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3,75

sur 1240 notes
Petite lecture sans prétention qui n'avait pour but avoué et assumé que de faire une pause morosité et une pause méninges...

Un peu de légèreté donc en compagnie de Becky Bloomwood et sa folie dépensière qui décomplexerait n'importe quel(le) accro du shopping.

Malheureusement, si le premier de la série avait été une bonne surprise avec son comique de situation et son personnage, certes un brin caricatural mais attachant, j'ai regretté ici le côté un peu réchauffé, l'humour qui peine à toucher sa cible et l'histoire qui ne décolle pas.

En bref, je quitte ici Becky pour de bon. Dommage, j'aurais finalement préféré garder le bon souvenir de mes débuts avec elle.
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Je vais me répéter mais tout comme le premier, ce livre est extraordinaire ! Je le conseille à toutes les accros du shopping (ou non). L'histoire est encore plus mouvementée que le premier et Rebecca est très attachante. Je me suis même identifiée à elle : je me reconnaissais dans pas mal de ses folies ! L'écriture fluide de Sophie Kinsella nous oblige à continuer la lecture. J'ai adoooooooooooré ! Il faut que je lise la suite!
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On suit avec plaisir les péripeties de Becky , maladroite et attachante accro du shopping!
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J'ai arrêté ma lecture à la deuxième crise de shopping, soit avant que quoi que ce soit d'autre n'ait eu le temps d'arriver. Je ne peux pas suivre les tribulations d'une héroïne qui se laisse mener par ses instincts de shopping, si ça prend à ce point toute la place.
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Cela fait maintenant trois mois que Becky Bloomwood a décidé de changer de vie. Elle a remboursé ses dettes et est devenue chroniqueuse financière pour l'émission Morning Coffee où elle répond aux questions des téléspectateurs. Accessoirement, Becky file le parfait amour avec Luke Brandon, le séduisant entrepreneur qu'elle a rencontré quelques mois plus tôt. Les deux tourtereaux s'apprêtent justement à partir en week-end romantique, loin de Londres et de leurs emplois respectifs... du moins Becky le croit-elle. Mais Luke lui avoue qu'il doit assister à une toute petite réunion d'affaire durant leur escapade.

Ce volume est le second tome des aventures de Rebecca Bloomwood, L'accro du shopping de Sophie Kinsella. Et bien que l'héroïne paraisse plus raisonnable lors de la lecture des premières pages du roman, on constate très vite qu'il n'en est rien... pour notre plus grand plaisir !
Afin de ne plus se trouver dans une situation dramatique (telle que celle vécue il y a quelques mois lorsqu'elle était au bord de la faillite personnelle), Becky a mis au point une nouvelle "philosophie du shopping" : elle n'achète que ce dont elle a besoin. Elle permet également à sa meilleure amie et colocataire, Suze, de vérifier et critiquer toutes ses dépenses.
Cette nouvelle façon de gérer son budget semble idéale pour une accro au shopping comme Becky, mais la méthode est pourtant loin de fonctionner...
Tout d'abord, Becky a énormément de besoins. Elle ne peut s'habiller pour un événement particulier sans acheter une paire de chaussures, puisque les souliers qu'elle possède déjà ne seront pas du tout assortis à la tenue. Et puis, bien entendu, la paire de chaussure en question existe en deux coloris et, comme on n'est jamais assez prévoyant, autant prendre les deux.
Notre accro du shopping est en plus très convaincante quand il s'agit de faire comprendre à Suze que, si elle n'achète pas immédiatement une paire de chaussures hors de prix / un sac de designer / un masque d'escrime, sa vie sera totalement fichue ! le système de contrôle mis en place par Suze ne fonctionne donc pas toujours de façon optimale. D'autant plus que lorsque Becky sait que son amie ne sera pas d'accord avec ses dépenses, elle cache ce qu'elle vient d'acheter.
Ajoutez à cela une légère tendance à la jalousie, et vous aurez compris que Miss Bloomwood continue à dépenser (presque) autant qu'avant. Un exemple ? Alors qu'elle vient de s'acheter une paire de sandales LK Bennett mauve lilas, Becky rêve déjà de posséder le même modèle en couleur clémentine. Et lorsqu'elle voit passer une fille avec deux boîtes à chaussures dans un sac de chez LK Bennett, Becky est persuadée que la fille en question s'est permis d'acheter "ses" sandales. Il n'y en aura plus pour elle ! Que faire ? Becky trouve la solution : elle se rue dans la boutique qu'elle vient de quitter et achète la seconde paire de sandales.
La situation financière de la jeune femme ne s'arrange donc pas. Car, en plus de faire des folies à Londres, Becky se déchaîne dans les magasins new-yorkais lorsqu'elle accompagne Luke en voyage aux Etats-Unis.
Notre héroïne pathologiquement dépensière va donc une fois de plus se retrouver dans une situation difficile...
Vous l'aurez compris, Shopaholic Abroad (son titre original) est un roman agréable et délassant, même si l'intrigue est très similaire à celle du premier opus des aventures de Becky. J'ai parfois eu l'impression, lors de certains passages, que Sophie Kinsella manquait un peu d'imagination en ce qui concerne les rebondissements de son roman : Becky s'endette de façon phénoménale, dépense encore plus pour oublier ses soucis financiers, évite d'ouvrir les enveloppes qu'elle sait contenir des factures... Et bien entendu, tout s'arrange lorsque Miss Bloomwood découvre une arnaque financière (que personne n'a remarqué, sauf elle) visant Luke. Ca ne vous rappelle rien ? A part le décor qui change (New York remplace Londres), on a parfois l'impression de relire le premier tome de la saga.
Malgré cette intrigue un peu prévisible, certains bons moments font sourire et l'humour est bien au rendez-vous. Pour une lecture détente, ce roman est idéal : Sophie Kinsella écrit bien (pour une auteure de chick-lit, certain(e)s de ses collègues étant pitoyables), les personnages du roman sont attachants et pas trop stéréotypés. C'est donc une bonne "suite" au premier tome et j'espère que les volumes suivants vont encore gagner en qualité. Ils m'attendent dans ma PAL, mais ça vous vous en doutiez, non ? ;-)
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Quel plaisir de retrouver Becky Bloomwood et son addiction au shopping ! Un petit bonbon de lecture qui permet de sourire et de se détendre. Qui a dit que la lecture devait toujours être de la grande littérature bien proprette ?

