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sur 939 notes
Troisième et dernier volet du cycle Bill Hodges. Les personnages. Un livre passionnant du début à la fin. Des trois c'est le seul qui rentre de plein pied dans le fantastique. J'avais imaginé la fin de l'histoire et je me suis trompé, ce qui est merveilleux puisque cela signifie qu'un auteur ( et non des moindres) à la capacité de me surprendre. Au moins un des personnages revient dans un autre récit chuuuut je sais lequel mais je n'ai pas encore entamé , mais je ne dirais rien .
Voila donc ceci clôture : Mr Mercedes, Carnets noirs et fin de ronde. Si vous pouvez, tachez d'éviter la série télé qui si elle se laisse agréablement regarder n'arrive pas à le chevilles des romans. pire elle détricote beaucoup trop et part dans un autre ordre. Je ne vais pas m'attarder sur le bien fondé d'une adaptation moi ici je n'ai envie que de vous parler de littérature. Ma notation 9/10
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Fin de ronde est le dernier tome de la saga Bill Hodges. J'avais adoré Mr Mercedes et Carnets noirs. Fin de Ronde est tout aussi bon même si on glisse davantage vers le fantastique avec ce roman. Attention, je vous conseille fortement de lire les précédents tomes de la série au risque de passer à côté de nombreuses références.

Dans cette enquête, on suit à nouveau Bill Hodges et Holly Gibney qui sont appelés sur les lieux d'un suicide et d'un crime. La mère de Martine Stover, rescapé du massacre perpétré par Brady Hartsfield, aurait tué sa fille gravement handicapée puis aurait mis fin à ses jours. Bill, à la tête d'une agence de détective, est appelé par son ancien coéquipier. Bien vite, Bill et Holly remarquent des détails troublants: un Z dessiné sur un meuble au feutre noir mais aussi un drôle de jeu vidéo, un peu rétro, le zappit.

Parallèlement, on suit Brady Hartsfield, le tueur à la Mercedes, végétant dans un hôpital. le Docteur Babineau se livre à d'étranges expériences sur son patient. Les infirmières remarquent de drôles de choses dans la chambre 217: les volets bougent tout seuls, le robinet s'ouvre alors même que Brady ne peut plus faire un seul geste.

Ce roman prend une tournure beaucoup plus fantastique que les deux précédents. Stephen King avait laissé des indices présageant de ce qui allait se passer et il développe ici une théorie qui fait de Brady un personnage ayant le don de la télékinésie. C'est peut-être ce côté trop fantastique qui fait que Fin de Ronde est le tome qui m'a le moins plu.

Cependant, comme toujours, King plonge son lecteur dans une intrigue impeccable, menée de main de maître. Il est difficile de lâcher le roman. L'immersion est rapide et totale, vous êtes avertis! La relation entre Holly et Bill devient vraiment intéressante dans la mesure où des liens forts se créent entre eux. J'ai particulièrement apprécié Holly qui prend ici une dimension profonde et intéressante. Sa personnalité fait d'elle un personnage à part et passionnant à bien des égards.

Et cette fin…. J'en ai eu le coeur brisé. Il m'a été particulièrement difficile de laisser ces personnages si forts et attachants. La gorge serrée, j'ai refermé ce troisième tome avec beaucoup d'émotions en me disant que Stephen King savait jouer sur toutes les palettes.

« Fin de Ronde » vient conclure la trilogie du tueur à la Mercedes avec beaucoup de panache. Une fois de plus, Stephen King confirme qu'il est doué dans de nombreux domaines d'écriture et le thriller n'y échappe pas.
Lien : https://carolivre.wordpress...
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On retrouve nos trois compères qui nous ont accompagner dans les deux précédents tomes - Mr MERCEDES et CARNETS NOIRES - Bill, Holly et Jérôme qui s'interroge sur des suicides inexpliqués, et surtout sur un jeu qui as des fonctions surprenantes, cela les amène sur les traces du tueur a la Mercedes.
J'ai beaucoup aimé ce dernier tome, il est le seul de la trilogie as comporter une pointe de fantastique, mais franchement ne m'as pas du tout dérangé, car c'est si bien l'auteur, il met cette pincée de surnaturel au service de l'histoire, et je trouve que ça fonctionne relativement bien.
On est dans une histoire très addictive, ou on se demande à chaque chapitre ou l'auteur va nous emmener, avec lui, on sait qu'on peut aller n'importe où.
Encore une fois Stephen KING a su faire passer un message, au travers ce livre, et parler d'un sujet assez sensible, le suicide, c'est enrôler dans l'histoire, et c'est encore tellement bien fait.
C'est que je préfère chez cet auteur, qui pour moi est vraiment emblématique, oui on est dans l'action d'une enquête passionnante, mais aussi on parle d'un vrai sujet de société, et sans avoir l'air de rien, le message est là.
22eme livre lue de cet auteur, que dire, c'est fascinant de rentrer dans son univers, surtout que cette trilogie est étonnante, très thriller, j'ai pas vraiment l'habitude avec lui, mais on suit aussi l'évolution de ces trois personnages, leurs complicité et leurs attachements, et j'ai vraiment adorer l'aspect de ces livres, et puis chaque opus as son sujet, rondement mené, Stephen KING reste mon auteur préféré, et à chaque nouveau livre, que je peux lire de lui, me conforte dans cette idée, il as une écriture très particulière, il sait en quelques lignes vous faire rentrer dans son univers, j'ai juste envie d'en lire encore un autre, pour avoir encore plus de plaisir.

