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3,79

sur 380 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Stephen King m'a habitué à des pavés, et en un sens c'en est un puisque ce livre fait environ 700 pages, mais Rêves et Cauchemar est un recueil de nouvelles. J'avais adoré Brume, et je me suis donc plongé avec plaisir dans cette « suite », si j'en crois les notes d'introduction.

Si la plupart des nouvelles reprennent les codes de l'horreur qui ont fait le succès de l'auteur (situations banales de la vie quotidienne, puis lente montée d'un élément dérangeant, …), j'ai pu aussi le découvrir dans des genres inattendus. On a ainsi droit à une conversation plutôt émouvante entre un grand-père et son petit-fils sur le temps qui passe, un Dracula en pilote d'avion, et même une enquête de Sherlock Holmes tout à fait crédible.

Évidemment, dans un recueil, il y a toujours quelques histoires qui intéressent moins, mais j'ai été surpris de constater, en relisant la table des matières quelques jours plus tard, à quel point la majorité des récits ont laissé des images très nettes (et parfois très dérangeantes) dans ma mémoire.
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Rêves et Cauchemars est un bon recueil de nouvelles de Stephen King.

Je ne vais pas entrer dans le détail de chaque histoire, @davpunk à fait une consciencieuse critique avec un petit résumé (très utile) de chacune pour les plus intéressés.

Comme toujours avec le king il y a principalement du très bon et quelles nouvelles nettement moins captivantes.

Mention spéciale à la cadilliac de Dolan, le dentier claqueur, un groupe d'enfer et la dernière affaire d'Umney (la meilleure). Cela reste un avis personnel bien évidemment.