Vous pensiez que Rebecca c'était assagie à la fin du premier tome, Confessions d'une accro du shopping ? Détrompez-vous ! Elle revient plus en forme que jamais ; et ses dettes toujours plus importantes.
Cette fois-ci, notre shopaholic londonienne adorée se rend à Manhattan avec Luke Brandon, son petit ami. New York et ses braderies quotidiennes de grandes marques ne vont pas l'aider à réfréner ses pulsions d'achat, d'autant que Luke n'est pas très présent à ses côtés. Très pris par les soucis de son entreprise, il délaisse sa fiancée et leurs relations se détériorent. Ajoutez à cela un article incendiaire sur l'experte financière qui dilapide son argent en vêtements et accessoires, et vous aurez la recette pour un roman chick-lit à la fois tendre et drôle.

J'ai été ravie de retrouver Becky, dans un moment où le besoin de me détendre était très présent. Et ce livre a parfaitement rempli sa mission. Mais il est évident que ce deuxième volet est semblable au premier dans sa construction ; aussi je conseille d'espacer la lecture des tomes de cette série. Néanmoins, l'écriture de Sophie Kinsella est toujours un régal et la chick-lit anglaise est excellente.

Le personnage de Becky est plutôt sympathique et attachant. Elle est belle sans être exceptionnelle. Elle n'est pas aussi grande qu'un mannequin, pas aussi intelligente qu'Alicia la complice professionnelle de Luke Brandon. Non, elle est une femme somme toute très simple et non dénuée de défauts. Mais n'est-ce pas ce qui plaît aux hommes ?

En conclusion, j'ai adoré cette lecture et je l'apprécie d'autant plus que j'ai laissé quelques mois s'écouler avec le premier tome. Un instant de détente, qui ne manque pas de réflexion sur le côté vorace de la société de consommation et des crédits.
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Un second tome que j'ai dévoré. Décidément Sophie Kinsella a le chic pour me donner le sourire.
Un tome dans la lignée du premier avec une Betty qui disjoncte en découvrant la démesure de New York. C'est drôle et touchant.
Je vais vite lire la suite.
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Chassez le naturel il revient au galop : si Becky avait réussi à rembourser ses dettes dans le premier tome c'était pour mieux pouvoir les creuser dans celui-ci !

