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3,85

sur 735 notes
Un très court roman de Stephen King, qui ne donne pas le frisson, non, non ! loin de là… Mais par contre quel pamphlet !!

Franchement Donald n'a qu'a bien se tenir , parce que franchement si là Stephen n'a pas voulu lui mettre le nez dans ses idées loufoques ( a lui et a ses partisans bien sûr). L'homosexualité aux Etats Unis se porte assez mal et Donald ne fait rien pour que ça s'arrange, bien au contraire.. disons que si il pouvait construire un mur contre les homos il le ferait.

A Castle Rock les conservateurs sont en majorité.. et ce couple de lesbiennes vient s'installer pour ouvrir un restau et elles sont plutôt mal reçues… surtout depuis l'annonce qu'elles étaient mariées.

Mais je crois aussi, du moins c'est comme ça que je l'interprète qu'il attaque Trump ou plutôt les démocrates (Puisque le président américain ne s'est jamais positionné ouvertement) sur l'euthanasie. Scott qui maigri de jour en jour, sait qu'a un moment ou l'autre il devra partir.. que sa mort est inéluctable [.

Donc même si je n'ai pas été retournée par le côté fantastique de l'histoire, j'ai adoré cette leçon de morale très juste et très bien faite… et puis il y a une certaine douceur et une certaine poésie dans l'écriture de Stephen , ce qui rend ce conte très touchant.

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Quel joli roman nous offre ici le roi des ténèbres. Un roman empreint de poésie, de tendresse, de lumière. Un roman qui fait du bien et nous sort du froid de l'hiver pour nous peletoner dans un édredon de douceur et de chaleur.

Scott a un problème. Avec sa balance, avec toutes les balances. Il ne veut faire aucun régime et pourtant il perd du poids. Chaque jour cinq cent grammes. Pourtant, son corps ne change pas. Mais Scott a peur, il est intrigué. Qu'arrivera t'il lorsqu'il sera au poids zéro ?

Dans ce quartier de Castle Rock dans le Colorado, Scott met un point d'honneur à s'entendre avec ses voisins. Cela s'annonce particulièrement difficile avec ses voisines, Missy et Deirdre, un couple homosexuel dont les deux chiens aiment déposer leurs crottes sur sa prairie. Si l'entente était mal annoncée, Scott est tellement diplomate, finaud, altruiste, qu'il finira par y avoir plus qu'une entente de bon voisinage entre lui et ses deux voisines.

Élévation est un petit roman du King qui va droit au but. On oublie les descriptions sempiternelles adeptes de l'écrivain pour parer l'histoire de personnages attachants, tendres, solidaires, émouvants.

Élévation, le portrait d'un homme pas tout à fait comme les autres qui comme John Coffey détient en lui suffisamment d'étoiles pour faire briller les coeurs obscurcis.
Élévation, un roman sur le temps, la gravité, le poids d'un être ou le poids d'une vie. Que reste t'il de nous quand notre corps ne pèse que l'infini néant?
Élévation, une course vers les étoiles et une étrange lumière qui crépite dans la nuit froide.

Stephen King, magicien du désordre, magicien des histoires qui attrapent, restent et ne s'oublient pas. Un régal.
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♫Les yeux rivés Sur les étages
Pourvu que rien n'arrête le voyage
Ah, en apesanteur
Ah, pourvu que les secondes soient des heures♫
- Calogero - 2002 -

Poids , masse,
glissade impromptue sur la glace
Personne ne pèse le même poids
nu qu'habillé
c'est aussi immuable que la gravité
l'ancre qui nous entraîne
nous contraint au surplace
with a little help from my friends
point de happy ends
Pas un souffle, point d'ivresse
sentiment d'être dépassé
une élévation ! il est où le King d'autrefois ?
pas une gravité, mais un roman qui ne fait pas le poids...