Je recommande cette lecture sauf aux âmes sensibles, certaines nouvelles sont éprouvantes.
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Ce fort volume de nouvelles est bien meilleur que "Brume, La Faucheuse". Les récits qu'on y trouve sont assez longs, comme souvent chez King, qui a besoin de temps pour camper ses personnages et créer autour d'eux un temps et un lieu fictifs. Ses récits seraient plutôt des "novellae", mot désignant, dans le cadre de la nouvelle, ce qui n'est pas assez long pour faire un vrai roman, mais pas assez court pour faire un conte ou un récit bref. le critère interne est, dans chacune de ces histoires, la convergence de tous les éléments vers un unique objectif, une fin frappante, le dévoilement d'une énigme. Ici, beaucoup d'histoires sont très réussies, disais-je, et je crois que cette réussite vient de ce que l'auteur évite la première personne du narrateur-héros. Quand il tombe dans ce travers, il devient bavard, diffus et se perd dans les détails, tout au plaisir de faire parler les personnages,créations de son esprit, avec verve, humour, et un pittoresque qui échappent totalement au lecteur francophone. Quand il opte pour la troisième personne, on voit son talent de conteur s'épanouir.
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Un recueil bien en chair : tout près de mille pages. Une sélection des plus variées : plusieurs thèmes horrifiques revisités de façon délectable (les amateurs de vampires y trouveront deux productions plutôt originales), du policier, un ou deux morceaux de littérature générale et quelques récits insolites assez inclassables que je trouve toujours bienvenus. C'est le cas du ''Grand bazar : finale''. Vers la fin du volume, il y a des pastiches en hommage à quelques auteurs dont Lovecraft avec l'excellent ''Crouch End'' et même une enquête de Sherlock Holmes. Bien de l'agrément donc. Ceci dit et en toute subjectivité, il ne m'a pas semblé avoir ressenti le même degré d'émerveillement que m'avait procuré la lecture du recueil ''Brume'', et ce dernier conserve ma préférence.
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Un très bon recueil de nouvelles du Maître. Bien-sur, il y en a une ou deux qui sont de qualité un peu inférieure mais les autres rattrapent le niveau.
Frissons garantis pour une lecture pas détente du tout.
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21 nouvelles. Certaines m'ont beaucoup plu, d'autres moyennement, d'autres pas du tout.
Mes préférées :
La Cadillac de Nolan : une histoire de vengeance terrifiante où l'on voit les ressources profondes d'un être humain lorsqu'il est motivé.
Le dentier claqueur : vengeance aussi mais sur un passé où le héros a dû souvent intérioriser sa rage.
Le doigt télescopique : un doigt surgit du trou de vidange du lavabo de notre héros, mais il est le seul à le voir. Je n'ai pas compris la fin. J'ai eu un embryon de réponse dans les notes de fin du livre.
Un groupe d'enfer : un Stephen King comme on en a l'habitude avec des morts-vivants sauf que là ce sont des stars.
La saison des pluies.
Mon joli poney : une très belle réflexion sur le temps qui passe.
Désolé, bon numéro : c'est un scénario
La tribu des dix plombes : une vision très ironique des fumeurs invétérés qui n'hésitent pas à se rassembler dans le lieu qui leur est toléré au prix d'une "mixité sociale".
La maison de Maple Street.
La dernière affaire d'Umney : une réflexion intéressante sur le métier d'écrivain qui mériterait un roman entier.
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"Rêves et Cauchemars" est un pavé très conséquent. King n'est pas connu pour être avare lorsqu'il s'agit de collecter des nouvelles parues à droite à gauche, et il le confirme avec ce recueil qui est (certainement) le plus gros de l'auteur, dépassant même le long "Brume" (je parle bien des recueils de nouvelles, pas des romans, qui peuvent largement dépasser le millier de pages...). Et en plus d'être un des plus longs, c'est assurément l'un des meilleurs.
Je ne reviendrai plus sur les introductions des recueils de nouvelles de Stephen King, qui sont interchangeables sans trop de problèmes. le bonhomme nous présente cependant ici quelques jolies images à-propos de la croyance temporaire d'un auteur ou d'un lecteur à l'histoire qu'il crée/lit. Cela donne une petite touche originale, qui convaincra le lecteur de lire les prochaines préfaces de King, qui ressemblent en temps normal à des radotements gâteux, répétant inlassablement la même chose. Vous pourrez me dire que de toutes manières, ce n'est pas vraiment l'essentiel du bouquin, la préface, et je vous dirai que vous avez bien raison. En plus, la suite, ça se gaaaave.
On commence avec "La cadillac de Dolan", une excellente entrée en matière. La nouvelle est assez longue, et développée très finement. On glisse peu à peu dans une aventure périlleuse, avec une fin forcément macabre (le postulat de départ ne laisse pas vraiment d'espoir quant à une fin lumineuse), et très prenante. le personnage principal est très bien présenté, dans un ton simple mais direct, veuf en quête de vengeance, s'attaquant seul à une mafia. On ne s'étonnera pas du rôle central de la cadillac, symbolique, tantôt bouclier, tantôt cercueil, étant donné l'angoisse curieuse et évidente que King manifeste aux objets mécaniques. Quelle étrange peur. Ca fait tout son charme.