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Fin de ronde de la trilogie de Bill Hodges entamée avec Mr Mercedes. Alors que les deux premiers volets avaient plutôt un profil de polar, on renoue ici avec le fond de commerce habituel du maître du fantastique.

Brady Hartsfield a beau végéter dans sa chambre d'hôpital, le voici en possession d'un pouvoir psychique qui lui permet de se consacrer à nouveau à son violon d'ingre: pousser les gens au suicide. Et c'est un Bill Hodges pas au mieux de sa forme qui doit contrecarrer ses plans.

On reprend les mêmes personnages, dans cet opus. du coup pas de grosses surprises. L'intrigue est bien mené et on dévore les pages, comme hypnotisés par une démo du jeu Fishin'Hole. Mais pour moi "Mr Mercedes" reste le meilleur de la série, avec la description nauséabonde de la psychologie de Brady Hartsfield et le suspens final.
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Cette troisième et ultime enquête de Bill Hodges démarre fort avec un Brady plus inquiétant que jamais ! Il y est question de télékinésie puis de contrôle mental, le psychopathe défiant les limites de son corps ankylosé en prenant possession des personnes qui l'entourent... le roman aborde également le caractère hypnotique des consoles de jeu qui rend si manipulables ses jeunes utilisateurs... Un fait de société dont se sert Brady pour mettre en oeuvre sa fascination de toujours : le suicide de masse.
Côté ville on retrouve avec plaisir le trio improbable (même si Jérôme est plus en retrait). L'offret est mal en point (transpercé d'une douleur à l'estomac de plus en plus présente et étendue), ce qui le rend plus humain et crédible (pour son âge). La relation pudique qu'il entretient avec l'inimitable Holly est tout aussi touchante. Si quelques longueurs et répétitions au milieu du roman viennent ralentir le rythme de l'intrigue, celle-ci ne demeure pas moins prenante et fait passer un agréable moment de lecture !
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stephen King revient avec Brady, l'horrible personnage avide de mort et de suicide. Dans cet opus, on est plongé dans une histoire hypnotisante dans tous les sens du terme. On se demande comment Brady, bloquée dans la chambre 217 à l'état presque végétatif, va pouvoir déverser sa folie. Au fur et à mesure, on découvre les subterfuges utilisés et l'extraordinaire machine de guerre qui se met en marche pour provoquer des suicides en cascade. Mais face à lui, se trouve un adversaire de taille qui ne lâche rien... Je ne dévoile pas le dénouement pour laisser au lecteur le suspens.
Encore un roman de King à la hauteur où le suspens est toujours omniprésent et les rebondissements sont sanglants ! le récit explore l'âme humaine au travers de l'hypnose. Un très bon roman comme toujours chez King.
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5/5
Troisième volet de la série Bill Hodges, alors que Stephen King s'essaie au roman policier, le maitre du suspens renoue avec ce qu'il sait faire le mieux le fantastique. Une trilogie commencé par Mr Mercedes, lu en LC puis Carnets noirs , dans le cadre d'un challenge et une lecture pour ce tome très décevante. Cette fois-ci c'est dans le cadre du défi lecture 2017 que je me lance en solo.
Ce livre, comme les précédents, met l'accent sur le détective Hodges et Holly, personnages récurrents de cette trilogie. Je l'attendais ce tome, malgré la déception lors de ma dernière lecture, car sur les dernières pages l'auteur laissait présager du suspens.
Et bien bravo maestro !
Stephen King ramène la trilogie Hodges dans une terrifiante et sublime conclusion, combinant à la fois l'esprit policier avec le coté suspense supernaturel qui est sa marque de fabrique. Un résultat qui nous révèle le grand King celui qui sait vous tenir éveillé toute la nuit.
Une histoire improbable diront certains mais de quoi est-on sur alors qu'encore aujourd'hui on ignore comment fonctionne la télékinésie et que les scientifiques travaillent sur le pouvoir du cerveau ? Oui certains croient au pouvoir de l'esprit sur la matière. Que connait-on du potentiel opérationnel de la perception subliminale ? Tout et rien certainement pour autant il semble que des messages subliminaux soient utilisés de nos jours dans certains domaines
Quoi qu'il en soit , l'auteur nous emporte dans un monde de manipulations et dénonce certaines pratiques, travaux secrets de certains médecins sur le cerveau de notre Brady et développe un thème particulièrement douloureux que celui du suicide chez les adolescents. Il adresse ainsi un message avec son roman à toute personne fragile, l'incitant à contacter quelques numéros réellement existants. Il met aussi en avant les dangers des réseaux sociaux et soulève l'effet boule de neige constaté dans les suicides.
Une aventure déconcertante et addictive, une conclusion et un final émouvant pour une trilogie qui débute comme un simple policier et qui se termine en apothéose en thriller fantastique, du King comme j'aime.
J'ai donc retrouvé avec plaisir tous les protagonistes des tomes précédents, Jerome, Barb et Holly ainsi que Bill le personnage principal à moins qu'ici c ne soit Brady ? Enfin chacun lui donnera la place qu'il veut.
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Dans End of watch, et après Finders Keepers qui introduisait de nouveaux personnages, on reprend le schéma de Mr Mercedes, en forme de lutte entre Hodges et Brady Hartsfield.

