige, un personnage principal doux-dingue à la cervelle éméchée qui n'est pas sans rappeler "La ligne verte" ou encore, vingt niveaux au-dessus, "Des souris et des hommes" de Steinbeck, une intrigue simple autour d'un rapt de nourrisson, l'ensemble sauvegardé de tout renfort technologique puisque le roman a été écrit en 1973, tout ça contribue à faire de "Blaze" un très plaisant moment de suspense, pareil à un bon vieux film du genre.

Aucun regret de ce choix, lu (presque en simultané) avec Mamajojo.


Challenge USA
Challenge MULTI-DÉFIS 2019
Challenge XXème siècle - Edition 2019
Challenge ABC 2018 - 2019
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Blaze est un gentil géant,un peu, bon ok très simplet qui n'a jamais eu de chance dans la vie. Dès le départ le sort a semblé lui en vouloir en le laissant seul entre les pattes d'un père violent qui l'a rendu définitivement idiot à force de maltraitances. A partir de là Blaze n'a plus été qu'une sorte de pâte à modeler pétri par ses rencontres et par les institutions : orphelinat, maison de correction et prison.
Le parcours idéal pour mal tourner. Et ce qui devait arriver arriva. Flanqué d'un acolyte du nom de George, le cerveau de l'équipe, Blaze n'est plus qu'un exécutant qui ne réfléchi pas, qui ne se questionne pas et qui frappe quand on lui dit de frapper. Avec sa taille et son poids il semble fait pour ça. Personne ne semble voir autre chose.

Il vivote donc de petits boulots et de coups minables, mais les petits coups c'est fini, George a décidé de frapper fort en enlevant un gosse de riche, un bébé. Oui, mais voilà le hic c'est que George est mort, enfin un peu…

Ne reste donc que Blaze et l'ombre de George. Porté par cette présence rassurante Blaze décide de tenter le coup, mais Blaze reste Blaze et son idiotie ne se met jamais en pause.

Le King nous offre le portrait d'une âme innocente livrée aux mains de la société. Un Blaze abîmé, instrumentalisé, méprisé, jeté en pâture dans un monde où rien n'est facile pour lui. Entre réminiscences du passé et moments présent on découvre un personnage attachant et innocent. Quelqu'un qui est devenu ce qu'on a fait de lui sans jamais perdre pour autant sa vraie nature. Alors le lecteur s'attache à Blaze le regardant s'émerveiller devant le bébé qu'il a enlevé sans vraiment réussir à lui en vouloir.

Ce livre, c'est aussi une histoire haletante dont on attend le dénouement sur des chardons ardents. Un thriller social rondement mené qui pousse à la réflexion. du King quoi, même s'il veut nous faire croire que c'est juste un fond de tiroir.

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Cela faisait bien longtemps que je n'avais lu de Stephen King... bien longtemps et trop longtemps c'est certain.
Son talent ne fait aucun doute et ce livre est un pur produit "king". Soyons clair même si ce n'est pas son meilleur livre, c' est un bon livre tout de même. L'écriture clair, limpide rend la lecture légère. c'est parfait.
L'histoire est celle de Blaze un gars ni bon, ni mauvais, un gars qui n'a pas eu de chance dans la vie, vraiment pas de chance. et qui n'en aura jamais.
Stephen King a l'art de nous tenir en haleine sur plus de 300 pages avec peu de personnages, une intrigue simple et beaucoup de monologues. C'est talentueux , vraiment talentueux.
Bon allez j'entame maintenant "dôme" roman 1 et j'espère y retrouver tout ce j'aime dans l'écriture de S.king.
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Citations et extraits (60) Voir plus Ajouter une citation
« QUAND KING S'EN PREND AU HOLD UP ET AU KIDNAPPING, SA VISION »

Le suspense est très bien mené, comme dans des films d'actions ou policier. Ce livre – Blaze – (dont plus tard, je ferai une analyse des personnages) narre l'histoire d'un kidnapping d'enfant assez spécial. L'auteur nous donne beaucoup de caractéristiques du personnage principal. L'intrigue nous plonge dans un univers particulier, froid, glacial et plein de mystère. A lire pour les amateurs de Stephen King.