On retrouve notre héroïne armée de sa carte bancaire sur les trottoirs de Manhattan (ou devrais-je devant les vitrines ?). Pour faire court je dirai simplement que ce tome-ci est plein de rebondissements, on ne s'ennuie pas et le récit ne s'essouffle pas une seconde. Becky évolue et devient capable de s'affirmer petit à petit, même dans les moments qui lui paraissent les plus difficiles.

Un roman qui se lit rapidement et vous met de bonne humeur sans même que vous y songiez. Une histoire de chick-lit comme on les aime, à lire en compagnie d'un chocolat chaud ou sous le soleil les orteils en éventail.
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Ce livre repose désormais non loin de « Mange, prie, aime » d'Élizabeth Gilbert. À vrai dire, ils se voisinent de très près. C'est contagieux, vous croyez ? Pour ceux ou celles qui me connaissent, c'est donc dire qu'il se trouve sur l'étagère « à proscrire » de ma bibliothèque. Dois-je quand même préciser que mon intention initiale en l'abordant était d'ordre affectif, elle visait à partager une lecture avec ma nièce Amélie, accro du shopping. Qui plus est, nous revenions de New York... Bon, assez les excuses, je l'ai lu, et jusqu'au dernier mot. Oui oui, vous pourrez vérifier, il s'agit de « Félicitations ». Ironique, non?

Le roman débute par une profonde dédicace : « Pour Gemma, qui a toujours su la valeur d'une écharpe Denny and George ». Ça commence fort… Mais parlons du personnage principal, Becky Bloomfield. Elle est experte financière à une émission télévisée, « Morning Coffee », où elle prodigue des conseils d'épargne à des milliers de téléspectateurs. Cordonnier mal chaussé, la dame Bloomfield en question n'arrive pas à payer son loyer, est au bord de la faillite personnelle et croule sous les dettes. Elle est accro à la dépense et aux mauvais placements.

Durant ces 400 interminables pages, nous l'accompagnons dans les plus grandes boutiques de New York, les instituts de beauté, les restos bon chic bon genre. Nous assistons aussi à de pénibles discussions stériles et superficielles. Mais le comble, là où j'ai littéralement craqué, est ce long passage qui vante la consommation au profit de la culture. Attendez, je vous explique… En chemin vers le Musée Guggenhein, l'un des plus grands musées new-yorkais, Becky est déviée de sa route par Chanel, Saks, Yves St-Laurent… C'en est trop, elle craque… La pauvre, si vulnérable… Mais elle n'est pas sans ressource… Quelle imagination ! Elle passe donc par la boutique du dit musée et s'achète le catalogue des oeuvres, pour aussitôt repartir soulagée d'un énorme poids, et reconquérir l'univers numéro un du consumérisme. J'avais envie de pleurer…

En gros, si vous avez envie d'un roman qui manque de style, de profondeur et de raffinement, vous serez ravies. Ajoutez à ce désastre tous les clichés de la femme-objet, nunuche et dépensière, hystérique et impulsive, écervelée… En ai-je oublié ? Ah, si ! Où ai-je la tête… Il y a le charme, les apparences… et je cite, « l'apparence est le secret de toute négociation ». Pour vous situer dans le contexte, Becky devait rendre visite à John Gavin, directeur des services de découvert. Pour l'occasion, elle ne manque pas de prévoir des sous-vêtements sexy... Je crois que Simone de Beauvoir en aurait aussi pleuré…

Lien : http://www.lamarreedesmots.c..
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Après des mois et des mois à laisser ce deuxième tome de côté je me suis enfin décidée à le lire.
Cette fois ci ma lecture à été beaucoup plus fluide, plus courte et appréciée (forcément!).

Nous retrouvons cette accro du shopping qui me semble 1000x plus à l'ouest que je ne l'ai été et parfois j'avouerai que j'aimerai bien être comme elle. Quel plaisir dans un certain sens de ne jamais se soucier de ce que l'on vient de dépenser mais quel enfer de ne pas arriver à se gérer en tant qu'adulte.

J'ai eu plus d'une fois le sourire aux lèvres grâce à son histoire impossible mais c'est ce qui rend ce personnage si plaisant à suivre. Et puis elle prouve qu'en tant que femme nous nous en sortons très bien même en étant accro à du shopping et que le regard des autres ne fait pas notre vie, qu'il faut vivre pour soi et ses envies (folles surtout!).
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