"Le Grand Bazar: Finale" est une nouvelle très certainement enjouée, certainement un peu trop: même si le résultat final est agréable à lire, le comble est que c'est effectivement un grand bazar. Un peu le bordel, mais encore une fois, cela reste bon, et même si le contexte est encore une fois pesant, la nouvelle se démarque par un ton léger sur une bonne partie de l'histoire, ce qui rend la fin encore plus cruel (le début pou la fin d'ailleurs, le schéma narratif étant carrément explosé).
"Laissez venir à moi les petits enfants", c'est une nouvelle très courte, et mon dieu qu'elle est terrifiante. King vous glace en quelques pages, sur un thème qui me fait particulièrement peur, et qui en l'occurence est parfaitement maitrisé par King (globalement, King a exploité bien des facettes de l'enfance, qui est peut-être le thème qui lui est le plus cher). C'est terrorisant, une grande réussite.
La nouvelle suivante, nommée "Le Rapace Nocturne" est une sorte d'incursion très réussie dans le domaine policier, qui monte crescendo, la tension devenant de plus en plus palpable, jusqu'à cette fin destructrice, tout bonnement excellente.
"Popsy" est, sur le plan fantastique, dans la même veine que la nouvelle précédente, incluant la même créature surnaturelle, mais l'aborde de manière bien plus frontale, directe. C'est bien plus court, bien moins fin mais pourtant très efficace: ça fonctionne, le temps que ça dure. On avouera facilement sa haine pour le personnage principal (kidnappeur d'enfants pour les revendre dans un trafic immonde), et on ne cherchera pas vraiment à descendre cette histoire, qui se lit tout de même avec une facilité déconcertante. Rien de bien transcendant non plus.
"Ca vous pousse dessus" est apparemment un épilogue au très long roman "Bazaar", que je possède mais n'ai pas lu. Cela a certainement diminué mon intérêt pour la nouvelle. Certains points négatifs ressortent cependant facilement: c'est très confus, les personnages sont beaucoup trop nombreux. Ca fonctionne peut-être sur un roman, mais pas sur une nouvelle. En revanche, la qualité de l'écriture est superbe, King étant au sommet de son art, livrant des phrases à tomber par terre. Cela m'a fait penser à la magnifique nouvelle "Le raccourci de Mme Todd", non pas pour l'histoire (qui n'a strictement rien à voir), mais sur l'écriture fine, poétique, magique.
"Le Dentier Claqueur" est vraiment une très bonne histoire. Comme dans la nouvelle "Le Singe" (de "Brume"), King part d'un objet banal, un jouet, pour en faire un objet totemisé, intimidant. La différence primordiale entre les deux nouvelles étant que le dentier est plutôt bienfaisant à l'égard du héros de la nouvelle, qui est par ailleurs extrêmement attachant. Très honnêtement, c'est une des meilleures nouvelles du recueil, se démarquant par un récit fluide, extrêmement original. La tempête de sable, l'auto-stoppeur flippant, et Scooter, proprio du bouiboui, clairement pathétique, inspirant une pitié instantanée.
"Dédicaces" reste sur le même niveau d'exigence, étant une nouvelle excellente. Avouons que King développe ici quelques extraits d'horreur pas vraiment fin (c'est du dégoût), mais offre une histoire au final bien tordue, mais passionante. Vraiment top. On a bien du mal à ne pas la lire d'une traite cette nouvelle, prévoyez donc un peu de temps si vous comptez la lire...
"Le doigt télescopique", c'est un scénario ridicule, de l'absurde horrifique pur et dur. On se demande ce qui s'est passé dans le tête de King à ce moment-là, mais encore et toujours, ça marche. C'est efficace et une nouvelle fois terrifiant, notamment à cause de ce côté ubuesque, incompréhensible. C'est véritablement un délire traumatisant, dont certaines images ne vous quitteront pas avant un petit moment. Pour ma part, je l'ai lu un soir à minuit, et n'ai pas vraiment été serein au moment d'aller boire un coup, à mon lavabo...
"Pompes de basket", je ne vais pas vous mentir, je l'ai trouvée nulle. Mais alors vraiment nulle. J'ai été très surpris, car vous l'aurez compris, le niveau de ce recueil est vraiment excellent. Mais là, je n'ai pas grand-chose à vous dire. La fin est prévisible dès le moment que l'intrigue est installée, les personnages sont caricaturaux, énervant, et l'histoire est sans intérêt. Une petite déception.
"Un groupe d'enfer" est une nouvelle pas mal, brillant par une excellente introduction (la dérive du couple le long de routes désastreuses, inquiétantes, est juste parfaite). le plot en lui-même n'est pas top, et flirte avec l'humour, parfois volontairement, parfois à ses dépends. Cela reste extrêmement agréable à lire, mais ce ne sera pas cette nouvelle qui vous marquera durablement.
