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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Parmi les 6 premiers tomes de la saga de la tour sombre (n'ayant pas encore lu le 7ème), celui-ci est sans doute le plus étrange. Il faut veiller à ne pas se perdre dans les méandres et mises en abyme de ce volume... Heureusement les 5 précédents tomes nous ont permis de bien connaître les personnages et leurs univers, nous permettant ainsi de nous y retrouver malgré tout.
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Une lecture poussive que ce 6ème tome, centrée sur Susannah-Mia. Tant de pages pour suivre la femme enceinte et ses amis en route pour la sauver... Bien sûr, il y a LE passage incontournable, la rencontre avec King, mais franchement là pour moi cette lecture a été poussive...
J'ai hâte d'en finir !
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Sixième et avant dernier tome de la tour sombre, le chant de Susannah nous entraine aux côté de Susannah et Mia alors que l'accouchement se fait proche.

J'ai clairement été moins entrainé dans ce tome que dans les précédents.
Il est amusant de voir que si l'on a une cohérence globale dans la tour sombre, on a tout de même de grosse différence de style d'écriture entre les tomes. Celui ci est encore particulier et je l'ai trouvé plus décousu que les précédents.

Plusieurs éléments viennent renforcer l'impression que le roman est ficelé bizarrement. le découpage en chapitre est assez agressif avec des chapitres de quelques phrases, d'autres de dizaines de pages et des chapitres sans queue ni tête parfois ( les chapitres très courts sont les pires ). Chaque partie étant terminée par une espèce de comptine à la mode de la tour sombre ... Comptine en général bien peu inspirée j'en ai peur.
L'inclusion de l'auteur lui même dans l'histoire donne un côté surréaliste au tout. Alors bon, Stephen King a toujours dit que La tour sombre tenait une place spéciale dans son imaginaire et qu'elle liait toutes ses oeuvres entre elles ( et on voit l'effort qui est fait de lier ici Shining, là Ca, et puis Simetierre et puis Salem ... ). C'est une démarche intéressante mais de là à s'inclure dans le récit c'est plus surprenant. Enfin on remarque qu'il a une opinion assez négative de lui même et les notes en fin de roman montrent bien qu'il ne se voyait pas positivement à l'époque. Toujours est il que j'ai trouvé la démarche étrange. C'est une forme d'immortalité un peu artificielle au passage.

Au delà de cet aspect décousu, on n'avance pas dans ce tome. On commence alors que l'enfant de Susannah doit naitre et on finit alors qu'il nait. On aurait pu supprimer ce tome sans perdre en cohérence de récit, ce qui rends la lecture un peu gênée parce que, clairement, ça se ressent.
D'ailleurs, pour avoir les tomes 4, 5 et 6 dans la même édition d'aligné sur mon étagère, je vois bien la différence d'épaisseur avec ce tome 6. Il y a moins de matière ( sans compter les chapitres ultra courts qui font que l'on a des pages à moitié remplies ).

A noter que j'ai l'édition un peu grande avec des illustrations au milieu. Si les illustrations des tomes précédents valaient le détour, ce n'est pas du tout le cas ici. J'ai eu l'impression de voir des oeuvres d'arts modernes sans réelles cohérences.

Bref, un tome en deça des précédents. Il n'est pas mauvais mais il ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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Une forme d'intermède mêlant l'épique (Roland et Eddie face aux tueurs d'Andolini) et la quête spirituelle (Susannah tentant de reprendre le contrôle de son corps à Mia avant d'accoucher d'un être hybride et maléfique). Les moments magiques et inspirés alternent avec ces instants étranges et délétères où les sentiments et les émotions prennent le pas sur l'action. le rythme chaotique faussement calqué sur une symphonie procure d'étranges sensations de lecture, mais le finale en happening et l'annexe en clin d'oeil (la bio fantasmée d'un auteur capital pour cette saga) déroutent autant qu'ils achèvent de convaincre.
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