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3,52

sur 691 notes
Ce livre là est passé devant d'autres de Stephen King que j'ai encore en réserve. Peut-être parce qu'il l'a écrit avec son fils, Owen King et surtout que le sujet me paraissait fort intéressant.

Vous savez ce conte où la belle est endormie et doit être réveillée par un prince charmant? Et bien ici toutes les belles s'endorment de part le monde et ne doivent SURTOUT pas être réveillées, car celui qui s'y risque le regrettera amèrement voire définitivement.

Imaginez donc un monde sans femme. Pas très difficile à visualiser en fait. Car sans leurs mères, leurs filles, leurs épouses, les mâles son t perdus, déboussolés, et très en colère ( bah oui, qui va s'occuper des gosses, de la cuisine, des courses, du repassage ? )

Alors ils vont faire ce qu'ils savent faire le mieux, chercher un coupable et faire parler les armes. Parce que pour eux qu'une seule femme, Evie, reste éveillée c'est qu'elle a forcément quelque chose à voir avec cette catastrophe.

Je dois dire que je me suis régalée tout au long de ma lecture....La déconfiture des hommes complètement démunis sans leurs femmes, la façon dont ils gèrent la situation avec violence et tellement d'amertume qu'ils sont capables des pires horreurs me conforte dans ma façon de penser. Un monde sans femme serait voué à la destruction en très peu de temps en fait. Les femmes apportent un équilibre, et Stephen et Owen King le démontrent parfaitement.

Le maître reste le maître, avec son fils ou sans et même si parfois ses écrits ont un peu faiblis à mon gout, il reste un de mes auteurs préféré.



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12e livres aboutie de @stephenking #sleepingbeauties, le choix du #clubdelecturedestephenking sur facebook.

Clinton NORCROSS psychiatre, as préféré un poste a la prison de femmes de DOOLING que les problémes existentielles des habitants de cette ville, il se sent proches des ses prisonniéres, ils arrivent a leur accorder un suivi et a entreprendre un vrai travail de psychotherapie avec chacunes d'entre elles, certaines on besoin de médicaments, mais d'autres juste de conseil et d'attention et surtout de confiance en soi.

L'épouse de Clinton est shérif de cette petite ville, et un appel au 911, interpelle la standardiste Linny Mars, une femme Tiffany Jones as assistée a un double meurtre et est complétement effrayée de ce qui peut lui arriver, une équipe se rends sur place, pour inspecter les lieux des crimes, pendant que la jeune femme se repose dans la voiture banalisée.

Pendant ce temps la, Lilas, le shérif patrouille dans la ville et tombe sur Evie, justement la femme qu'accuse Tiffany des deux meurtres, Lilas l'emméne directement a la prison, elle veut que son mari l'as vois, car une femme qui assasine, de sang froid, deux hommes, elle as vraisemblament besoin'une analyse psychiatrique.

Les résidents de cette charmante bourgade qui comporte 14000 femmes et encore plus d'hommes, sont horrifiées devant l'étendue d'une épidémie, qu'on appelle "la fiévre Aurora" uniquement les êtres de sexe feminin, s'endorment, et leurs visage et leurs corps s'entoure d'un sorte de cocon, et si on essaye de les secourir en le découpant, elles sont pries de folies meurtriéres, pour le moment cela se passe loin de chez eux.

Mais quelques heures plus tard, Tiffany, s'endorma et le fameux cocon l'as recouvra, et trés trés vite le petit hopital était submerger, les petites filles et les bébé de sexe feminin, en était atteinte.

Toutes les femmes qui n'étaient pas encore prise par ce fléau, achetaient tout ce qui étaient suceptible de pas les faire dormir, les restaurants, les bars restaient ouverts, et ces êtres étaient a l'affut de tous, elle hésitaient pas prendre de la drogue et tout excitant qui pourraient les sauver.

Une seule femme est arriver a dormir et s'est réveiller, fraiche comme une rose est Evie, qui avait probablement un don, elle parlait au rat, et étaient a ses ordres, elle as pu requisitionner un téléphone a un gardien.

Avec Clint, ils décidérent, de mettre en route, une sorte de pacte, si il arrivait a la protéger de la population, les femmes pourrait si ellles le voulaient revenir dans ce monde.

Mais ce que personne savait, c'est que ces femmes sous le cocon, avait investi un monde de femmes, ou aucun hommes pourrait leur faire du mal est ce qu'elles vont vraiment accepter de revenir dans ce mondes d'hommes ? Ou elles ont étaient que des choses sans importance, ou peut être cette épidémie feras comprendre aux hommes du monde entier que les femmes doivent considérées comme des diamants bruts ?