Brady a acquis de nouveaux pouvoirs et, depuis son hôpital où tout le monde le croit catatonique, il cherche le meilleur moyen de les utiliser pour faire le plus de mal possible autour de lui, tout en se vengeant dans le même temps de Hodges. le détective et sa partenaire, Holly, sont bientôt alertés par une série de suicides étranges, et qui semblent liés à Hartsfield. Brady va peu à peu déployer ses plans aussi astucieux que démoniaques, bien à l'abri derrière les marionnettes qu'il contrôle et la certitude de tous - y compris Hodges - qu'il est enfermé dans sa chambre d'hôpital ainsi que dans son propre corps, impuissant.

J'aime bien comment chaque roman de la trilogie a commencé par le massacre de City Center. Chaque fois, on se concentre sur un point de vue différent. Dans ce tome, c'est celui des secours que l'on suit, et l'horreur ressentie devant l'ampleur des dégâts. On nous montre aussi que, même des années après, l'attaque a laissé des traces, des vies ont été détruites pour toujours et des gens sont condamnés à souffrir toute leur vie.

Le danger posé par le jeu dont Brady se sert sonne tellement vrai : qui ne s'est jamais trouvé fasciné, malgré lui, par un petit jeu complètement stupide où il suffisait de regarder l'écran et de cliquer ici et là régulièrement ? C'est le genre de truc légèrement hypnotique qui nous fait perdre la notion du temps et nous donne l'étrange sensation que notre cerveau est aspiré par la machine, pour ne laisser que du vide à la place. Dans End of watch, les jeux deviennent réellement débilitants. L'analogie est inquiétante, en plus d'être extrêmement bien trouvée.

Dès le premier roman, Mr Mercedes, Brady m'a fascinée par sa capacité à élaborer des plans compliqués comme un joueur d'échecs. Ici encore, on voit comment il a construit patiemment sa machination, année après année, comme un architecte ou, mieux encore, une araignée qui tisse sa toile discrètement, lentement. Il se révèle plus maléfique que jamais grâce à ses pouvoirs qui le transforment en petit démon, un démon qui se perche sur votre épaule et vous murmure des choses à l'oreille.
Le roman s'intéresse particulièrement à son obsession du suicide, présente depuis le tout début, et qui est un moyen pour lui d'avoir le contrôle total sur les gens : il ne tue pas ses victimes de ses mains, il n'a même pas besoin de les toucher, il peut les forcer à mettre eux-même fin à leurs jours.
Les capacités qu'il possède font que les plans de Hartsfield ont gagné en ampleur : il a le moyen d'atteindre qui il veut, plus personne n'est à l'abri.

Son pouvoir est expliqué scientifiquement : il semble être le fruit d'expériences pratiquées sur lui pour remettre son cerveau en état. On n'est pas dans le surnaturel pur et dur, Brady n'a pas non plus vendu son âme au diable ou que sais-je encore. On conserve une part de réalisme malgré l'incursion dans le fantastique, et cela contribue à forger l'aura terrifiante de Hartsfield.