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Ce que j'ai ressenti:

▪️Encore une page, encore un kilogramme…

Un kilo de moins et une page en plus, pour découvrir le talent du King…100 kilos de moins et 140 pages en plus, pour apprécier tout le génie du Maître du fantastique. Il est un phénomène incroyable qui touche Scott Carey, un phénomène inexplicable mais invisible, et pourtant bel et bien, déstabilisant. Perte de poids et dénonciation de l'intolérance sont au centre de cette nouvelle inédite.

Alors, on ne va pas se refuser cette petite gourmandise, cette Élévation face à ses idées plombantes, en plein climat sensible social et politique, de l'Amérique actuelle…Vous prendrez bien, un peu de plaisir, puisque ça ne fera pas bouger les chiffres sur votre balance ?

"La gravité est l'ancre qui nous entraîne au fond de la tombe."

▪️Encore une course, encore un effort…

Deux voisins qui courent après une Elévation des mentalités, en apprenant l'amitié… Une course passionnante où notre rythme cardiaque risque de sentir quelques ratés et des variations en masse…Scott et DeeDee vont devoir dépasser leurs petites querelles, les limites de leurs corps, et quelques rumeurs virevoltantes…Bienvenue à Castle Rock, où les apparences sont parfois trompeuses et où l'homophobie fait rage, au coin de la rue…

Vous feriez bien un petit entraînement physique et mental, avec ce duo de choc, pour dépasser quelques lignes de clichés, euh , d'arrivées?

"La vie est ce qu'on en fait et l'acceptation est la clef de toutes nos affaires."

▪️Encore une étincelle, encore une étoile…

J'adore les histoires de Stephen King. Courtes ou longues. Je sais qu'il va m'emporter avec ses petites paillettes de surnaturel, son imagination pétillante et son oeil avisé sur les problèmes de société. En refermant ce petit livre, j'en ai encore les étoiles plein les yeux! Ce final entre poésie et amitié était de toute beauté!

Allez, vous savourerez bien un peu de cette lecture, garantie sans prise de poids, mais hautement réjouissante…

"Tout mène là, songea-t-il. A cette élévation. Si c'est ce qu'on ressent quand on meurt, on devrait se réjouir de partir."

Ma note Plaisir de Lecture 9/10
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Castle Rock. Cette ville imaginaire que l'on retrouve dans de nombreuses oeuvres du King. Lorsque je lis le résumé et m'aperçois que les événements se déroulent là-bas, des images me reviennent brusquement.

Je me suis souvent perdu dans ses rues dans ma vie de lecteur. Je me souviens avoir couru à perdre haleine, poursuivi par un chien enragé du nom de CUJO. J'ai assisté aux obsèques d'un écrivain imaginaire détruit par sa PART DES TÉNÈBRES. J'y ai même visité un magasin apocalyptique, un vrai BAZAAR. Terrifiant.

Tout ça pour dire que le simple fait de retrouver Castle Rock m'a poussé à vite acheter ce livre, moi qui n'ai pas lu de King depuis des années.

Et le charme agit. J'ai retrouvé cette plume unique qui nous fait entrer dans la tête de personnages tellement quotidiens. On a là une sorte de conte, de longue nouvelle fantastique qui a même réussi à m'émouvoir. Stephen King, ici offre une jolie histoire de tolérance et qui ne fait pas peur du tout pour ceux qui voudraient tester la plume de Monsieur King.

