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sur 2225 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une journée d'octobre apparemment comme les autres, Dale Barbara, dit Barbie, quitte Chester Mill suite à une discussion du genre musclée avec une bande de jeunes de la ville. Mais ce 21 octobre n'est pas un jour ordinaire. Arrivé aux limites de la ville, Barbie est stoppé par un phénomène étrange, une sorte de muraille invisible qui empêche tout passage dans un sens comme dans l'autre. Chester Mill est coupée du monde par un dôme infranchissable! A l'extérieur, l'armée investit les lieux et tente de détruire le champ de force. A l'intérieur, c'est le choc, l'incrédulité, la frayeur, les questions mais aussi l'espoir d'une libération imminente. Pourtant les jours passent et le dôme reste en place, pour la plus grande joie de Jim Rennie, deuxième conseiller de la ville, qui voit là une occasion en or de prendre le pouvoir et de soumettre ses concitoyens à sa volonté. Avec la police dans sa poche, sa poigne de fer et ses moyens de pression divers et variés, Big Jim instaure ses lois et ne recule devant rien pour arriver à ses fins. Manipulés ou terrorisés, les habitants évitent la confrontation avec le maître de la ville. Barbie a beau avoir, et le soutien du président en personne, et un petit groupe d'opposants à Rennie prêts à l'aider, il hésite à contrer un adversaire retors et puissant que plus rien n'arrête.


Dès les premières pages, le décor est planté, le dôme tombe sur la ville entraînant son lot d'accidents et de morts atroces. On se dit que Stephen KING a repris du poil de la bête et qu'il nous a concocté un de ces page-turner dont il a le secret. Mais la première surprise passée, le rythme s'essouffle un peu. Bien sûr, on a envie de savoir d'où vient ce dôme. Est-ce une expérience militaire qui a mal tourné? Une étude scientifique à grande échelle? Une intervention extra-terrestre? Une attaque terroriste? Autre chose? Bien sûr, on fait la connaissance des habitants de la ville et on brûle de savoir ce qui va advenir d'eux. Mais...mais finalement, on se lasse des méchants trop méchants et des gentils trop naïfs. Parfois on aime détester les méchants mais là! Que dire de Big Jim? Gros, laid, raciste, vénal, fou, dangereux et pire que tout : grand défenseur de la foi et de l'église! Et ce n'est rien à côté de son fils Junior qui dépasse le maître dans sa folie et son abjection. En comparaison, Dale Barbara, pourtant vétéran de la guerre en Irak, passe pour un agneau nouveau-né et on sait d'avance qu'il n'a aucune chance face aux manoeuvres de son adversaire. Et ses alliés ne valent guère mieux, pauvres innocents prêts à se jeter dans la gueule du loup les yeux fermés. On l'aura compris, KING ne fait pas dans la nuance et finalement ne réussit pas à nous attacher ses personnages. Pourtant, à condition de se ménager des pauses respiratoires, on se laisse facilement entraîné dans l'histoire. KING sait mieux que nul autre décrire ses petites villes de l'Amérique profonde où chacun est armé, où pour peu qu'il soit suffisamment riche et convaincant un homme peut mener son monde à la baguette en arguant qu'il agit pour le bien de tous.
On s'attend à une suite dans la même veine mais on se prend à espérer qu'au moins le fin mot au sujet du dôme soit original et brillant....A suivre.
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Ta , ta , ta , le King nouveau est arrivé et tel le beaujolais , l'on se demande a chaque fois si le cru est digne d'un grand millésime...ou d'une triste pîquette...

Chester's Mill , etat du Maine , comme de bien entendu , se voit soudainement frappé de l'isolement le plus complet qui soit ! L'apparition aussi soudaine qu' inexpliquée d'un dome invisible place desormais cette petite bourgade en quarantaine ! Personne n'y rentre , personne n'en sort ! Plutot alléchant le scénar !

