Cette deuxième enquête du duo Kate Martinelli et al Hawkin est un peu décevante . Leur enquête au sujet de la mort d'un sans abris est très vite mise en arrière plan au détriment de la personnalité d'un suspect qui ne parle que par le biais de citations souvent incompréhensibles . le livre est de qualité inégale selon moi avec des parties assez ardues qui essayent de faire le lien avec le comportement très particulier du suspect et l'histoire proprement dite.
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Il me semble que quand on appelle quelqu'un par son nom de famille, c'est qu'on attend quelque chose de lui. Ou qu'on veut lui faire savoir qu'il est meilleur que vous.
Une Eglise qui n'est plus à l'écoute de ses paroissiens, un gouvernement qui agit la tête dans les nuages, un peuple qui s'éloigne trop de ses sources : le rire du Fou [en Dieu] sert à souligner la faiblesse de ces fondations ; le Fou cherche à sauver sa communauté en ayant l'air de la menacer. Le véritable ministère d'un Fou est de saper les croyances, de semer la graine du doute, d'obliger le peuple à voir la vérité.
Laurie R. King répond aux questions de Barbara Peters. 1/6
Non sous-titré.