C'est l'histoire de Scott, qui perd du poids chaque jour un peu plus. En quelques lignes, on s'attache à cet homme qui pourrait être notre voisin. Et on referme ce livre rempli d'une vraie émotion, d'une vraie envie d'être quelqu'un de bien. Comme Scott …

Je reproche souvent au King de ces dernières années de faire trop long mais là, cette courte histoire m'a emportée. M'a même redonné l'envie de lire Stephen King …

Stephen King reste un grand écrivain américain et je lui dois mes plus belles nuits blanches d'adolescence. Nous sommes de nombreux lecteurs à avoir un de ses livres en mémoire. Et vous, tiens d'ailleurs, il y a un King qui vous a marqué ?
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"Ooh, that's why I'm easy, I'm easy like Sunday morning, yeah..."
(L. Richie)

Holy Frijole ! Il se passe des choses à Castle Rock... !
L'année dernière la jeune Gwendy est entrée en possession d'une mystérieuse boîte à boutons, et cette fois, cet indéfinissable je-ne-sais-quoi qui flotte dans l'atmosphère de la petite bourgade s'est emparé de Scott Carey.
Et le gentil gros balourd va commencer à perdre du poids... Sauf que c'est une perte invisible. En apparence, il fait toujours ses bons 110 kilos, mais peu à peu, il la sent arriver : l'insoutenable légèreté de l'être, qui ne peut que mal (?) se finir. Nous sommes en octobre, et selon les calculs de Scott, le "poids zéro" est pour mars, même avant. Et après ?

Par précaution, je ne m'attendais à rien, et c'est aussi à peu près ce que j'ai eu. Pas tout à fait... mais je vais y revenir plus tard.
L'idée de départ n'est pas mauvaise, mais l'histoire est simplissime, les dialogues aussi, et la fin terriblement prévisible à cause de ce malheureux titre (j'ai vérifié, c'est pareil en VO). D'autant plus que cette fois, Stephen nous a pondu un récit tellement "politiquement correct" que ça frôle la parodie. (Oui, Stephen, on sait tous que tu n'aimes pas Trump et que l'étroitesse d'esprit te gêne, mais ce n'était vraiment pas la peine d'en faire autant !)

Bref, deux lesbiennes mariées ouvrent un resto mexicain à Castle Rock; un resto qui ne marche pas, car les gens ont des préjugés. Ce n'est pas le cas de Scott. C'est un gars foncièrement gentil, et tout ce qu'il veut c'est la bonne entente entre voisins. Mais la jolie Deirdre a des préjugés contre Scott, car elle le croit comme tous les autres. La vie est souvent comme ça : on entend seulement ce qu'on s'imagine entendre, même si la réalité est tout autre. Heureusement, les choses s'arrangent comme par magie lors de la course à pied annuelle (un des meilleurs moments du livre), mais Scott continue à perdre du poids... jusqu'à la fin qui explose comme un feu d'artifice, et qui me fait réviser mon avis initial.

Il est certain que le lecteur habitué aux romans King-size de l'auteur va sans doute chercher autre chose (tension, terreur ?) et finira peut-être déçu. Mais j'ai l'impression que dans ses courtes nouvelles récentes (que ce soit "Gwendy" ou celle-ci), King reste exprès assez simple et économe pour nous livrer autre chose : une sorte de conte de fée philosophique pour adultes. Son talent de conteur est toujours là, mais le registre a changé.
On peut se demander pourquoi Scott ne fait rien, d'où lui vient cette étrange résilience ? Même ses amis acceptent les faits d'une façon presque automatique. Cela semble irréel... Tout se passe sans gravité, justement. Et le message de l'histoire n'est pas tant la lutte contre la "petitesse de l'esprit" dans une petite bourgade américaine, mais plutôt le fait de se rendre compte de la valeur de la vie au moment où on entend la mort frapper à la porte. Partir sans regrets...
King jongle assez bien avec les métaphores ("élévation", "s'alléger", "détachement", "apesanteur") et je suis contente que ses efforts ne sont pas "lost in translation", car cela ajoute une chouette dimension à son histoire. Sans parler des références intertextuelles, qui me plaisent toujours chez lui. Et si on ne cherche pas à tout prix les explications à la fin, l'ensemble reste aussi charmant que la chanson de Lionel Richie.

