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3,9

sur 2057 notes
Voilà comme je les aime les Stephen King. J'ai retrouvé mon auteur fétiche avec ce roman.

Il est au paroxysme de son talent pour moi . Je suis bluffée parce que le Maître fait d'une histoire basique ( j'appelle basique le viol d'un enfant par son entraineur) une histoire prenante, addictive et extraordinaire. On part franchement de loin parce que c'est du déjà vu , et revu, mais au final on sait se fait happer. L'écriture du King fait le job et nous emmène vers d'autres horizons.

Logiquement tout lecteur devrait détester ce pédophile, mais l'auteur fait que ce ne soit pas le cas… et c'est là que réside une partie du talent de Stephen.


Et puis le Maître n'a pas dérogé a son habitude… avec ces petits clins d'oeil a ses autres oeuvres… Dans ce roman le clin d'oeil est énorme.. pour mon plus grand plaisir car j'ai adoré l'idée et puis il faut avouer que la surprise a été admirablement bien gardée (par un mot sur la quatrième de couverture)…. mais bon je n'en dirais pas plus ça gâcherais le plaisir des futurs lecteurs… une énorme cerise sur le gâteau pour moi en tout cas.

Et puis j'ai aussi beaucoup apprécier les subtilités des "piques" faites à Trump. Stephen King ne cache pas son grand attachement au président américain...et ça se voit.. j'avoue une fois encore pour mon plus grand plaisir !


Bref je suis complètement conquise par ce roman, j'ai retrouvé le plaisir de lire du King, du grand King.

Je finirais par parler de la couverture du roman. je suis toujours très attachée aux couvertures des romans du Maître qui sont en général magnifiques.. mais il faut avouer que cette fois-ci elle est particulièrement moche. Mais le talent de packaging des éditions Albin Michel a encore une fois démontré son énorme talent...car si la couverture est moche , elle réussit quand même a frapper le lecteur car elle est dérangeante à la fois par son graphisme et sa texture…. un tour de force réussi pour moi aussi de ce côté là!
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A peine sur la table du libraire, déjà entre mes mains avides de commencer le dernier bébé monstrueux de Maître King... sauf qu'il me restait deux livres à lire impérativement avant. Qu'à cela ne tienne, il n'y a pas le feu au lac.

Après son mitigé Sleeping Beauties signé à quatre mains avec son fils Owen l'an dernier, je me demandais ce qu'allait me réserver L'outsider. le point de départ à de quoi laisser l'amateur cartésien d'enquêtes plus que perplexe. En effet, un enfant de onze ans a été massacré de la plus abominable des manières et tout (empreintes, ADN et témoignages oculaires fiables) accuse un homme au-dessus de tout soupçon, entraîneur sportif bénévole et prof d'anglais respecté de toute la ville. Arrêté avec fracas, celui-ci, secondé par son avocat, présente un alibi en béton armé. Quid? Ubiquité? Manipulation? L'inspecteur Ralph Anderson se sent, à juste titre, de plus en plus mal à l'aise dans cette enquête où des éléments qui semblent coller laissent pourtant des interstices infimes. Et, dommage pour lui, ça n'est que le début.

L'outsider s'apparente plus à un thriller fantastique dans la lignée de la trilogie Bill Hodges, que du roman d'horreur comme Ça, tel que le mentionne un avis journalistique en quatrième de couverture. D'ailleurs, mieux vaut avoir lu Mr Mercedes, Carnets noirs et Fin de ronde avant L'outsider sous peine de connaître des révélations sur la trilogie.

Si cette intrigue n'est pas forcément la plus originale de l'auteur, il faut lui reconnaître son aisance dans la conduite de son histoire. Pas de Maine cette fois-ci mais des allers-retours entre l'Oklahoma et le Texas. Ça dépayse un brin. Les personnages principaux, notamment Ralph Anderson, sont plutôt attachants et bien campés. J'ai beaucoup apprécié aussi le lieutenant Yunel Sablo, fort sympathique et à l'esprit très ouvert.

Question suspense, quelques scènes bien tendues permettent des cours d'apnée en accéléré. Mais le roman ne fait pas peur, si ce n'est l'hystérie et la folie collectives qui peuvent s'emparer d'une foule apeurée et en colère. Là oui, il y a de quoi frémir face à la réaction du tout émotionnel en l'absence de tout raisonnement pondéré.