Ce qui destabilise quelque peu au début , c'est le foisonnement de personnages et meme si l'auteur en fait immédiatement la présentation exhaustive , mieux vaut éviter de se lancer dans l'aventure un lendemain de cuite ! Plus d'une soixantaine au bas mot ( chiens inclus..) , alzheimer s'abstenir !

L'avis sur ce premier opus ( choix editorial et vénal visiblement assumé par l'éditeur ! Deux tomes a plus de 20 euros piece et l'on se demande encore pourquoi la littérature en rebute plus d'un...sic..) est plutot partagé! Ni déçu mais pas non plus enthousiaste au point de realiser des double salto arriere avec reception en grand ecart facial comme j'ai pu le faire par le passé . Une bonne entrée en matiere précurseur d'un final digne de ce nom, ce que j'espere tout du moins car meme si ce premier set est prometteur (apparition du dome , morts en cascade , questionnement de la foule ébaubie-dallaaaaas- montée en puissance de Rénnie et de sa mégalomanie galopante) , le rythme est plutot lent , voire pepere...

Chester's Mill devient desormais un Etat en l'Etat et va pouvoir , par le biais de certains personnages avides de pouvoir et se révélant au grand jour , instaurer ses propres regles , ses propres lois . L'interet personnel prenant evidemment le pas sur l'interet general . L'accession au pouvoir et la maniere d'y arriver n'est pas sans rappeler celle d'un triste sire teuton , comparaison visiblement assumée par l'auteur .

Le gros point noir de ce premier volume , c'est un manichéisme a tous crins . Les personnages , pourtant nombreux , sont noirs ou blancs , bons ou méchants : pas d'autre alternative ! Beaucoup trop lisses a mon gout . Sans véritables failles ni blessures qui les rendraient beaucoup plus interessants du coup. Pas de passager noir a l'horizon comme le dirait ce cher Dexter !
Du coté des gentils qui font tout qu'est ce qui peuvent pour surnager mais c'est pas facile , il y a :
- Dale Barbara , ancien militaire et neo vagabond se rendant de ville en ville et vivotant de petits boulots (toute ressemblance avec un certain Rambo n'est peut-etre pas fortuite..) .
-Julia Shumway , journaliste integre n'hesitant pas a dire ouvertement ce que beaucoup pensent tout bas et s'attirant de ce fait bon nombre d'inimitiés .
Auxquels viennent s'ajouter une pleiade de seconds roles avides de droit et de justice...Là , normalement , on ne devrait pas tarder à entendre The Star-Spangled Banner , la main droite sur le coeur , le regard fierement planté dans le ciel azuré...
Du coté des méchants qui font tout qu'est ce qui peuvent pour entuber les gens et qui y arrivent plutot bien , il y a :
- le seul , l'unique , l'inimitable Jim Rennie , vendeur de voitures d'occases mais surtout deuxieme conseiller qui va saisir l'opportunité de controler ouvertement la ville et ses habitants par le biais de manoeuvres toutes plus retorses les unes que les autres . Et il faut reconnaitre qu'il a de l'imagination dans le domaine le bougre ! C'est le bad guy typique qu'on aime hair d'entrée de jeu , grassouillet a souhait ( bon , au pays de Ronald Mc Donald , rien d'étonnant ) , menteur , manipulateur , raciste ...voilà pour les qualités...
Auxquels viennent s'ajouter une pleiade de seconds roles avides de pouvoirs et d'injustice...Ou tout simplement naifs et manipulés ,ce qui est peut-etre pire..

Ce bouquin s'articule donc autour de ces deux axes habilement liés : le pourquoi de ce dome et les moyens de l'eradiquer puis la tentative de main mise sur la ville desormais facilitée par cette nouvelle donne géographique -occasionnant forcément une résistance de la part de ceux et celles qui s'elevent contre ce qui apparait clairement comme etant une tentative de putsch . A noter que quelques épisodes sanglants et sordides viennent heureusement pimenter de temps à autre ce récit somme toute tranquille . Il s'agit quand meme du King mais les ressorts de cette histoire sont , pour le moment , beaucoup plus psychologiques que fantastiques d'ou une relative déception...