Donc, deux étoiles et demi pour moi. Je pourrais même en mettre trois, mais j'ai lu suffisamment de King pour voir que ce livret ne souffre pas la comparaison avec certains de ses romans. Mais mes "deux et demi" sont mises de bon coeur : j'ai passé un agréable après midi reposant avec ce...
... attendez, on parle bien d'un livre de Stephen King ?
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L'histoire de Scott est très belle : atteint de surpoids, il monte rarement sur la balance, mais brutalement il se met à perdre du poids de manière incompréhensible : les chiffres baissent alors qu'il continue à mal se nourrir, et en plus, cela ne se voit pas, son corps reste le même, il entre toujours dans ses habits. Cela laisse son ami le doc, avec lequel il joue au tennis, perplexe et inquiet.

Il vit seul, avec son chat, car sa femme est partie et il ne s'en remet pas si bien que cela. de surcroît, ses relations avec ses voisines lesbiennes qui sont mariées et tiennent un restaurant, ne sont pas au beau fixe : elles vont courir laissant leurs chiens en liberté, lesquels vont faire leurs crottes sur sa pelouse.

Il en résulte une prise de bec, car l'une des deux a un caractère de cochon et nie les faits, il va donc surveiller et les prendre sur le fait.

Stephen King raconte de belle manière la chute des kilos, les angoisses de Scott qui veut absolument que les relations de voisinage soient bonnes, mais que faire quand Deirdre le rabroue sans cesse. Certes, c'est difficile pour les deux femmes : les gens se moquent d'elles, boycottent leur restaurant, l'homophobie bat son plein.

La perte de poids a des avantages, Scott se sent léger, sait que l'horloge tourne, il finira par ne plus rien peser… Il se paye le luxe d'une course à pied, affrontant Deirdre qui est une ancienne championne, doublant au passage des concurrents qui se moquent de « cet obèse » qui ose se confronter aux sportifs au corps svelte !

Mine de rien, l'auteur dénonce tous les travers de l'Amérique profonde : raciste, homophobe, grossophobe… et comme la vie serait légère sinon… il ne tombe jamais dans la caricature, alors que son propos vise Donald Trump au passage !

A force de le délester de ses kilos, le corps évolue différemment comme en apesanteur, ou comme Icare voulant s'approcher du soleil, plus rien ne pèse sur la vie de Scott, ce qui permet à Stephen King de faire des référencer à la mort…

Quel plaisir de retrouver Stephen King que j'avais un peu délaissé depuis la lecture de 22/11/63… Ce roman m'a énormément plu, même si le ton est différent des autres romans de l'auteur, on reste dans le fantastique. le titre m'a beaucoup plus : on s'élève avec le héros, car cette « élévation » du corps suggère aussi celle de l'esprit et l'histoire se termine en feu d'artifice.

En outre, ce roman est « illustré » : des dessins nous sont proposés pour illustrer chacun des chapitres rendant la lecture encore plus savoureuse.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions le Livre de Poche pour m'avoir permis de découvrir de roman.

#Elevation #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Une fois encore le King m'a bluffé avec sa capacité à construire des personnages et à créer un véritable attachement du lecteur pour ces derniers. Ici il le fait en un temps record  quelques phrases et 160 pages plus tard j'avais l'impression de connaître Scott depuis toujours. le pauvre ces derniers temps il ne cesse de perdre du poids mais attention uniquement sur la balance car d'apparence sa bedaine est toujours là. Pourtant son poids semble s'envoler un peu plus chaque jour, mais que se passera-t-il quand il ne pèsera plus rien?

Son ami le docteur Bob l'accompagne mais il faut bien admettre que ce n'est pas très répandu comme symptôme et le doc se trouve vite démuni. Alors j'accompagne Scott, page après page. Partagée entre entre curiosité et inquiétude. Parce que Scott c'est un gars bien. D'ailleurs même s'ils sont partis du mauvais pied Dee-Dee et Missy, ses voisines, ont de la chance de l'avoir. Etre lesbiennes à Castle Rock (et oui on est à la maison fidèles lecteurs du King) ce n'est déjà pas facile mais quand en plus on essaie d'y tenir un commerce ça se complique. Les préjugés en plus de leur pourrir la vie ont vite fait d'impacter le porte monnaie de ces dames. Mais Scott est bien décidé à mettre son nouveau talent au service de ses voisines injustement malmenées et de manière étonnante.