Stephen KIng et son fils Owen nous ont pondu un incroyable roman ou on parle de la cruauté des hommes, et le sujet principal est est ce que les femmes seraient plus heureuse sans ou avec les hommes ? Mais les auteurs tournent cette hsitoire, d'une maniére qu'elles gardent totalement leurs libre arbritre, il y a beaucoup de personnages, et chacunes de ses prisonniéres est trés émouvantes, on parle bien sur de la condition féminine en prison mais pas que de l'infidélité, comment les hommes traitent en général les femmes et si ils avaient le choix est ce qu'ils changeraient leur maniére de faire au risque de les perdre a jamais ?

J'ai eu un énorme coup de coeur pour ce récit ou on plonge avec beaucoup d'émotion dans ce livre déjà pour cette épidémie, on se dit, comment ça va finir, et au fil des 825 pages, on découvre de nouveaux épisodes, de cette petite ville, le côté psychiatrique du livre donne encore plus de sens a l'histoire et une profondeur, la partie fantastique qu'affectionne particuliérement le maitre donne un autre aspect du sujet, et on rentre pratiquement tout de suite dans l'histoire, Evie est evidemment le fil rouge, mais on apprends peu a peu des élements sur sa personnalité, et franchement ça donne encore plus de mystére et de suspens.

Il faut vraiment pas passer a coté de ce formidable livre, les auteurs nous offerts nous les femme une véritable lecon de vie que quoi qui se passe, on es en droit de choisir l'existence qu'on souhaite, et ne pas subir les choix de nos partenaires masculins.
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Beaucoup trop de personnages, énormément de longueurs n'apportant pas d'intérêt à la lecture ; j'ai terminé ce roman en survolant les dernières pages.
Cette lecture me confirme qu'il vaut mieux que je m'en tienne aux 1ers romans écrits par Stephen King, les derniers ne sont plus du tout du même acabit : pas de frissons, pas d'addiction, pas d'empathie. Quelle déception !
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Une intrigue noyée dans la psychologie des personnages et des détails inutiles.
L'histoire de ce roman ressemble « à un sort jeté par une sorcière dans un conte de fées », en l'occurrence « La Belle au bois dormant ». Evie, la seule femme capable de s'endormir et de se réveiller sans être enveloppée d'un cocon est un être surnaturel (certes un peu inquiétant) doté de pouvoirs – elle est télépathe et commande à une armée de rats comme le joueur de flûte de Hamelin. Comme dans tout conte, d'autres animaux interviennent tels que le renard (sorte d'émissaire à la manière de celui du Petit Prince) et le tigre blanc, tandis que le serpent, associé à un « arbre fabuleux » évoque sans conteste le célèbre épisode de la Bible. Rien de très original donc, les allusions sont même un peu grossières et donnent au récit une dimension onirique étrange qui ne semble rien y apporter.

En réalité tout le roman est comme ça : creux. Pendant des centaines de pages, les hommes constatent, impuissants, l'endormissement de leurs femmes et de leurs filles, tandis que celles-ci luttent en vain contre le phénomène. Les personnages sont très nombreux, et l'intrigue est diluée dans leurs petites histoires personnelles sans que cela ait un quelconque intérêt. On se demande même s'il existe une intrigue, parce qu'en réalité il ne se passe pas grand chose dans ce « monde devenu fou » aux allures apocalyptiques. La 2e partie, révélant ce que sont devenues les femmes endormies, relancent l'intérêt. Et puis à nouveau on se perd dans le futile, les scènes se répètent et l'action ne fait aucunement avancer la résolution du mystère.

Ce qui m'a fait poursuivre ma lecture malgré tout, c'est la question de la condition féminine inhérente à l'histoire. Que serait un monde sans femmes ? Et un monde sans hommes ? Dans la petite ville de Dooling comme partout dans le monde, beaucoup de femmes sont victimes de sexisme : « Elles se faisaient belles pour draguer. », « Ce truc, c'est le syndrome prémenstruel puissance dix. », « Toujours trop chaudes ou trop froides, c'était ça les femmes. », etc. Beaucoup sont soumises à des maris qui étouffent leurs ambitions, les cantonnent à des rôles de mère et ménagère, imposent leurs exigences personnelles et sexuelles (« Derrière beaucoup de jolies femmes qui voulaient trafiquer leurs visages parfaits, il y avait de sales enfoirés qui n'étaient jamais satisfaits »). Don et Franck sont les deux emblèmes de cet avilissement : l'un abuse sexuellement des détenues dans la prison où il est gardien, l'autre est un homme colérique capable de violence conjugale (et qui fait peur à sa fille). Si Don est un authentique salaud, Franck culpabilise et se repentit. Mais pour combien de temps ?