C'est donc un peu frustré mais rempli d'espoir que je m'en vais de ce pas poursuivre et conclure cette bilogie Kingesque . Duologie qui , vu le format , ne devrait pas tarder à etre baclée a la télé comme le furent en leurs temps le Fléau , les Langoliers , la Tempete du Siecle...Et Ça , c'est moche...
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Attention, , achtung , care ! Merci de ne pas lire ce qui suit si vous n'avez pas encore digéré le premier tome car il pourrait vous venir l'irrépréssible et immédiate envie de m'insullter et je m'en voudrai...un peu...

Bien , nous retrouvons l'ami Ricoré , nan , Barbie dans ses nouveaux quartiers d'hiver . Une superbe cellule au service d'étage irréprochable ! Nourriture au mollard a volonté ! Il est desormais à la merci de Big Jim et de ses seides . L'on s'étendra longueeeeement sur sa disparition qui apparait des lors comme inéluctable ainsi que sur sa possible et finalement concluante évasion...
Autre partie tirant en longueeeeeur , la préparation militaire du D-Day visant à réunir tous ces naufragés involontaires et leurs familles se trouvant , elles , a l'extérieur .
A noter le développement de certains personnages auparavant secondaires et qui auront au final un role determinant dans cette histoire . Notamment ces deux camés jusqu'aux yeux , se prenant pour des soldats de Dieu et prets à mourir pour lui afin de défendre leur dépot de propane tant convoité . Belzébuth ne passera pas par moi ! La drogue c'est pas bien , le fanatisme non plus...
Il est également question d'une enveloppe vagabonde detentrice de tous les petits secrets de Rénnie et pouvant le faire tomber de son piédestal si elle se decidait enfin à atterrir entre de bonnes mains...Rénnie , quand à lui , poursuivant tranquillement son accession au trone , aidé en cela par sa milice privée qu'il enrole à tour de bras et qui fait désormais office de fossoyeur municipal . Mefiez-vous des brassards rouges !
Ce tome est néanmoins un peu plus nerveux que le précédent et contient quelques passages dignes du King de la grande époque ! Mention spéciale à la description de l'incendie et aux conséquences désastreuses qui en découlent ! Mais ces morceaux de bravoure sont hélas trop rares pour occulter tout le reste !
Et que dire du final ? J'en ai lu des nanars à l'épilogue plus que douteux , j'y rajouterai , hélas , celui de Dome ! L'on se quitte sur l'idée que tout acte doit etre pesé , pensé , réfléchi car il en résulte systématiquement des conséquences irrévocables...Aaaah , d'accord , j'étais pas au courant...
1200 pages pour demontrer que l'homme , placé dans un contexte particulier , peut se montrer d'une connerie et d'une dangerosité abyssale..rien de neuf...
1200 pages qui , par le prisme du dome et de ses conséquences climatiques inhérentes , sont censées nous interpeller sur l'urgence écologique...rien de neuf..
1200 pages pour découvrir que tout acte implique des conséquences à vie , pas faux mais...rien de neuf..
1200 pages là ou 7 à 800 auraient largement suffi , dommage...
Alors , n'allez pas croire que j'ai détesté Dome , c'est juste que j'en attendais beaucoup plus...Avis juste subjectif...

J'etais resté sur le formidable souvenir de Ça , je repars en pensant : tout Ça pour Ça...
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Une petite ville du Maine (surprenant choix géographique non ?) se retrouve soudainement coupée du monde par un dôme transparent qui recouvre toute la ville. L'air et l'eau ne la traverse que très difficilement. L'armée, malgré tous ses efforts, ne parvient pas à l'entamer.

À l'intérieur du Dôme, la situation évolue à toute vitesse. le premier adjoint de la ville, Jim Rennie, qui est l'homme le plus influent à force de manipulation et de chantage, prend le contrôle de la ville et la dirige d'une main de fer. Il crée rapidement une milice parmi les gens qui lui sont dévoués pour mettre au pas les récalcitrants, au besoin par la manière forte.