Les 570 pages du roman ont vite fondu comme neige au soleil avec l'envie de connaître le fin mot de cette histoire a priori impossible. Comme le disait ce bon vieux Sherlock Holmes, lorsque toutes les hypothèses raisonnables sont épuisées, force est de se diriger vers la dernière, aussi improbable soit-elle. A soixante-douze ans, Stephen King manie toujours aussi bien l'art et la manière de raconter ses histoires et de planter ses personnages de façon à donner l'impression qu'on pourrait les rencontrer au coin de la rue. Puisse-t-il poursuivre encore à nous enchanter et nous faire frissonner un long moment!
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J'ai passé un bon moment de lecture avec l'outsider, ce compagnon indésirable qui m'a servi ce que j'aime dans les thrillers : un policier entêté qui va au bout de ses idées, un dur-à-cuire-mais-pas-trop-tout-de-même, avec ses doutes, ses angoisses et son incrédulité l'amenant à envisager ce qui est POSSIBLE en ce bas monde, une gaffe de première de sa part dès le début (quoique… ?), et puis surtout un beau casse-tête sur fond de critique de la société américaine pour qui, comme moi, n'a pas trop fréquenté Stephen King, qui, je le constate, sait saupoudrer de fantastique, des histoires qui serait peut-être sans relief sans ce procédé.


Des personnages énigmatiques à souhait, et un certain suspens. Je précise bien un certain suspens, car n'étant pas une inconditionnelle de cet auteur, j'ai trouvé l'action très lente, entrecoupée de réflexions et pensées des personnages exprimant leurs doutes, leurs manies, leurs intentions… Trop de dilution tue le suspens à mon humble avis. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai des difficultés à aborder un roman de king. J'ai tenté Dumas Key et 22/11/63, j'ai trouvé que ces histoires avaient beaucoup d'intérêt, mais je n'ai pas pu terminer pour cause d'action trop lente à se mettre en place. En revanche, Mr Mercedes m'a pleinement satisfaite.


En résumé, J'aime Stephen King et je suis preneuse si vous avez des titres de romans qui privilégient l'action avec un grand A.
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Qui est Terry Maitland, l'entraîneur de l'équipe de Baseball de Flint City ?

Lorsqu'il est arrêté par l'inspecteur Ralph Anderson en plein milieu d'un match et au milieu d'un stade bondé, beaucoup s'accordent à dire qu'il est un monstre. Celui qui a assassiné le petit Franck Petterson, retrouvé égorgé et sodomisé par une branche, abandonné dans un parc.

Les preuves s'accumulent : empreintes, traces ADN, témoins oculaires... le doute n'est pas permis.

Oui, seulement... Terry Maitland était ailleurs au moment des faits. Et il peut le prouver.

Est-ce vraiment possible ?

D'impossible en impossible, à force d'événements étranges et d'incompréhension, certains commencent à envisager une nouvelle piste, celle d'un outsider, qui pourrait ressembler à un personnage de mythe : El Cuco, "le type avec son grand sac noir qui tue les jeunes enfants et se frotte le corps avec leur graisse"...

À mon avis :
Mais où est donc passé Stephen King ?

À l'amorce du récit on le trouve (ou retrouve) comme à son habitude, décrivant un scénario original laissant entrevoir que le suspense va nous tenir tout au long du livre, au travers d'une histoire assez incroyable de ce meurtrier qui ne peut être à deux endroits différents à la fois.

Il est là le King et on se dit qu'on ne va pas pouvoir s'arrêter dans la lecture.

Et puis, doucement il disparaît... l'enquête s'éternise, tente de rester dans le monde réel, fait des écarts dans un monde chimérique, nous perd au milieu de cette énigme qui traîne en longueur, d'autant qu'on a du mal à s'identifier au flic en charge de l'enquête, qui est aussi celui à cause de qui tout est arrivé.

Une centaine de pages avant la fin, on croit retrouver le maître, entraînés que nous sommes dans des explications fantastiques liées à une légende populaire... et on attend du glauque, de l'étrange, de la montée de suspense, du surnaturel avec ces descriptions de sentiments comme seul SK sait les livrer... mais non. Rien, ou si peu. Un plat roman policier qui utilise l'irrationnel pour expliquer ce qu'il n'est pas possible de rencontrer dans le monde réel. Une simple histoire de policiers, comme dans un film de série B.

On attendait forcément mieux du maître de l'épouvante et du suspense qu'une banale histoire d'outsider pseudo extra-terrestre vite torchée.

Et dans la grotte de Marysville où se conclue cette histoire, ce ne sont pas les personnages de ce livre qui se sont perdus, c'est bien Stephen King. J'espère juste qu'il en sortira rapidement pour nous éblouir de nouveau.


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King vient encore de frapper, fort.

Ce que j'ai pu aimer King, version fantastique.
Je ne suis pas loin de penser qu'en terme de polar surnaturel, le bonhomme se pose là, itou.

Un gamin salement retrouvé et c'est une petite ville en émoi.
Un semblant de corps pour un crime tout ce qu'il y a de plus tangible.

Ajouter à la stupéfaction collective un pseudo coupable connu et estimé de tous.
L'affaire semble entendue.
Circulez, y a rien à voir.

Bien au contraire, les apparences sont souvent trompeuses, la propension au lynchage collectif par trop empressée.