La nouvelle suivante s'est déjà imposée par le lieu qu'elle emprunte: Little Tall Island, théâtre du tragique et machiavélique scénario "La Tempête du Siècle", superbe par ailleurs. le synopsis de cette nouvelle singulièrement entrainante ne brille pas par son ingéniosité, puisqu'il ne parvient pas, d'ailleurs, à convaincre au départ (les différents points de situations géopolitiques auraient clairement du être oubliés, car il sonne terriblement faux). Mais peu à peu, la sauce prend, l'atmosphère se pose, et il y a la scène du cimetière de Little Tall Island. Puis des explications sur les évènements récents ayant touché la narratrice. Là, on est putain de convaincu. C'est bon, on est dedans, on se fait plaisir, et on déguste (véritablement!) ce récit à l'atmosphère si travaillée, si baignée par cette aura superbe du King.
Chef-d'oeuvre s'il en est, "La saison des pluies" se démarque de ce recueil pourtant si enthousiasmant. Parfaite du début à la fin, c'est réellement un REGAL de lire cette nouvelle. Maitrisée de bout en bout, avec des personnages récoltant une adhésion immédiate et une atmosphère écrasante, absurdement épouvantable, elle présente un "rituel" terrible, qui marquera le coeur et l'esprit, symbiose de la peine et de la folie. Je le répète: un chef-d'oeuvre, et je pèse mes mots, soyez-en conscients. Je vous assure que vous vous souviendrez longtemps, très longtemps de Willow.
"Mon Joli Poney" est une nouvelle somptueuse, non-horrifique, écrite avec un géni déstabilisant, particulièrement perceptible dans les nombreuses comparaisons utilisées, sorties de nulle part mais sonnant toujours justes. C'est magnifique, l'écriture et le propos sont fascinants, et une fois encore, on aura des sentiments bien tendres, bien trop réels pour ce grand-père que l'on connait de manière émue. Un grand bravo, donc, pour cet exercice d'écriture qui en bouche un coin à la plupart des détracteurs de KIng. Que quelqu'un affirme que "King n'a pas de style". Qu'il essaye, tiens.
On trouvera peut-être "Désolé, bon numéro" d'un niveau moindre. Si une fois encore les personnages sont immédiatement touchants, il manque selon moi un intérêt flagrant à cette histoire cyclique, basée sur pas grand-chose. Je regrette surtout le caractère prévisible de ce petit scénario: le lecteur féru de fantastique en général, ou bien celui qui a feuilleté un bon Palahniuk sera coutumier du thème, et surtout la manière dont il est abordé, et ne sera surpris en rien par la fin de l'histoire. J'ai lu dans d'autres avis, extrêmement convaincants par ailleurs, que cette nouvelle a globalement plu. J'ai envie de dire: tant mieux; cela ne m'empêche cependant pas de l'avoir trouvée au mieux banale.
"La Tribu des Dix Plombes" fut pour moi la grosse déception de ce recueil, puisqu'elle était la seule nouvelle dont on m'ait vanté des louanges avant l'achat du recueil. On ne m'avait pas dit du mal du reste, ça non, on ne m'en avait simplement jamais parlé. Par contre, la tribu des dix plombes, on m'a carrément dit que c'était une des meilleures nouvelles de Stephen King, une des plus réfléc hies, une pensée sur les changements que subit l'Amérique. Alors calmons-nous dès à présent, si réflexion il y a, elle reste sommaire, le combat des héros contre les batmans étant, on l'a bien compris, une allégorie pas vraiment "fine". Et l'histoire en elle-même, très enthousiasmante au début, devient très vite chiante pour un bout, et redicule pour l'autre bout. Tout se passe beaucoup trop vite, il y avait certainement matière à novella (roman, certainement pas!). On reste en surface, on ne s'attache pas beaucoup aux personnages, le sujet ne prend pas vraiment: j'en suis ressorti carrément déçu. Elle se trouve très en recul du reste du recueil, même si le postulat de base était très alléchant.
"Crouch End" était fantastique. Un grand coup de pied au cul lovecraftien (King ne s'en cache pas une seconde, et cela aurait été difficile pour un récit mentionnant littéralement les noms impies des Dieux Anciens) qui chamboulera un paquet de lecteurs, tant il se trouve cruel et brutal. Les personnages sont ici pour être confrontés à des choses qu'aucun humain ne devrait voir, et se retrouvent bien désespérés face aux angles bizarres du Crouch End apocalyptique par intermittence. Un très, très bon récit, donc, qui marquera durablement. J'aimerais d'ailleurs énormément me plonger dans un roman prenant place à Crouch End, il y a tant à y faire...
La nouvelle suivante, "La Maison de Maple Street" est très jouissive, et on comprend au vu des notes de Stephen King qu'elle l'a été tout autant à l'écriture qu'à la lecture. le scénario est réellement bizarre, déstabilisant d'un premier abord, mais complètement efficace; et ce, grace au talent qu'a Stephen King pour décrire les enfants et ce qui trotte dans leurs têtes. Très bon, donc.
Pour "Le Cinquième Quart" et "La dernière affaire d'Ummey", je n'ai pas grand-chose à dire, les nouvelles étant assez bonnes dans le genre mais ne s'élevant pas au rang d'autres récits qui parsèment le bouquin. Enfin, tristement, je n'ai pas lu "Le docteur résout l'énigme", maintes fois vantée sur internet et ailleurs, n'ayant pas eu la motivation de me mettre dedans, le pavé énorme qu'est Rêves et Cauchemars étant depuis bien trop longtemps en cours de lecture, j'ai eu envie de passer à autre chose.

