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Dominique Peters (Traducteur)
EAN : 9782266078054
395 pages
Pocket (05/11/1998)
3.06/5   17 notes
Résumé :

Depuis toujours, la peinture d'Eva Vaughn déchaîne autour d'elle d'étranges passions. Déjà, à dix-sept ans, préférant son art à Andy Lewis, elle n'avait pas hésité longtemps avant de le congédier. Quelques jours plus tard était découvert le cadavre dénudé de Jemima, la petite fille que gardait Eva. Accusée, jugée puis condamnée, celle-ci purgera sa peine avant d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
On m'a prêté ce livre il y a un moment, cela se vit notamment a la toute petite police de caractère, nous suivons une peintre assez célèbre Eva Vaughn, celle-ci a fait de la prison car elle est accusé du meurtre d'une fillette.

Lors du début de ce récit le corps de petites filles sont retrouvées, les enquêteurs vont donc très vite aller l'interroger, de plus Eva Vaughn peint des tableaux plutôt glauques composés de mère et d'enfant.

Ce livre a 25 ans et cela se sent au niveau du style vraiment très très descriptif alourdissant le récit et le rendant poussif, de même certaines technologies comme les ordinateurs sont vraiment beaucoup décriés dans ce récit alors qu'aujourd'hui ils sont vraiment omniprésents dans nos vies.

Une enquête que j'ai suivi sans grand intérêt ni du côté des inspecteurs ni celui d'Eva pour qui on devrait normalement avoir de la compassion.




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Je me suis enfin décidée à lire ce bouquin qui trainait dans ma PAL depuis plus d'une décennie ! J'ai été agréablement surprise même s'il ne révolutionne pas le genre. On y retrouve un énième duo de policiers certes, attachants, mais sans sombrer dans les clichés. Ces 2 policiers vont devoir enquêter sur les meurtres de plusieurs fillettes dans une drôle de communauté mi- hippie, mi- mormons . Ils vont particulièrement s'intéresser à une femme peintre qui y évolue. C'est surtout le portrait de cette artiste qui donne un plus à ce livre et qui le rend intéressant, car l'intrigue en elle même est tout sauf compliquée mais fort bien écrite. Une partie de l'histoire se déroule à San Francisco et l'atmosphère de la ville est particulièrement bien retransmise.
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[ Un talent mortel, Laurie King, 1993]

Ce livre est le Tome 1 de la série "Kate Martinelli" et premier de cette auteur. Peu de ses livres ont été traduit.

"Un talent mortel" a été couronné par le prix Edgar du meilleur premier roman policier 1993.


Il a plus de 25 ans, et je prends de moins en moins de plaisir à lire de vieux livre, en particulier de vieux policier.

Déjà, les pages sont jaunis & c'est écrit tout petit 🧐

Au final, j'ai tout de même apprécié la lecture MAIS :
1/ L'intrigue est longue à se mettre en place
2/ Les descriptions trainent terriblement en longueur. Surtout au début et à la fin.
Le métier d'écrivain est terrible, j'ai mis une mauvaise note à ma dernière lecture car ça manquait cruellement de description.
3/ L'histoire est longue
4/ On devine facilement qui est le meurtrier et comment ça va finir.

Cependant, les personnages, enfin certains, sont quand même attachant, le décor, aussi bien la ville de San Francisco (je rêve d'y aller) que la communauté où se déroule l'enquête.



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un triller efficace, qui fait
naître le suspense a travers la psychologie de
ses personnages.
réjouissant.
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Il n’est pas facile d’être officier de police. Pour une femme, s’intégrer dans l’univers masculin du poste de police tout en gardant son identité de femme est même quasi impossible. Si une femme veut être agent de police, elle doit, dès son premier jour à l’académie, se forger une image claire de ce qu’on attend d’elle, et s’y tenir sans fléchir ; elle doit être forte, mais pas rude, amicale sans obséquiosité, jamais agressive, mais prête sans une seconde d’hésitation à se jeter dans un affrontement violent.
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Pourquoi donc, au temps jadis, le roi était-il considéré comme responsable de la vie même de sa terre ?On l’acclamait et on lui donnait sa part de bon cœur quand la nourriture était abondante et les gens en bonne santé, mais si les récoltes étaient mauvaises,si la sécheresse ou la peste sévissaient, on le considérait comme la cause de ces malheurs, et le peuple lui coupait la gorge pour redonner à la terre une nouvelle vie. Telle est l’origine véritable de l’expression : « Le roi est mort, vive le roi ! »
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Ses yeux se portèrent vivement sur Hawkin, qui le regarda en retour de cet air patient du chasseur qui attend de voir sa proie saisie de panique, qui attend, sans triomphe ni joie, qui attend, certain de l'issue.
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A vrai dire, il préférait le porc au gibier. Le gibier, on pouvait le rôtir ou le cuire en
ragoût, mais on en perdait la plus grande part, et on se lassait vite de ce qui
restait. Tandis que le porc, ah, le porc ! On pouvait le rôtir ou le cuire en ragoût, lui aussi, mais on pouvait en outre le saisir à la poêle avec des pommes de terre et des œufs, en faire du bacon, et...
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Qu’est-ce que l’innocence ? Kate en connaissait la définition légale, mais l’innocence n’était-elle pas l’absence de méchanceté,de péché – ce vieux mot ? « Un des innocents du monde ». Un innocent était quelqu’un que le mal du monde n’avait pas touché et dont la simplicité était une surface si lisse que la saleté et la laideur ne pouvaient s’y déposer.
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Videos de Laurie R. King (6) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Laurie R. King
Laurie R. King répond aux questions de Barbara Peters. 1/6
Non sous-titré.
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