Le roman parle aussi de sujets délicats et bien ancrés dans notre réalité : le thème du suicide chez les adolescent qui, comme le livre le rappelle, est très répandu et constitue une véritable menace, et celui de la maladie, cet ennemi insidieux qui peut naître en vous et faire des dégâts mortels. Cette capacité qu'a Stephen King à jongler entre la terreur particulière causée par un individu unique en son genre et complètement dérangé, et celle, plus intime, plus quotidienne, présente autour de chacun de nous, de dangers tels que ceux-là, est ce qui donnera toujours une saveur particulière à ses romans pour moi. Un goût de vrai, parce que Hodges a beau vouloir éliminer sa Némésis avant qu'elle ne ravage le monde, il ne peut oublier, à aucun moment, le mal qui le ronge de l'intérieur et qui, au final, est bien le plus dangereux des deux.

Brady possède une aptitude fascinante pour repérer très vite l'étendue du mal qu'il pourrait causer grâce aux outils à sa disposition. Je me suis régalée de chaque plongée dans son esprit délicieusement tordu. On voit qu'il ne peut se satisfaire bien longtemps d'une vie simple, il a besoin de détruire les autres, d'avoir du pouvoir et du contrôle sur eux pour être heureux. Ce pouvoir qu'il acquière, on ne le verra pas une seule seconde s'imaginer s'en servir autrement que pour blesser ou terroriser ceux qui l'entourent. Brady ne pense qu'au mal qu'il peut faire, c'est tout ce pour quoi il existe.

J'ai préféré cet épisode au précédent, parce que Finders Keepers (Carnets noirs en français) était un peu une parenthèse dans le récit à mes yeux, et parce que je suis une grande fan de Brady Hartsfield (au cas où vous n'auriez pas remarqué) : les antagonistes dans son genre, intelligents et machiavéliques à souhait, c'est tout ce que j'aime !

La tension ne fait que grimper au fil des pages et le suspense va crescendo sur la fin, c'est le même schéma que pour les deux premiers tome, avec un enjeu de vie ou de mort et la nécessité d'aller vite, très vite. le final est une véritable apothéose qui nous colle à notre fauteuil.

J'ai trouvé la conclusion du bras de fer Hodges / Brady satisfaisante, même si j'aurais bien aimé quelque chose d'un peu plus ouvert, qui nous laisserait avec certaine craintes.
Bon, c'est sûrement ma tristesse de voir la fin de cette série arriver qui parle. Stephen King a, de toute évidence, voulu clôturer clairement cette intrigue avec laquelle il en a, visiblement, terminé.
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Fin de ronde dans le jargon de la sécurité signifie prendre sa retraite...

Certes Hodges "savoure" déjà la sienne mais son ancien coéquipier Pete y va à grands pas. Hodges ne l'oubli pas et c'est vers lui qu'il se tourne lorsque Barbara, la soeur de Jérôme manque de se faire renversée.

Biensûr dans ce troisième opus de la saga Mr Mercedes nous y retrouvons Brady, Hollie et Jérôme. (Pardonnez moi si l'orthographe n'est pas exacte, j'ai suivi la saga en audio).

Brady est toujours dans son lit d'hôpital suite à ce que lui a envoyé Hollie mais il n'est pas totalement absent.
Suivi par un médecin peu scrupuleux, on note quelques agissements peu conventionnels de la part du patient.

Avec une alerte en toile de fond, Stephen King clos brillamment les aventures de nos amis et je quitte Kermit avec tristesse.

Je ne tarderai pas à me plonger dans @si ça saigne où semble t'il nous avons des nouvelles d'Hollie.
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Ce roman a été pour beaucoup d'entre vous le meilleur de la trilogie mais ça n'a malheureusement pas été mon cas.

Après un début lent à démarrer à mon goût, on retrouve Brady alias Mr Mercedes avec quelque chose de totalement nouveau en lui. (Ce qui va suivre n'est pas un spoil car c'est expliqué depuis le début).
J'ai directement pensé à Carrie et je garde un assez mauvais souvenir de ce dernier. J'ai eu peur qu'on parte dans un univers totalement similaire et mon dieu que c'est long avant qu'il se passe vraiment quelque chose dans ce tome.

Finalement, après avoir lu les trois quarts du livre j'ai commencé à vraiment être dedans. Même si Brady a les mêmes dons que Carrie il les utilise totalement différemment. J'ai bien aimé l'action qu'il y a à la fin, l'histoire passe vraiment à la vitesse supérieure.

Par contre, comparé aux deux tomes précédents, j'ai trouvé la fin excessivement rapide. Sur deux, trois chapitres le final est bâclé. J'aurais aimé un peu plus d'action.

Je suis quand même contente d'avoir retrouvé le trio Hodges, Hollie et Jérôme et je suis triste de les quitter mais il faut bien une fin à tout!

Dans l'ensemble j'ai quand même aimé ma lecture! Même si le début est long à démarrer et le final trop vite bâclé, je ne me suis pas du tout ennuyée.
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