Le fléau, tome 2

J'ai lu le 1er tome au début du confinement car l'analogie était facile entre le covid et le fléau. Déconfinement et me voilà partie avec les protagonistes du roman sur les routes.
J'avais bien aimé ma lecture du début de cette grande aventure et là, j'ai été déçue.
1erement car il y a beaucoup de longueurs. OK, les gens ne se déplacent que lentement sur les routes américaines mais j'ai eu l'impression de faire pareil. En fait, ça dépend de quel groupe on suit. Par moment, j'étais totalement immergée dans les aventures et j'avais vraiment envie de progresser avec eux. Je m'étais vraiment attachée aux personnages.
Mais avec d'autres groupes, c'était vraiment la misère. Notamment quand on suit les errements de "la poubelle". Là, j'avoue, j'ai sauté des pages.
Bref, un avis mitigé en sortant de cette lecture. Je lirai le 3e tome car c'est le dernier mais en espérant qu'il sera plus semblable au 1er qu'au 2e.

Pioche de juin 2020 choisie par Gwen21

C'est de façon assez mitigée que je vais commencer cette chronique, étant donné que j'ai bien aimé le livre, mais que je lui ai trouvé des défauts qui m'ont vraiment gênée.

L'aventure - si toutefois nous pouvons l'appeler comme ça - de nos protagonistes et antagonistes se poursuit, et nous alternons les chapitres entre "les gentils" et "les méchants". Je me permets de faire deux catégories, étant donné que les personnages sont assez manichéens, bien que certains réservent parfois leur lot de surprise.

Au fur et à mesure de ma lecture, je sentais l'affrontement entre les deux clans venir, n'ayant aucune idée de l'issue que pourrait avoir celui-ci... En effet, les livres de Stephen King ne se terminent pas toujours bien. Je ne vous dirais pas de quoi il en retourne pour celui-ci.

Malgré un scénario bien mené et prenant, j'ai peiné dans ma lecture. Au total, pour lire l'intégralité de l'histoire (en deux tomes, pour moi), il m'aura fallu trois mois. Je n'avais jamais lu un livre sur une période aussi longue, pour tout vous dire.

Bien que j'ai lu quelques ouvrages durant ce laps de temps, j'étais assez découragée en voyant l'épaisseur du livre et le nombre de pages qui me restait. le principal bémol de ce livre, ce sont les lenteurs, les passages parfois interminables, inintéressants...

À côté de ça, il y a des moments où j'étais captivée par ma lecture, ayant envie de continuer à suivre les personnages, de savoir ce qui allait se passer... Mais j'ai trouvé l'affrontement final assez décevant et trop vite expédié. Alors, malgré les qualités de ce roman, ça restera une lecture en demi-teinte.

ENFIN fini! C'est la première pensée qui me vient à l'esprit lorsque je referme ce volume 2 du Fléau de Stephen King, et ce n'est guère positif.
Comprenons-nous bien, l'histoire est intéressante. Elle était même prometteuse. Pour autant, un certain nombre de bémols atténuent fortement l'enthousiasme.

Commençons par l'histoire dans un premier temps. On retrouve nos personnages principaux : Mère Abigaël, Nick Andros, Stu, Glen, Frannie, Harold, Larry Underwood, etc. Tous sont occupés à reconstruire la civilisation dans la petite ville de Boulder, Colorado. Pendant ce temps, l'Homme Noir s'organise à Las Vegas, Nevada et la menace plane sur nos héros qui savent qu'un affrontement est imminent.

Par moments, l'intrigue est passionnante, on veut réellement savoir ce qui va se passer. Et pourtant, j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire. C'est peut-être ma faute, j'ai mis plusieurs mois à me mettre dans ce volume 2. En tout cas, lorsque l'on voit la densité du livre, ce n'est pas très encourageant! Quant aux 100 dernières pages, elles sont très longues pour ce que c'est. On dirait un épilogue. Et un épilogue de 4 chapitres sur 100 pages, c'est longuet!