Le premier visé est Dale Barbara, ancien militaire qui vagabonde désormais de ville en ville et vit de petit boulot, qui s'est battu récemment avec le fils de Jim Rennie, Junior, et a voulu quitter Chester's Mill quelques minutes avant la mise en place du Dôme. L'armée tente de lui donner le commandement de la ville, ce qui fragilise d'autant plus sa position, puisque personne en dehors du Dôme ne peut le défendre, et que ses ennemis en profite pour en faire le complice d'une expérience menée sur les habitants.

Le roman nous prend vite à la gorge, et la tension nous suit jusqu'au bout du récit (même si évidemment, dans un roman de plus de 1000 pages, il y a forcément des longueurs de temps en temps). le totalitarisme qui se met en place, les meurtres et les viols qui peuvent se commettre impunément et avec l'accord du chef, tourmentent le lecteur. Junior, qui a le cerveau rongé par une tumeur, est un personnage vraiment terrifiant.

Il y a malgré tout quelques défauts dans le récit : tout d'abord le manichéisme des personnes. Ensuite, le fait que dans le camp des «gentils», on est un peu naïf, voire niais : quand ils affrontent Rennie, c'est un par un, en prenant bien soin de cacher à leurs rares amis ce qu'ils vont faire ou ce qu'ils ont découvert, sans aucune autre arme que le bon droit et la justice, bref, ils creusent leur propre tombe avec un angélisme qui devient vite agaçant.

L'autre défaut est la fin du livre, pas vraiment réussie. J'aurais encore préféré que le Dôme disparaisse sans aucune explication (après tout, il sert plutôt d'«excuse» pour les évènements qui vont se produire dans la ville et n'est pas un point central du roman).
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La petite critique que je vais rédiger ici concerne les 2 tomes. Je ne voulais pas émettre de jugement avant d'avoir lu l'ensemble du récit.

La première chose que je retiens, c'est que King sait mener sa barque. C'est un malin, et doué avec ça. Malgré la multitude de personnages et l'alternance de points de vue, on sait toujours où on en est, le récit est fluide. Pour guider le lecteur, King utilise l'astuce des personnages qui se croisent. L'usage systématique de ce procédé permet de toujours savoir situer les personnages dans le temps et dans l'espace. Mais dans Dôme, cela apparait comme répétitif et artificiel alors que dans "Bazaar" (autre roman avec multiplicité de personnages et de points de vue) l'enchaînement implacable paraissait couler de source (comme une machinerie que rien ne peut arrêter).

Le récit en lui-même est très simpliste. Les personnages sont très manichéens. Les gentils sont très gentils, les méchants très très méchants. Ils manquent de nuance, d'épaisseur. Et surtout, ils n'ont aucune évolution au cours de l'histoire, pas d'arc transformationnel. A mon avis, il aurait été intéressant de montrer comment une situation de crise peut transformer, révéler les personnalités. Là, au fur et à mesure du récit, les personnages sont tels qu'ils étaient au début.
Certains éléments de l'intrigue sont tellement exagérés qu'ils mettent à mal la suspension d'incrédulité. Par exemple, le labo de fabrication de drogue est le plus important des Etats-Unis.

Pour conclure, c'est un récit addictif mais qui manque de finesse et d'où l'émotion est absente.
Divertissant mais dispensable.
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En Résumé : Un nouveau Stephen King est toujours quelque chose d'important pour moi qui lit cet auteur depuis des années. Je dois dire qu'avec ce premier tome j'ai passé un moment de lecture vraiment sympathique mais qui est plombé par une multitude trop important de personnages qui apportent des fois peu de choses et une impression de remplissage sur certains passages. de plus une fois le livre fermé on a vraiment l'impression que ce premier tome n'était qu'un tome d'introduction. L'intrigue en tout cas s'annonce vraiment palpitante et nerveuse et les personnages s'annoncent, pour la plupart, intéressant malgré certains aspects caricaturaux. La plume de l'auteur est simple et efficace et arrive à nous faire plonger dans son histoire.

Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Un ancien GI, une journaliste expérimentée et jolie, des gamins débrouillards et intelligents, des gens simples mais ouverts... on reconnait là le panel type pour décrire l'Amérique profonde, celle de la côte Est plus rurale que King a l'habitude de décrire et nous faire vivre, celle qu'il met une fois de plus en danger...
Au-delà du début de stéréotype de ce genre de distribution des rôles (et ne parlons pas du méchant), on trouve hélas dans cette livraison de King un style un peu à la ramasse, notamment dans les deux trois chapitres d'ouverture. On ne s'accroche que parce qu'on sait que le maitre donnera forcément autre chose à lire, et que le fond viendra vite pimenter la lecture. Ce n'est plus un assaisonnement pourtant qu'il y faudrait vu la médiocrité du style du débit (mauvais traduc ?) mais bien une recette revue et corrigée.

Pourtant, et c'est là la force de King, on lit, et on aime. On attend vivement la suite, on se doute de certains rebonds mais il s'en doute avec nous en mettant nos prévisions scénaristiques dans les pensées du héros. Et il nous cueille quand même.
A suivre, donc, avec le tome 2.
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J'ai relativement bien apprécié cette oeuvre. J'en attendais cependant plus puisque j'ai littéralement adoré la série télévisée adaptée à partir de cette oeuvre que j'ai découverte avant le roman. J'ai peu-être par conséquent mis la barre trop haute.

L'intrigue est exceptionnelle et intéressante. Non seulement le lecteur essaie à tout prix de trouver des réponses sur la nature de la barrière invisible qui coupe la population de Chester Mill du reste du monde, mais en plus il est témoin de l'évolution perturbante des personnages et de tous les événements, parfois tenus secrets, qui se produisent pendant la catastrophe.
J'ai adoré cette atmosphère lourde et assez angoissante, comme si nous étions également sous le Dôme.

Les personnages sont extraordinaires. Il est impossible pour le lecteur de rester insensible à leurs comportements. Certains sont vils, cruels, sadiques et manipulateurs tandis que d'autres font preuve de solidarité, de justesse et de loyauté.

Nous nous rendons compte que les complots sont omniprésents dans une ville où la population est écartée de la société et nous pouvons remarquer qu'elle entame lentement une décadence dans la civilisation en ayant recours à des actes barbares succincts de culpabilité qui en deviennent sauvages.
le pouvoir étant très tentant dans un endroit où personne ne peut ni pénétrer ni sortir et où les autorités supérieures n'ont aucun contrôle, un petit groupe se l'approprie de façon rusée et détournée.
Nous observons certaines caractéristiques propres aux régimes totalitaires qui se dégagent dans Chester Mill. Je me suis délectée de relever les similitudes.

Ce premier tome est une agréable découverte. Je suis curieuse de découvrir la suite, que je lirai avec plaisir.
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Je suis mitigée au sujet de ce livre.
En positif, il y a le suspens. Oui, c'est difficile de poser le livre, on a envie de lire la suite.
En négatif, il y a... Les personnages tellement à l'emporte pièce, sans profondeur.
Je n'ai pas aimé la langue non plus; j'aurais cru lire le journal.
Mais oui, il reste le suspens.
Rien que pour lui, j'ai lu les 2 tomes!
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En commençant ce deuxième tome ,il a fallu qq pages pour que je me replonge dans l'histoire en raison du nombre de personnages ( j'ai lu plusieurs livres entre les deux tomes). Mais une fois ma mémoire "rafraîchie" j ai encore plus apprécié ce deuxième tome ,il m'a bcp plus tenue en haleine que le premier et la fin est très émouvante. Un livre à recommander pour les inconditionnels de Stéphen king mais aussi pour ceux qui veulent le découvrir .
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