Dolores Claiborne

J'ai eu énormément de mal à finir cette lecture, je n'ai à aucun moment éprouvé de l'empathie ou de la compassion pour le personnage de Dolores. Et comme c'est sa narration tout au long de ce livre cela a été difficile de poursuivre mon avancée.

Je m'étais pourtant dis que ce registre de Stephen King allait plus me plaire car il est question de découvrir qui a tuer la patronne de Dolores alors certes celle-ci avait des névroses (il faut faire sécher les draps avec 6 pinces à linge et pas 4, il faut laver la baignoire avec tel produit et pas un autre, il faut mettre le paillasson ainsi) mais cela n'est pas une raison pour la tuer. le personnel à défilé à son service et peu de gens ont supporte celle-ci à part Dolores.

Dolores commence son récit donc dans un commissariat de police et tout au long nous allons suivre son monologue racontant sa vie passée, ses enfants, son mari, le meurtre de celui-ci.

Mais rien de mon côté toujours pas d'attachement pour Dolores, même à la fin du livre il y a une révélation concernant un des personnages mais cela ne m'a fait ni chaud ni froid.

Je vais persévérer dans ma lecture de Stephen King voir si je trouve au moins un coup de coeur.

Une fois n'est pas coutume : je n'ai pas trop aimé ce livre. M. King m'a pourtant toujours fait frissonner, j'ai chaque fois apprécié ses romans. Mais ici, pas vraiment !
Le début, pourtant, me promettait une agréable lecture. le récit de Dolores Claiborne racontant sa vie dure et pénible auprès d'un mari violent et au service d'une patronne méchante et sans coeur était assez captivant. Mais après une centaine de pages, je me suis lassée. Je n'ai pas eu envie de continuer à lire.
Ce livre est construit d'une façon très monotone. C'est Dolores qui raconte sur un ton dur, grossier, avec un franc parler sans limite. Il n'y a pas de chapitre. Ca paraît très long. La surprise de ce franc parler du début m'a amusé puis m'a lassé.
Bref, je n'ai pas trop aimé.

pas aimé