Car si les hommes paniquent de voir disparaître la gente féminine (« Qu'en sera-t-il de la race humaine dans cinquante ans, si les femmes ne se réveillent pas ? »), l'inverse (des femmes qui se retrouvent sans hommes) ressemble davantage à un soulagement. Sans dévoiler ce que deviennent les femmes endormies, on peut dire que celles-ci vivent une sorte de « renaissance », pouvant enfin « être ce qu'elles ont envie d'être ». Tandis que les hommes, désoeuvrés, endeuillés, s'entre-tuent, les femmes profitent de la disparition de « prédateurs » et de « pédophiles » dans un monde où « personne ne les traitait comme des citoyennes de seconde zone » (« Tu ne peux pas comprendre. Tu es un mec. »). Mais soyons honnête : il y a aussi toutes celles à qui époux, père et fils manquent (« Je veux mon papa ! »).

Dès lors, est-il possible d'envisager « un monde meilleur que l'ancien dirigé par les hommes » ? « Quelque chose de nouveau et de beau, avec des hommes meilleurs, à qui on apprendra à se connaître » ? « Recommencer de zéro » avec des hommes « qui promettaient de ne plus jamais lever la main sur leurs femmes et leurs enfants » ? Combien de temps tiendraient leurs promesses ? Et les femmes, « apprivoisées par des générations de servitude », ne s'empresseraient-elles pas « de retrouver leurs chaînes » ? Sans compter leur part de violence à elles aussi... Peut-on vraiment affirmer qu'un « monde recréé par des femmes avait une chance d'être plus sûr et plus juste » ?
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Un monde où les femmes s'endorment et disparaissent sous un épais cocon.
Un monde où les hommes se livrent aux pires horreurs et se révèlent tels qu'ils sont.
Un monde d'hommes et de chaos, d'alcool et de violence.
Un monde de femmes où tout est à reconstruire.
Quel serait votre choix?

Dans ce nouveau roman de Stephen King, co-écrit avec Owen , son fils, on retrouve l'univers du "maître" : de la violence, du fantastique, une pincée de vulgarité.
Le gros bémol de ce pavé, et sur ce, je rejoins beaucoup de Babeliautes, c'est sa longueur et sa multitude de personnages. On peine à en voir le bout.
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A la fois roman de science-fiction et critique de la société, spécifiquement américaine certes mais aussi plus généralement « masculine », ce livre rappelle « Dôme » ou d'autres Stephen King SF (et pas fantastiques) mais aussi certains romans de Barjavel, très pessimistes mais comptant sur la reprise en mains du monde par des rescapés assagis... Je l'ai en tout cas dévoré.
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Je n'ai pas pour habitude de pratiquer la langue de bois et ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer, après tout je ne suis inféodé à aucune maison d'édition ni à aucun auteur, comme dirait l'autre « vous n'aurez pas ma liberté de penser« , et j'ajouterai que je ne me priverai pas d'exprimer haut et fort le fond de ma pensée.

En me lançant dans ce bouquin j'attendais un grand WAOW, je quitte le referme sur un petit HMOUAIS très mitigé. Si je devais résumer mon sentiment en un seul mot ce serait DECEPTION. Pas parce que le bouquin est une sinistre daube (faut pas déconner non plus, on parle de Stephen King), mais parce que j'espérais beaucoup de son pitch… Trop sans doute.

Un chiffre pour commencer : 15 jours. C'est le temps qu'il m'a fallu pour venir à bout du roman, autant dire qu'un tel délai pour achever un Stephen King c'est du jamais vu chez moi. Certes c'est un pavé (plus de 800 pages), mais si j'avais été inspiré par l'intrigue je l'aurai bouclé en quelques jours.

C'est la (longue, très longue) première partie du roman qui justifie ce sentiment mitigé. J'aime les romans dans lesquels l'auteur prend le temps de poser le décor, les personnages et l'intrigue, mais là il y a de réelles longueurs. Je n'irai pas jusqu'à dire que j'ai été tenté de laisser tomber ma lecture en cours de route, mais j'ai souvent ressenti le besoin de faire une pause avant de m'y remettre.