Dans ce petit livre pas de les longues descriptions comme l'auteur les affectionne, pas de terreur non plus. Juste une touche de fantastique au service d'une histoire très poétique. Une ode à la différence et à la nécessité de dépasser les apparences. Une histoire avec plusieurs niveaux de lectures et plusieurs interprétations possibles.

Comme d'habitude notre facétieux auteur ne se prive pas d'égratigner la société américaine au passage.

Un beau moment de lecture dont j'aurais bien aimé qu'il dure plus longtemps.
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Avec Élévation, le maître ès horreur range sa plume d'épouvante pour offrir une novella pleine de fraîcheur et d'émotions.

Scott, solide gaillard d'1,90 m, 42 ans et divorcé, voit les chiffres sur la balance décroître, sans que son apparence change (même sa petite bouée de confort au-dessus du jean). Un vrai mystère pour lui comme pour son vieil ami Bob, médecin à la retraite.
L'histoire se déroule à Castle Rock, bien connu de tous les lecteurs de Stephen King. Outre cette énigme de poids qui disparaît, il est question des préjugés voire des propos injurieux et haineux de la petite ville à l'encontre d'un couple de restauratrices, ouvertement lesbiennes et mariées. Entre parenthèses, l'homophobie n'a pas de frontière et le texte me touche particulièrement alors qu'en France, on déplore trop d'actes de violences (verbales et physiques) à l'encontre des personnes LGBT. Qu'on laisse les gens aimer et s'aimer comme ils veulent, que diable! Je referme ma parenthèse.

Une histoire de King sans amitié, ce ne serait plus du King puisque c'est un thème qu'il aborde dans nombre de ses récits et qui rappelle combien la chaleur de vrais amis fait du bien. Ça paraît plan-plan dit comme ça mais la vraie amitié ne court pas toujours les rues.

Tout ça pour affirmer que ce court texte du maître de Bangor offre un agréable moment de lecture, émouvante et pétillante. Un petit coup de dents par-ci par-là à Trump, que l'auteur ne porte pas dans son coeur (ni à son poste actuel en 2016) et à l'Amérique qu'il représente et que Stephen King égratigne déjà depuis plusieurs décennies.

Continue de nous faire peur ou rêver, Stephen, tu le fais tellement bien!
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Scott a un problème. Un problème de taille... ou plutôt de poids.
Jugez donc : chaque jour, sa balance lui annonce qu'il pèse un peu moins lourd que la veille.
Où est le problème me répondront certains, qui se réjouiraient de cette situation ?
Le hic, c'est que Scott ne fait rien. Pas de régime, pas d'entraînement spécial. Rien.
Et chaque jour, un peu de lui s'en va, inexorablement.
Plutôt inquiétant, non ?
Jusqu'où la descente va-t-elle se poursuivre ? Va-t-il finir par disparaître entièrement ?

Un point de départ intéressant, d'autant que Stephen King y ajoute d'autres phénomènes bizarres, prouvant ainsi qu'il a toujours l'imagination fertile.
L'ouvrage se lit vite, très vite, parce qu'il est court, mais aussi parce qu'il manque malheureusement de densité.
J'ai trouvé l'histoire un peu simple, pour ne pas dire simpliste, et les personnages trop manichéens.
C'est frais, c'est léger, tendre et non dénué de poésie, mais le maître du fantastique est capable de nettement mieux.
Une sorte de conte de fées pour grands enfants, pas désagréable à lire ; un petit intermède entre deux lectures plus consistantes.
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