A côté de ça, King nous offre un scénario prometteur. Dérangeant par endroits, comme dans le tome 1. Alors qu'un scénario bien manichéen est annoncé, on s'aperçoit que les personnages ne le sont pas autant qu'on pourrait le croire. Beaucoup évoluent, à Boulder comme à Las Vegas. Les habitants de Boulder prennent des décisions moralement condamnables. Et on se surprend à avoir de la compassion pour certains. Personnellement, la personnalité de la Poubelle m'effraie autant qu'elle m'inspire de la pitié, au même titre qu'Harold ou Nadine. Certains passages sont également émouvants.

De même, on sait qu'un affrontement se profile, sans réellement savoir la forme qu'il peut entreprendre. Un mystère qui attise d'autant plus notre curiosité. On attend, on attend... Et là très clairement, l'Affrontement, c'est LA grande déception du livre. le gros bémol pour ma part. S'ajoute à cela le fait que l'origine de la super grippe reste très mystérieuse. Alors oui, c'est un choix de l'auteur de ne pas en faire un sujet, pour autant j'avoue que j'aurais apprécié d'en savoir plus.

Bref, je sors mitigée de cette oeuvre, qui me paraissait pleine de promesses et qui, si elle a su remplir certains points, est loin de les remplir pourtant toutes...

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Dans ce deuxième tome nous retrouvons les protagonistes du premier tome, qui se réunissent grâce à leur inconscient.
Je n'en dirais pas plus au niveau de l'histoire, mais concernant le forme, comme souvent dans les livres de King en plusieurs parties, l'ambiance retombe un peu, une sorte de lourdeur s'installe.
Beaucoup de descriptions, de sentimentalisme et d'introspection. Ce qui me plait mais pourrait en décourager plus d'un à finir les livres du King.

Lecture terminée pour ce second tome de Stephen King et j'avoue que j'ai été un peu déçue pour le coup. Autant le premier tome j'avais vraiment beaucoup aimé que là il y avait trop de longueurs et de détails inutiles pour moi.
Dans ce tome, le groupe qui a rejoint la vieille femme qu'ils voyaient tous en rêve, mène une vie relativement stable en attendant que le mauvais côté s'en prenne à eux.
Puis un jour on demande à quatre d'entre eux de franchir tous les kilomètres qui les séparent du mal afin que toute cette horreur prenne fin.

On va donc être plus du côté mauvais et découvrir ceux qui en font partie pour malgré tout les cent dernières pages qui relèvent le niveau du bouquin mais je reste tout de même sur une petite déception et je vais reprendre mon système de note en lui mettant un 5/10

Toujours aussi long. C'est bien dommage car l'intrigue est génial, les personnages aussi, mais dieu que c'est long que c'est long. Autant je me disais que la longueur dans le premier tome permet de mettre en place une intrigue puissante et une attache aux personnages, autant ici on en attend un peu plus !

J'avais dû lire ce roman dans mon adolescence. je ne me rappelle même plus si j'avais lu la version courte ou la longue... Pour cette relecture après plus de 25 ans, ce sera donc la version longue. Stephen King est un conteur redoutable, capable de d'animer un petit théatre de personnages pendant plus de 1500 pages sans jamais se perdre ou connaître de vraie chute de rythme. Il s'essaye au genre pos-apocalyptique, imaginant un monde décimé par une souche expérimentale de la grippe. Passé la fulgurante épidémie, restent une poignée de survivants disséminés sur le territoire américain. Tous se mettent à rêver. Deux figures se détachent de ses rêves. Comme dans un yin-yang cosmique s'opposent Mère Abigaël et Randall Flagg. Autant Mère Abigaël semble rassurante, autant Randall Flagg, l'homme en noir, le promeneur, quel que soit lenom qu'on lui donne, incarne le malaise et la peur. Entre ces 2 pôles, le monde commence à se reconstituer.
Finalement assez classique dans son déroulement, le Fléau n'est certainement pas l'une des plus grandes réussites de son auteur. Il fait parfois preuve d'une certaine misogynie avec ses personnages féminins. Il a aussi une tendance à utiliser l'homosexualité pour insister sur le côté odieux de certains personnages (le caïd de Ca, ici le Kid qui tourmente La Poubelle). mais ce qui m'a surtout gêné, c'est le tour presque religieux de la dernière partie. A trop opposer le bien et le mal incarner par Mère Abigaël et Randall Flagg, il finit par tomber dans un manichéisme qui culmine dans un dénouement assez absurde. Comme toujours, la lecture est divertissante mais je ne pouvais ignorer ces aspects qui m'ont gâché la plaisir.