King déroule une enquête au cordeau - plutôt conséquente, l'investigation - en parvenant à maintenir un niveau de tension hallucinant de constance.
Certes, on n'est pas dans fast and furious, le risque de se choper un P.V. pour excès de zèle narratif frôlant allègrement le zéro absolu, cependant l'écrivain à la plume devenue experte à force de succès connus et reconnus parvient à trouver le parfait équilibre entre instruction palpitante et fantasmagorique plausible sobrement distillé au point de rendre parfaitement crédible un récit que l'on sait pertinemment improbable.

Les personnages se veulent consistants et leur interaction ne laisse pas de séduire le chaland ébaubi que je suis face à tant de psychologie savamment déployée sans jamais verser dans le chiantissime prolixe.

Seul bémol, faut bien en trouver un,
Déjà vu/lu avec Ça et le fait que cela date n'y change absolument rien.
Donc merci de bien vouloir éclipser le côté spéléo dans le prochain histoire de pouvoir me laisser tout le loisir de lui claquer cinq étoiles dans sa face, dans le respect de la personne humaine, toujours.

L'Outsider, un sérieux prétendant au bonheur absolu !
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Une sale histoire de moeurs, une enquête menée à l'ancienne par un flic qui est la parfaite caricature du chic type, une petite ville tranquille. le cadre est posé. Terriblement classique. Que lui arrive t'il au King ? Il nous berce tel un chat qui ronronne : un coupable tout trouvé, une enquête bouclée avant même d'avoir commencée… Pas si simple. Terry Maitland, le parfait coupable que les preuves scientifiques accablent est en même temps le parfait exemple du gars victime d'une erreur judiciaire que les preuves innocentent ! Il aurait simultanément commis un crime des plus affreux et assisté en bon prof d'anglais sympathique à un séminaire. 2 endroits distants de plusieurs dizaines de Km, 1 seul homme. Jumeau maléfique ? Don d'ubiquité ? Mazette ! C'est un casse tête digne de Sherlock ou … de Sculy et Mulder.
Anderson, un flic cartésien vieille école, refuse de lâcher le morceau et cherche obstinément la vérité. Quelle qu'elle soit il y a une explication !

Le King nous entraîne dans une enquête mêlant fantastique, conte pour enfants, et faits divers sordides, le tout saupoudré d'une bonne dose de critique de la société Américaine. Comme d'habitude.
Le rythme est plutôt sur le mode course de fond, il reste constant et ne décélère pas mais on est loin du page turner. En vieux briscard le king prend son temps jusqu'à une accélération bien sentie en bout de course. L'histoire est orchestrée avec précision et le tout s'assemble façon puzzle avec aisance. On flirte habillement avec le fantastique tout en gardant un pied dans le réel. La frontière entre les deux devient flou et c'est un vrai régal.

Les personnages sont comme toujours, vivants et attachants, on a tout de suite l'impression de les connaître et de faire partie de la bande. Pour les lecteurs de Mr Mercedes, Carnets noirs et Fin de ronde, on retrouve avec plaisir Melle Gibney comme on tomberait sur un vieux pote au coin de la rue.

Un seul regret : même si à un moment le King instille le doute on ne peut pas vraiment parler de suspens. C'est vrai, je l'ai vu venir. Disons que le voyage était génial mais je connaissais la destination.

Le King poursuit donc son incursion dans le genre polar fantastique et c'est plutôt réussi. Même si j'avoue, je le préfère dans sa version horrifique où il excelle. de mon point de vue pas le meilleur King mais c'est quand même du lourd.
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Flint City, un coin presque perdu dans l'Oklahoma. Un petit garçon y est retrouvé mort aux abords du parc, couvert de sang, sodomisé par une branche, couvert de sperme. Ça te pose une ambiance, quand tu gares ton pick-up dans le dinner du coin ouvert très tard dans la nuit ou très tôt le matin. Tu commandes un café, avec quelques oeufs brouillés, une serveuse au joli sourire pas brouillé. Un suspect, coach Terry. L'entraineur de tous les gamins de Flint City depuis des années, un homme bon et bien sous tout rapport. Mais le connait-on bien, ce monstre ? Comment est-il capable d'une telle atrocité. L'humanité en prend une nouvelle fois un coup… Deux policiers viennent l'arrêter, sur le carré de la pelouse, demi-finale de la conférence junior de base-ball. C'est la sidération sur le banc, dans les tribunes, dans la ville. Comme un lynchage sur place publique.