En conclusion, vous avez ici un des recueils de nouvelles les plus abouti de Stephen King, qui excelle à nous faire rêver et réfléchir. Mêlant divertissement pur à réflexions sur soi-même, ce livre est à lire d'urgence. Il est en plus long, et vous permettra plus d'une vingtaine de fois un trajet en métro... Surprenant.
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ous aimez les gros pavés? Vous aimez Stephen King? Alors ce livre est pour vous : presque 1000 pages ! Mais, rassurez-vous, on peut le lire en plusieurs fois puisqu'il est composé de 22 histoires indépendantes.

C'est ce que j'ai fait. Une histoire de temps en temps...

La première intitulée "La Cadillac de Dolan", je l'avais déjà lue il y a 6 ans et, bizarrement, je m'en souvenais assez bien. Un homme se venge sur celui qui a fait tuer sa femme. Et comme la vengeance est un plat qui se mange froid, elle a lieu 8 ans après l'accident qui lui a fait perdre son épouse.

La deuxième s'intitule "Le Grand Bazar : finale". Dans cette nouvelle, le héros tente de répandre, dans le monde, une "eau-de-vie" qui rend pacifique.

Dans "Laissez-venir à moi les petits-enfants", une vieille institutrice se transforme subitement en meurtrière...

J'ai abandonné "Le Rapace Nocturne" à la moitié : je n'y ai pas compris grand-chose !

"Popsy" est une nouvelle fantastique d'enlèvement d'enfant.

"Ça vous pousse dessus", la nouvelle suivante, je n'ai quasiment rien compris !

Puis vient "Le dentier claqueur" ou comment un jouet peut se révéler vivant.

Ensuite, "Dédicaces" explique comment on peut avoir deux pères...

Imaginez qu'un jour, un doigt sorte de votre évier, garderiez-vous la tête froide? Dans la nouvelle "Le doigt télescopique", le héros en perd la boule !

Dans "Un groupe d'enfer", un couple en vacances s'égare au milieu de nulle part. Ils aboutissent dans une ville fantôme où "vivent" des anciennes stars du rock décédées des années plus tôt ! Panique à bord !

Une histoire de zombies dans "Accouchement à domicile".

Que faire lorsqu'on vous annonce qu'une pluie de crapauds va recouvrir la ville la nuit suivante? Réponse dans "La saison des pluies".

J'ai abandonné en route "Mon joli poney" ne voyant pas où l'auteur voulait en venir.

Ecrit comme un scénario, j'ai beaucoup aimé "Désolé, bon numéro" !

Dans "La tribu des dix plombes", Stephen King envoie ses lecteurs à la recherche des batman. Une longue nouvelle.

Un homme disparait de façon très étrange dans "Crouch End". Sa femme raconte une histoire abracadabrante à la police.

Dans "La maison de Maple Street", nous avons affaire à un phénomène inexpliqué : la maison se remplit de métal. On peut l'apercevoir à travers les fissures qui se créent. Dans la cave, un compteur. le compte à rebours a commencé...

Règlements de comptes entre bandits dans "Le cinquième quart".

Stephen King fait revivre Sherlock Holmes et Watson dans une nouvelle policière : "Le docteur résout l'énigme". Sur ce coup, Watson est le plus malin !

Un homme se retrouve face à lui-même, mais beaucoup plus vieux, dans "La dernière affaire d'Umney".

Et me voilà au bout des 1000 pages de ce recueil qui ne m'a pas enthousiasmé plus que ça. le titre est mal choisi; je m'attendais à autre chose !
Lien : http://phildes.canalblog.com..
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20 nouvelles du maitre celà se savoure snas modération ! Surtout que la qualité est au rendez vous avec la quantité donc on se regale la elcture et le changement d'univers à chaque nouvelle est tres rafraichissant ! un superbe ouvrage !
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comme d'hab toujours aussi habile et inventif dans l'art de la nouvelle
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