Le personnage principal, Blaze, doit kidnapper un bébé, sans son partenaire... Notons que le nom du héros fait penser à un valet car il est décrit comme étant « bête » mais intelligent. Tout au long du roman, le héros – et le kidnappeur – commet plusieurs erreurs car son passé est troublant, mais très intéressant. Je vous parle d'un valet car le nom rappelle celui de la pièce de théâtre Ruy Blas, « Blaze » étant peut-être une référence à V. Hugo. D'autre part, le nom rappelle un des protagonistes principaux dans la Folie des Grandeurs de Gérard Oury (1971) avec De Funès et Yves Montand (rôle de Blaze). Remarquons aussi que le héros doit tout à George étant donné que c'est lui qui a eu l'idée de monter le kidnapping, et qui est un des autres personnages principaux de l'histoire. Dans le roman, George et Blaze sont coéquipiers et l'un dit à l'autre ce qu'il doit faire. Rappelons que George peut être identifié au héros de La Folie des Grandeurs, Don Salluste, riche noble aimant à maltraiter son valet. Donc George et Blaze, du fait de leur complicité, rappellent les héros de la Folie des Grandeurs et l'auteur rend ainsi hommage à deux personnes importantes, l'une de la littérature, et l'autre du cinéma : Victor Hugo (pour sa pièce de théâtre Ruy Blas) et Gérard Oury (pour la Folie des Grandeurs). D'ailleurs, un des prénoms du bébé (le deuxième) est Gerard (référence inconsciente peut-être au cinéaste), le premier étant Joe ou Joseph.

Il est décrit comme un costaud, un « géant », un « colosse » aux allures douces, pas comme son acolyte, violent. L'auteur fait référence à plusieurs films dont la Ligne Verte (œuvre du même auteur), sauf que dans celle ci, il s'agit d'un géant aux allures douces et celui ci (La Ligne Verte) traite de la peine de mort tandis que dans « Blaze », le sujet diffère totalement - le kidnapping étant au cœur de cette histoire. Soulignons aussi que la taille du héros fait référence à Yves Montand, dans la Folie des Grandeurs.

Rappelons maintenant le prénom de son acolyte – George – mort lors d'une partie de dés, soupçonner d'avoir triché. Ce dernier fait référence au roman Des Souris et des Hommes de John Steinbeck. Notons que Blaze est l'ami de George, tout comme Lenny Small. La complicité du héros nous fait penser au héros du roman cité précédemment, tout comme son allure et son passé (bien que le passé de Lenny ne soit pas révélé). Tout au long de l'histoire, le héros se réfère à George pour lui demander conseil. Sa musculature et sa taille de « géant » nous font penser à deux acteurs : John Malkovich (Des Souris et des Hommes, 1991) et surtout à Michael Clarke Duncan (La Ligne Verte, 1999). Il faut savoir que le héros se nomme comme ceci car, en argot, le mot blaze up signifie s'énerver et il a un côté nerveux. Précisons que Blaze est le surnom du héros – son vrai nom étant Clay Blaisdell Jr – et que c'est pour cela qu'il nous fait penser à Ruy Blas. L'originalité du héros réside dans le fait qu'il est une référence à Lenny Small (sa taille, son âge mental d'un gamin d'une dizaine d'années...), et sa complicité avec George (conseils, ordres...) Nous voyons qu'il (George) est décrit comme un « loubard », du fait de son passé trouble, de son langage vulgaire (Ta gueule, Blaze... le mot « embrouille » et « branlette » revenant souvent dans le livre) et des années écopées en prison (organisation d'un « casse » lors de ses 13 ans...) Bien que le héros et son comparse soient en communication, le héros n'est pas toujours d'accord avec lui (ce qui lui fait faire de multiples erreurs).