Le procès… Une évidence… Des témoins l'ont vu, chemise ensanglantée, camionnette volée. Enfin... une vieille, une gamine, un ancien taulard ancien alcoolique ancien camé et un type qui sort d'un bar avec des filles qui font danser leur poitrine nue devant quelques clients. Ça a l'air d'être quand même du lourd. Sauf que coach Terry semble avoir un solide alibi, à l'autre bout de l'état. Il était à une conférence d'Harlan Coben, grand maître du crime et des ventes de bouquins, avec ses collègues de boulot, confrérie des profs d'anglais. Qui croire… Ou plutôt que croire. Car cela me semble bien étrange comme histoire… Certaines évidences ne sont pas aussi évidentes. Des coins et recoins bien étranges dans la vicissitude de la vie et de cette banlieue si tranquille.

Et lorsque tu n'y crois plus, il te reste quoi ? le paranormal ! Après tout, c'est du King qui commence comme un polar avec procès à la clef et qui, insidieusement, te fait basculer vers les affres d'un monde où la vérité semble ailleurs. Au final, j'y vais de mon jugement ultra perso, pas le meilleur des King, j'ai bien été accroché au début, mais par la suite, le King ne m'a pas autant surpris que je pusse l'espérer. Bon, je vous laisse les bisons, et autres bêtes à deux pattes ou à deux cornes, j'ai une série à regarder sur OCS, ça s'appelle « The Outsider ».
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Avez-vous déjà eu peur du monstre qui pourrait se cacher sous votre lit? Un cauchemar, une ombre à la fenêtre? Et ce bruit dans la nuit?

C'est cet irrationnel, ce frisson sur la frange du coeur, qu'on retrouve dans ce roman de Stephen King.

Un enfant est retrouvé égorgé et affreusement mutilé. le coupable sera arrêté. C'est pourtant un homme bien, un professeur d'anglais, un entraîneur de l'équipe de baseball locale. Il a été vu sur les lieux du crime, on y a découvert ses empreintes digitales. « Cet homme respectable est un monstre! Et il a touché à mon fils pour lui enseigner à taper la balle! Ce garçon torturé, ça aurait pu être le mien », se dit le policier indigné qui procède à l'arrestation.

Pourtant, le prévenu clame son innocence. Il semble même avoir un alibi. Mais ce n'est pas possible, les preuves ne mentent pas, non?
Les bouleversements s'enchaînent, mais l'enquête continue. On aura même recours à Holly Gibney dont on avait fait la connaissance dans « Mr Mercedes ».

Un livre bien campé dans une petite ville américaine fictive de l'Oklahoma, avec le talent de l'auteur qui sait mettre en parallèle la crédibilité de la vie quotidienne et l'horreur la plus absolue.

(Et vous y penserez peut-être la prochaine fois que vous ouvrirai un melon…)
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On entre dans une histoire où l'atmosphère est pesante, une enquête qui débute avec ce crime abominable qui hante le lecteur et qui se déroule en quelques jours du 14 au 27 Juillet. On s'interroge en même temps que l'enquête se poursuit et je peux dire que ce livre m'a rendue folle de questionnements. La puissance des descriptions aussi horribles soient-elles permettent une immersion totale dans l'enquête. Il y a de nombreux rebondissements et les morts vont se succéder. Les flics cherchent, fouillent, font des comparaisons. Et si tout était l'oeuvre d'un "Outsider"? On plonge au coeur du système judiciaire américain et on aborde les notions de bien et de mal. Ralph Anderson est LE flic de ce livre, il n'est pas sans rappeler la trilogie Bill Hodges (''Mr Mercedes") Avec Stephen King, on avance sur un fil tendu qui oscille entre réalité, surnaturel et légendes. Je me suis laissée embarquer par cette histoire digne de cet auteur. (...)

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Voilà bien vingt ans, au bas mot, que je n'ai plus lu de roman de Stephen King. Pourquoi ? Je ne saurais même pas le dire. Probablement parce qu'il est associé à mon adolescence, à une partie de ma vie révolue.
Aujourd'hui, je me dis que c'est une grossière erreur.
Déjà, et surtout, parce que le King, il mérite bien son nom. C'est le Roi du suspens, de l'intrigue aux étapes et au dénouement inattendus, du passage du réel à l'irréel, du quotidien de l'humain « basique » à l'horreur en un tour de main. Bref, rattrapage en vue !
Ici, nous voilà aux côté d'un entraîneur d'une équipe de baseball locale pour jeunes garçons, très apprécié, Terry Maitland. Les flics du coin viennent l'arrêter lors d'un match décisif, lui, qui est professeur d'anglais au lycée de la ville, et qui a aussi entraîné accessoirement leurs fils.
Un garçon a été assassiné et les traces ADN n'offrent aucune équivoque : Terry est le coupable.
Cette arrestation va marquer le point de départ d'une série de catastrophes morbides inattendues et terrifiantes à la fois. Il faudra à nos inspecteurs une sacrée capacité d'adaptation au surnaturel pour comprendre comment agir et surtout, comment sauver sa peau.

Un excellent roman au goût de « revenez-y » !
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