Dans leur note de fin, les auteurs disent que le premier jet du roman était beaucoup plus long que sa version finale, j'ose à peine imaginer ce que ça pouvait donner. Pas sûr que j'aurai tenu le coup jusqu'à la fin du roman, déjà là j'estime que cette première partie aurait gagné à subir encore quelques coupes franches (à elle seule elle représente déjà plus de la moitié du bouquin).

Heureusement Stephen et Owen King évitent le naufrage avec une seconde partie menée à un rythme endiablé et à l'issue incertaine jusqu'au final.

Une courte troisième partie vient conclure le roman.

Un retour au fantastique pur et dur que les inconditionnels de Stephen King attendaient de pied ferme, d'autant que l'intrigue pouvait se targuer d'un riche potentiel mettant la gent féminine à l'honneur. Dommage que le plaisir soit partiellement gâché par cette première partie mal dosée et mal gérée.

Pour terminer cette chronique sur une note positive, je tire mon chapeau aux auteurs qui réussissent à proposer une intrigue mettant en scène de nombreux personnages sans jamais embrouiller le lecteur.
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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C'est une fable : que serait un monde sans femmes ? Réponse simpliste et assez ennuyeuse. Comme pour "Rose Madder", la première partie est passionnante et la seconde, quand le fantastique prévaut, assez faiblarde. En particulier la très longue partie consacrée à l'assaut de la prison : les violences s'enchaînent et le lecteur s'accroche pour savoir qui est qui et qui est où. Je ne dis pas qu'il n'y a pas quelques jolis morceaux de bravoure qui émergent mais l'ensemble est fastidieux. de même, si le sommeil des femmes et le cocon (insubmersible) qui les enveloppe sont des trouvailles intéressantes, le reste du fantastique, l'arbre, les papillons le tigre, le serpent et le renard, sans parler du personnage d'Evie m'on laissé froid. Enfin, le retour à la normale est décevant.
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Une couverture superbe et une 4e de couverture intrigante qui font clairement référence à une version de la belle au bois dormant revisité par un des maîtres du fantastique et de l'horreur et son fils.

Malheureusement, le contenu n'est pas à la hauteur du contenant.
Il aurait sans doute pu l'être si le livre avait été plus court… beaucoup plus court. Non pas que les pavés m'effraient, mais là j'avoue avoir hésité à abandonner ma lecture en cours de route et n'ai finalement été au bout des 832 pages qu'en en lisant une partie en diagonale… le tout sans avoir eu l'impression d'avoir raté grand-chose, voire même d'avoir donné du rythme à l'histoire.

Car si l'intrigue avance, c'est à la vitesse d'une tortue arthritique, le tout perdu au beau milieu d'une pléthore de personnages dont certains sont clairement de trop. Résultat : difficile de s'attacher rapidement à certains d'entre eux, même si bon an mal an, on finit quand même par y arriver.

Bref, une petite déception.
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J'avais lu plusieurs avis mitigés concernant ce titre, j'avais un peu peur de ne pas accrocher… Et contre toute attente, j'ai adoré !

Au début, l'histoire m'a fait penser à la crise sanitaire actuelle : Aurora, telle que l'on appelle cette maladie qui touche les femmes, se déclare en Australie. Aucune chance qu'elle n'atteigne le Maine ! Et bah… si !

Ensuite, j'ai surtout été intriguée par cette maladie. Pourquoi seulement les femmes sont touchées ? Qu'est-ce qui provoque cette maladie ? Les femmes vont-elles se réveiller un jour ?

Ce roman est surprenant, tant par l'histoire que par les messages qu'il véhicule.

On suit à la fois les hommes, perdus sans leurs femmes, décidés à s'emparer de cette Evie (la femme qui n'est pas atteinte par la maladie), quitte à la tuer. Et en parallèle, on suit toutes ces femmes qui se réveillent dans une sorte de lieu parallèle. Là, elles peuvent créer leur monde, loin de la violence des hommes. Voudront-elles revenir à leur vie d'avant ?

Stephen et Owen King rendent un bel hommage au sexe féminin, en dénonçant les violences dont les femmes sont victimes, et en dénonçant aussi certains comportements masculins.

Ce roman est un beau gros pavé de plus de 800 pages, et je dois avouer que je me suis sentie un peu découragée vers la fin. le livre comporte énormément de personnages et de narration. Néanmoins, cela reste une histoire très bien travaillée, avec des personnages très riches.
Lien : https://mimietseslectures.wo..
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