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Citations sur Sleeping Beauties (167)

Internet est une maison brillamment éclairée, au-dessus d'une cave sombre au sol sale. Les contre-vérités y poussent comme des champignons. Certaines sont savoureuses, beaucoup sont vénéneuses.
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[petite précision pour celles/ceux qui sont habitués à mes partages de citations parfois/souvent drôles, ici ce n'est pas le cas, ce sont les pensées d'un violeur multi-récidiviste]

Quel mal y avait-il à peloter une nana ici ou là ? Ah, nom d'un chien, jadis, si vous ne mettiez pas une main aux fesses à une serveuse, elle était déçue ; et si personne ne sifflait une femme dans la rue, elle se demandait pourquoi elle s'était donné la peine de se faire belle. Elles se faisaient belles pour se faire draguer, c'était un fait. À quel moment la gent féminine avait-elle changé du tout au tout ? Sous le règne du politiquement correct, vous ne pouviez même plus faire un compliment à une femme. Et donner une tape sur les fesses ou palper un nichon, qu'était-ce donc, sinon une forme de compliment ? Il fallait être vraiment idiot pour ne pas comprendre ça. Si Don pinçait les fesses d'une femme, ce n'était pas parce qu'elles étaient moches. Il le faisait parce que c'était un cul de qualité. C'était pour rire, voilà tout.
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Les gens aimaient leurs animaux domestiques, souvent avec une franchise qu'ils s'interdisaient envers les êtres humains.

Quel terme emploierait un psy ? Déplacement ? L'amour n'était pas une chose facile. Frank savait seulement que les personnes dont il fallait réellement se méfier dans ce monde étaient celles qui ne pouvaient même pas aimer un chien ou un chat.
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Sleeping beauties de Stephen King

Ou comment faire d’une bonne tambouille de l’eau de boudin …
Une grande déception uniquement pour la fin qui me laisse sur la faim et qui me fait dire « Et quoi ? Tout ça pour ça !!!
Pourtant tout y était. Il y avait de bons ingrédients dont certains étaient cuits à feu vif et d’autres qui mijotaient. Mais même si la sauce avait prise … le résultat me laisse un gout fade, une recette qui n’aboutit pas. Je m’attendais à un final que j’aurais pu déguster comme un fin dessert et à la petite cuillère, mais ce ne fut qu’une louche de choux de Bruxelles non cuits …Vraiment dommage.

Bref,... l’histoire
Dans le monde, en commençant par l’Asie, les femmes s’endorment et se font envelopper dans un cocon d’une matière inconnue. Leur enlever ce cocon est extrêmement dangereux pour celui qui essaye de le retirer. Et elles ne se réveillent plus.
Une petite ville américaine du Maine (beh oui, on est dans du Stephen King…) est aussi atteinte et le sort du monde se jouera-là.
Une femme étrange (Evie Black) s’y fait arrêter et conduire en prison après avoir tué deux hommes. C’est la seule qui puisse se réveiller comme si de rien n’était et évidemment, elle possèdent quelques pouvoirs.
Clint, le médecin psychiatre de la prison veut la protéger à tout prix (à la demande d’Evie) car celle-ci est la clé pour sauver le monde tel qu’il est.
Y parviendra-t’il ?
Le veut-il seulement et ainsi retrouver sa femme qui dort ?
Y arrivera-t’il contre une frange de la population de la ville qui attaquera la prison en vue de disséquer cette sorcière qui sait se réveiller ?
Et que deviendrait un monde sans femmes ?
Et qui est cette Evie Black ?
Et que, et qui, et quoi !!!

Ce roman pose donc une bonne question d’un monde sans femmes. Il y a une belle ambiance de fin de monde, surtout mentalement, L’histoire se suit bien, avec quelques retournements de situation avec quelques bonnes idées … mais cela n’en fait pas un bon roman pour autant…à cause de cette fin en demi teinte, avec un manque quasi total de réponses
Dommage car je m’attendais a un final en feu d’artifice et ce n’est qu’un pétard mouillé
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« Tu ne peux pas ne rien avoir à foutre d’un carré de lumière »

Reese Marie DEMPSTER, détenue matricule 4602597-2
Centre de détention pour femmes de Dooling
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La prison n'avait pas beaucoup de qualités, mais une fille comme Ree était peut-être plus en sécurité entre ces murs. Au-dehors, elle traverseront sans regarder. Ou elle vendrait de la came à un agent des stups qui avait pourtant la gueule de l'emploi. Ce qu'elle avait fait.
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Il prit la direction de chez lui en boitant car quand on est blessé et abattu, on rentre chez soi.
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- La grande question toujours demeurée sans réponse et à laquelle je n'ai pas encore pu répondre, malgré trente années de recherches sur l'âme féminine: Que veut une femme ?
- Freud, oui. Le pionnier de la psychanalyse. Vous avez lu des choses sur lui ?
- Je pense que la plupart des femmes, si vous leur posiez cette question et si elles répondaient honnêtement, vous diraient que ce qu'elles veulent, c'est faire une sieste. Et peut-être aussi des boucles d'oreilles qui vont avec tout, ce qui est impossible, évidemment.
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Mais, en vérité, y avait-il un moment où les hommes n'avaient pas été déconcertés par les femmes ? Elles étaient la magie dont ils revaient, et parfois leurs rêves étaient des cauchemars.
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La maison d'un homme était son château, d'après le dicton, et dans la paire de chromosomes XY était gravée la croyance selon laquelle chaque homme était un roi et chaque femme sa servante.
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