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Qu'est ce qu'elle est longue cette saga ! En même temps, c'est la version longue que j'ai lue, justement... Heureusement, ça va un peu plus vite sur la fin.
Mais bon, autant j'ai adoré le début, j'étais en totale communion avec les personnages, autant je me suis fatiguée au milieu et la fin n'a pas pu rattraper cela. Pourtant, je suis fan du King mais là, il y a eu un moment où je me suis enlisée et je n'ai pas pu m'en sortir.
Il faut quand même reconnaitre que c'est un bouquin carrément visionnaire par rapport à ce que l'on vit en ce moment. La seule différence, c'est le taux de mortalité. Quoique, si ça continue comme ça...
Bref, une bonne lecture même si je me suis fatiguée dessus, mais ce ne sera pas mon oeuvre préférée du King. Tout de même contente de l'avoir lue. Maintenant, j'attends l'adaptation télé qui doit sortir à la fin de l'année.

Pioche d'octobre 2020 choisie par Flaubauski
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Et voilà, c'est fini. Snif.

C'était tellement bien que je referme la dernière page avec le coeur lourd.

Je me sens comme dans ma jeunesse, à la fin de la colonie de vacances, quand il fallait dire au revoir à tous ces amis avec qui j'avais passé de si chouettes moments.

Le trio Stu - Tom - Kojak m'a particulièrement émue, belles démonstrations de fidélité, de loyauté, tout simplement d'humanité, envers et contre tout.

Quand j'avais lu cette saga j'avais moins de vécu, là ce trio a touché beaucoup de cordes sensibles, j'ai beaucoup aimé.

Je continue ce super défi, de lire/relire tout Stephen King, en étant déjà impatiente d'ouvrir le prochain...

Bonnes lectures à vous !
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Du Stephen King comme je l'aime : post-apocalyptique, horreur et trahisons sont au rendez-vous. On ne voit pas le temps passer à la lecture des 3 tomes, et ce dernier, est vraiment un feu d'artifice.
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Suite à un accident bactériologique la grippe la plus meurtrière de toute l'histoire de l'humanité s'échappe d'un laboratoire américain. 99.4% de chance de contagion. Une fois attrapée, c'est la mort assurée. La maladie se répand à travers tout le pays, les gens meurent par milliers. Bientôt, on ne se donne même plus la peine d'enterrer les cadavres. Mais un autre combat se prépare pour les survivants. La lutte du Bien contre le Mal a commencé ...

La relecture de ce copieux ouvrage a pris des allures de madeleine de Proust. L'ayant lu de nombreuses fois pendant ma période King mania, j'ai des tas de souvenirs qui y sont rattaché. C'est un brin nostalgique que je vous parle donc aujourd'hui du Fléau de Maître King.

Le livre s'ouvre sur une préface du grand Maître lui-même, nous expliquant les tenants et les aboutissants de la publication de la version augmentée. Lors de la première édition en 1978, le livre avait été amputé de 500 pages. En effet, à l'époque King n'était pas encore aussi connu et les coûts de production s'avéraient trop énormes en regard du prix auquel le livre pouvait être vendu. L'auteur dû donc couper dans le texte. N'ayant pas lu la version courte, je ne pourrais vous parler de sa qualité, en comparaison avec la version longue.

La première chose qui frappe dans ce bouquin, c'est la pluralité des personnages et des points de vue. de chapitre en chapitre, nous sommes transbahuté d'un personnage à l'autre, d'un coin des Etats-Unis à l'autre, autant du côté des méchants que de celui des gentils. Là où King fait fort c'est que les personnages, loin d'être superficiels comme on pourrait s'y attendre du fait de leur nombre, ont une psychologie fouillée, un caractère bien à eux, une évolution au cours de l'histoire. Ce qui nous les rend attachants bien sûr, et le sacrifice de certains sera rendu douloureux.

Le second point important est la prégnance de la thématique de la religion, du Bien et du Mal, de Dieu et du Diable. Si l'idée de la destruction de l'humanité par un virus mortel est bien sciencefictionnesque, le fantastique reprend le dessus dans cette lutte du Bien contre le Mal, personnifié respectivement par le personnage de Mère Abigaël et Randall Flagg. Si la première fait office de prophète, le second tiendra lieu d'antéchrist. le Fléau est un livre très manichéen, non par manque de finesse de l'auteur mais car c'est là tout le but de l'histoire.

King restant King, le Fléau comportera bien sûr son lot de scènes dérangeantes, crues et violentes.