Comme je vous l'ai dit précédemment, George est pourtant mort, ce qui n'empêche pas à Blaze de communiquer avec lui. On voit une référence historique – celle de Jeanne d'Arc, qui crut entendre la voix de Dieu et qui fut brûlée car on la croyait sorcière – son plan va se retourner contre lui. Donc nous voyons que Blaze a besoin, non seulement des conseils de son acolyte pour l'aider à s'en sortir, mais d'une présence externe. Sans George, Blaze n'existe pas. Parfois, on vient à se demander si notre héros n'a pas un double (George) qu'il refuse d'écouter. Néanmoins, il est très intelligent, malgré qu'il se fasse prendre, étant donné son comportement doux. Il réussit à kidnapper le bébé mais n'arrive pas (et ne veut pas) lui faire du mal car il a été dans des familles d'accueil (chez les Bowie) et en maison de redressement (Hetton House). Au fond, le bébé ne souligne-t-il pas l'enfant voulu ? Est-ce pour cette raison que Blaze refuse d'obéir à son double et qu'il ne fait pas de mal au bébé ? Nous percevons ironiquement une morale de J. De la Fontaine, le Lion et le Rat, nous avons toujours besoin d'un plus petit que soi. Parmi ce célèbre dicton, on trouve aussi la nuit porte conseil. Durant tout le roman, on a cette sensation qu'une voix intérieure – celle du héros ou de son double ou même de l'auteur ? - nous dit de continuer car on ne sait jamais ce qui peut arriver,...

Parlons un peu de la première de couverture. Elle représente la nuit et à l'extérieur, sur le devant d'une voiture (probablement volée), est inscrit le surnom du héros, en bleu, tracé avec des doigts sans doute pour nous mettre dans cette atmosphère mystérieuse. Nous voyons aussi une main sur le devant de la voiture – probablement celle du héros. Soulignons que le noir est une couleur relevant du mystère – parlant souvent de meurtres ou de mort – et que le bleu est une couleur froide – pour nous attirer dans cette ambiance glaciale – qu'est le livre. La couleur bleue a longtemps été prise pour représenter des saints, des martyres ou des rois (dans les églises, la couleur revenant le plus souvent est le bleu). Cela signifierait donc que Blaze a été martyrisé durant sa jeunesse mouvementée et qu'il est considéré comme le martyre de George. Est-ce à dire que Blaze se prendrait pour un personnage historique important genre Saint-Louis ou le Christ ? Ce roman vous surprendra et avec Stephen King, vous n'êtes jamais au bout de vos surprises,...

Je vous ai parlé de George – le double, en quelque sorte – de Blaze. Notons que S. King a signé son roman Richard Bachman (Stephen King alias Richard Bachman). Ne serait-ce pas le « double » de l'auteur qui aurait écrit le roman ? Ou R. Bachman ne se confondrait-il pas avec le personnage de George étant donné qu'il est le compère de Blaze et son double – et donc le double de S. King ?

Bref, un suspense mené en quatrième vitesse dont le style fait penser à James Cain ou à Jim Thompson. Le duo King/Bachman est très réussi. Si vous aimez les romans de kidnapping, lisez ce roman qui vous plongera dans une ambiance glaciale, mystérieuse et sans fin... Un conseil : lisez le jusqu'à la fin...
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"Certains jours, au printemps, il regardait le ciel et voyait un oiseau, ce qui pouvait le rendre heureux, mais tout aussi souvent il avait l’impression de quelque chose en lui qui devenait tout petit, prêt à se briser."
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« George était une création de son esprit travaillant à un rythme frénétique dément sous la couche court-circuitée de sa stupidité. Pendant des années, il s’était considéré comme un crétin, il était venu à l’accepter en tant qu’élément de sa vie […] Il y avait cependant quelque chose qui continuait à fonctionner sous la couche court-circuitée […] La partie de lui qui n’oubliait rien. Chaque blessure, chaque cruauté, chaque mauvais coup que le monde lui avait réservé. »
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Intro de l'auteur :

Cher fidèle lecteur; Ce bouquin est un fond de tiroir-d'accord. Je tiens à ce que vous le sachiez tant que vous avez encore votre ticket de caisse et avant que vous le salopiez avec un truc comme de la sauce ou de la crème glacée, ce qui rendrait difficile, voire impossible, de le restituer. [...] En disant ceci, je suppose que vous êtes comme moi et que vous vous mettez rarement à table - même pour un simple casse-croûte - sans le livre que vous avez en cours à portée de la main.
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La stupidité était une prison d'où on ne vous laissait jamais sortir, pas de remise de peine pour bonne conduite. C'était la perpète.
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