Même si sur certains points ma lecture fut pénible, j'avais quand même bien apprécié ma découverte du premier tome du "Fléau" de Stephen King. Puisqu'il m'avait fallu un peu de temps pour rentrer dans ce récit, j'ai profité que j'étais dans mon élan pour découvrir le second tome. Dans l'ensemble, je pense la même chose de la suite de cette aventure. le texte est lourd, assez pénible à suivre par moment et Stephen King a la fâcheuse tendance (comme c'est souvent le cas dans ses pavés) à plomber son histoire de descriptions et d'éléments que je ne trouve pas toujours utile même pour l'ambiance. J'ai donc eu beaucoup de mal à aller jusqu'au bout mais je me suis quand même attaché. Quand je regarde l'oeuvre dans son ensemble, malgré ses défauts, je trouve que ça reste quand même positif mais je regrette toutes ses longueurs surtout que le final à l'inverse me parait vite bâclé en ce qui concerne Randall Flagg ou même encore la mère Abigaël. Une lecture intéressante mais que je ne suis pas encore sûr de relire un jour.
Lien : https://lebazardevladdy.blog..

Après avoir beaucoup aimé le tome 1 (j'ai une édition coffret en deux tomes), je me suis plongé dans le tome 2 tout de suite.
Le tome 1 mettait en place beaucoup d'éléments mystérieux comme la mère Abigaël, l'homme noir, comment est-ce que les différents survivants vont s'organiser. Est-ce que l'humanité va pouvoir continuer ou bien la super-grippe n'a laissé qu'un sursis aux survivants, la natalité va t'elle perdurer.
Tous ces thèmes étaient intrigants mais ce deuxième tome 2 est pour moi mal équilibré. On passe beaucoup trop de temps dans le clan des gentils à témoigner de leur nouvelle organisation. On ne voit quasiment rien du clan de l'homme noir. L'histoire reprend un peu de peps quand des espions vont s'y infiltrer. Mais sur 790 pages de ce deuxième tome, cela arrive vers le milieu.

Les thèmes autour de la guerre bactériologique, notre mode de vie, le nucléaire, l'organisation en société vers lequel on revient toujours sont tous là et plutôt bien traité mais il y a ce ventre mou de 400 pages dans ce tome qui, au final, rend cette lecture bien longuette.

Voilà enfin arriver la fin de ce deuxième tome qui fu plutôt agréable à lire.

Nous allons continuer à suivre tout les personnages que nous avions rencontré dans le premier tome. Ils commencent à former des groupes, tous unis par les rêves qu'ils font de Mère Abigaël, une vieille femme noire, qui vit au fin fond du Nebraska. En parallèle de ça, on suit le « côté opposé », celui représenté par l'Homme en noir, qui réuni tout autant de personnes.
J'ai aimé qu'on retrouve de très longues descriptions tout au long du récit qui nous permettent de comprendre les émotions ressenties par les personnages. Et ça ne concerne pas seulement les héros, mais également ceux qui sont du côté de l'Homme en noir. Pour un peu et on comprendrait qu'ils aient envie de détruire ces Autres qui leur ont fait tant de mal par le passé.

J'ai passé de très bons moments de lecture, mais ce n'était pas pour moi un livre d'horreur, ce qui m'a ennuyer. Quand je lis du King, je veux frissonner et ce n'était pas le cas.
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