Lien : http://ledragongalactique.bl..
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Et nous voilà arrivés au dernier tome, qu'on pourrait qualifier de feu d'artifice.
L'auteur sait ménager ses effets et nous laisser pantois à la fin de chaque oeuvre, et celle-ci ne fait pas exception à la règle.
Donc, prendre son élan avant de commencer, retenir son souffle, et tourner les pages. Finalement, ça passe très vite avec un tel maestro.
Il s'agissait pourtant d'une relecture, mais j'avais oublié quelques passages du livre, et puis nous ne traversions aucune crise sanitaire lors de ma première lecture. C'était de l'anticipation, quelque chose qui ne pouvait se produire.
Il va de soi qu'on voit tous les choses de manière différente maintenant et que ça donne une autre dimension à ce récit.
Espérons que Stephen King n'a pas été inspiré par Nosferatu et que ses romans ne sont pas prémonitoires.
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C'est terriblement long, voir éprouvant à certains endroits. Pourtant la magie King opère. L'histoire sans être exceptionnelle, fourmille de milliers de récits franchement intéressants, l'intrigue est subtile et ses ramifications étonnantes... Cette épopée post-apocalyptique qui mêle science, SF et ésotérisme, est une petite pépite qu'il est préférable d'appréhender en l'entrecoupant d'autres lectures afin d'éviter l'overdose... (Critique des trois tomes)
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Je sors de ce troisième tome du Fléau. J'en sors finalement assez mitigé.
Alors bien sûr l'histoire est foisonnante, prenante, bien racontée.
Mais que tout cela est long : il faut au final trois tomes et 1500 pages à Stephen King pour venir au bout de son récit.
Ce qui au fond me gène le plus c'est que dans se foisonnement de personnages, peu sont finalement attachants.
Reste quand même, pour ceux qui arriveront jusque là, cet excellent chapitre qui raconte la traversée des montagnes rocheuses. Il y a comme ça des pépites cachées dans le récit, mais elles sont malheureusement un peu perdues dans un sans fin d'histoires secondaires...
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Le fléau, tome 3 est très court par rapport au 2e, et donc il se lit très vite. C'est une sensation qui est accentuée par le fait que la conclusion de plus de mille pages s'achève dans ce 3e tome.

Moi qui avais du mal à m'attacher aux personnages en début de 1er tome, on peut dire qu'ici, j'étais bien accrochée. On subit quelques pertes qui, comme d'hab, ont un peu transpercé mon coeur. Mais à quoi pouvais-je m'attendre avec un King post-apo ? Ce à quoi je m'attendais par contre, c'est à une fin bâclée, voire carrément ratée, comme celle de Bazaar. Heureusement, elle n'était que bâclée. C'est fou, l'auteur n'hésite pas à nous parler pendant 1200 pages mais par contre, il expédie la fin de la guerre entre gentils et méchants en 25 pages, et a recourt à des procédés carrément sans profondeur (ou explication). Il faut simplement avoir la foi… Mouais.

En bref, j'ai beaucoup aimé, j'ai passé un moment intense avec la communauté créée après la grippe qui a dévasté le monde, malgré une fin manichéenne.
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Le troisième est pour le cas particulier car il s'avère que j'ai découvert son existence après avoir acheté le coffret où se trouvent uniquement deux livres. Je comptais donc le commander, mais par un heureux hasard, il s'avère que le tome 2 et 3 sont rassemblés dans le deuxième livre. Avec ses 304 pages, il clôture définitivement tout le côté chaotique créé par « L'Etrangleuse », cet étrange virus qui a coûté la vie à 90 % de la population. le tableau devient plus sombre, plus angoissant. On laisse tomber le confort, et on accueil la croisade et les sacrifices. Est-ce une sorte de rédemption ? Est-ce une manière de montrer que les plus vertueux et les plus humbles sont toujours ceux qui s'en sortent ? Mmm j'en doute quand même.
Mais une fois de plus, Stephen King m'a envoyé loin dans l'irréel, m'empêchant de refermer le livre. Et même fini, il a continué à me faire travailler. Les scènes sont remplis d'une certaines magies, et l'on voit que Randall Flagg perd le contrôle et perd des partisans. Mais pour autant il continu à se battre.
Et la fin… elle est parfaite.
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Sacré voyage, encore !
Et je ne suis que tristesse à devoir quitter toute cette petite bande.
Cette troisième partie est époustouflante.
Le Maître nous tient en haleine jusqu'au bout.
J'ai ri, et souvent presque pleuré. Comment fait-il pour que l'on s'attache autant à ses héros ?
Merci Mr KING.
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